JPPS A BIEN CONNU MARTHE ROBIN
LES STIGMATES
Or, les stigmates traduisent l’AGONIE et la CRUCIFIXION de Jésus CHRIST. Aucun prophète n’est jamais
revenu pour faire participer à Ses souffrances qui que se soit.
A travers les souffrances du CHRIST, nous sommes rachetés.
MARTHE DECRIT COMMENT ELLE REÇUT LES
STIGMATES
( Extrait du livre le voyage immobile )
Pages 84 et 85 |
[...] Début octobre 1930, Marthe reçoit une nouvelle vision, cette fois du CHRIST
crucifié. Il prend ses deux bras paralysés et les lui ouvre. Puis elle entend à nouveau : « Marthe, veux-tu être comme moi ? »
«
Alors j’ai senti un feu brûlant, parfois un feu extérieur, mais surtout
un feu intérieur. C’était
un feu qui sortait de JESUS. Extérieurement, je le voyais comme une
lumière qui me brûlait. Jésus me demanda d’abord d’offrir mes mains. Il
me sembla qu’un dard sortait de son cœur et se divisait
en deux rayons pour percer l’un de ma main droite, l’autre de ma
main gauche. Mais en même temps, mes mais étaient percées pour ainsi
dire de l’intérieure. »«
Jésus m’invita encore à offrir mes pieds. Ce que je fis instantanément,
comme pour les mains, me plaçant les jambes
comme Jésus sur la croix, les allongeant un peu parce qu’elle
étaient repliées, les étendant comme Jésus sur la croix. Elles restèrent
en partie repliées, comme celles de Jésus. Comme pour
les mains, un dard partant du cœur de Jésus, un dard de feu de la
même couleur que pour les mains, se divisa en deux à une certaine
distance du cœur de Jésus, tout en restant unique à son
jaillissement du cœur. Donc ce dard était unique vers le cœur de
Jésus et se divisait, se partageait pour frapper et traverser en même
temps les deux pieds. La durée ne se précise pas. Ça
s’accomplit sans arrêt.
« Les deux pieds ont été atteints en même temps et par-dessus et traversés complètement. Même douleur intense que pour les deux mains, qui brûlait les pieds. On ne peut l’exprimer que comme cela, je ne sais pas comment il faudrait dire autrement. On pourrait dire « une torturante douleur ». Une douleur torturante brûlait mes mains et mes pieds, au point que je croyais que la vie s’en allait.
« Mais néanmoins, Jésus m’invita à lui présenter mon cœur, ou plutôt ma poitrine. Les bras étaient restés étendus en croix, pendant la stigmatisation des pieds. Les bras toujours étendus en croix et les jambes toujours dans la même position, j’offris mon cœur à Jésus, à la volonté du bon Dieu.
« Mon cœur, comme mes mains et mes pieds, fut traversé par un nouveau trait de feu; partant aussi du cœur de Jésus, mais plus important que celui des mains et des pieds. Ce trait le frappa et le traversa comme de part en part. Ce trait de feu était de la même couleur que les deux précédents. Ces traits se succédèrent sans arrêt. Une douleur mortelle envahit aussitôt mon cœur et tous mes membres. J’étais plus morte que vive et restai dans une sorte d’évanouissement douloureux qui dura longtemps, peut-être plusieurs heures. Un trait s’élance et on ne le voit plus; ceci s’explique tout seul. Donc on n’a pas conscience de sa disparition. Il s’enfonce en quelque sorte dans le cœur.
« C’est dans cet état que Jésus m’invita encore à recevoir sa couronne d’épines qu’il avait prise dans ses deux mains. Jésus m’était apparu d’abord en croix, puis je l’avais vu se détacher presque aussitôt de la croix, et après je ne l’ai plus vu sur la croix, mais avec ses plaies divines, car il se détacha aussitôt de sa croix. Pendant que partaient de son cœur les dards de feu, il était déjà détaché de sa croix.
« Jésus plaça sa couronne d’épines autour de ma tête, en pressant très fort dessus. Un redoublement de souffrances m’envahit alors tout entière et je succombais sous cet état de souffrances et d’amour, remerciant Notre Seigneur de ce qu’il venait de faire pour moi.
« Il disparut. Le sang apparut aux mains, aux pieds, au cœur et à la tête. Après le couronnement d’épines, les mains et les pieds avaient repris leur position habituelle, par la volonté de Dieu.
« Tout en gardant la même douleur dans tout mon être qui venait d’être marqué par Notre Seigneur, peu à peu, je fus ramené, et dans la journée je pus parler. La stigmatisation avait eu lieu dans la matinée. C’est ma maman la première qui vit que le sang avait coulé. » [...]
« Les deux pieds ont été atteints en même temps et par-dessus et traversés complètement. Même douleur intense que pour les deux mains, qui brûlait les pieds. On ne peut l’exprimer que comme cela, je ne sais pas comment il faudrait dire autrement. On pourrait dire « une torturante douleur ». Une douleur torturante brûlait mes mains et mes pieds, au point que je croyais que la vie s’en allait.
« Mais néanmoins, Jésus m’invita à lui présenter mon cœur, ou plutôt ma poitrine. Les bras étaient restés étendus en croix, pendant la stigmatisation des pieds. Les bras toujours étendus en croix et les jambes toujours dans la même position, j’offris mon cœur à Jésus, à la volonté du bon Dieu.
« Mon cœur, comme mes mains et mes pieds, fut traversé par un nouveau trait de feu; partant aussi du cœur de Jésus, mais plus important que celui des mains et des pieds. Ce trait le frappa et le traversa comme de part en part. Ce trait de feu était de la même couleur que les deux précédents. Ces traits se succédèrent sans arrêt. Une douleur mortelle envahit aussitôt mon cœur et tous mes membres. J’étais plus morte que vive et restai dans une sorte d’évanouissement douloureux qui dura longtemps, peut-être plusieurs heures. Un trait s’élance et on ne le voit plus; ceci s’explique tout seul. Donc on n’a pas conscience de sa disparition. Il s’enfonce en quelque sorte dans le cœur.
« C’est dans cet état que Jésus m’invita encore à recevoir sa couronne d’épines qu’il avait prise dans ses deux mains. Jésus m’était apparu d’abord en croix, puis je l’avais vu se détacher presque aussitôt de la croix, et après je ne l’ai plus vu sur la croix, mais avec ses plaies divines, car il se détacha aussitôt de sa croix. Pendant que partaient de son cœur les dards de feu, il était déjà détaché de sa croix.
« Jésus plaça sa couronne d’épines autour de ma tête, en pressant très fort dessus. Un redoublement de souffrances m’envahit alors tout entière et je succombais sous cet état de souffrances et d’amour, remerciant Notre Seigneur de ce qu’il venait de faire pour moi.
« Il disparut. Le sang apparut aux mains, aux pieds, au cœur et à la tête. Après le couronnement d’épines, les mains et les pieds avaient repris leur position habituelle, par la volonté de Dieu.
« Tout en gardant la même douleur dans tout mon être qui venait d’être marqué par Notre Seigneur, peu à peu, je fus ramené, et dans la journée je pus parler. La stigmatisation avait eu lieu dans la matinée. C’est ma maman la première qui vit que le sang avait coulé. » [...]
L'ŒVRE DE MARTHE ROBIN S'ARTICULE SUR DEUX AXES
- Ils créent aussi des écoles chrétiennes - Des dispensaires - Des maisons pour personnes âgées. - Animent les paroisses et le Catéchisme. - Toutes sortes d’activités apostoliques ou sociales selon les besoins locaux. Cette œuvre est née de la communion de Marthe Robin avec JÉSUS-CHRIST crucifié. |
La carte des foyers implantés dans le monde |
Marthe Robin a beaucoup contribué au Renouveau Charismatique
|
DE NOS JOURS, PLUS DE 78 FOYERS DE CHARITE
Dès 1975, le Pape Paul VI recevant des retraitants de Chateauneuf de Gallaure là où réside Marthe, avait encouragé l’entreprise.
Au Père Finet, directeur spirituel de Marthe, Jean-Paul II avait dit à Annecy en 1986 :
« Les foyers de Charité ont à ouvrir les âmes à la conversion, ils ont à permettre
l’approfondissement de la vie avec DIEU et doivent inviter à l’Apostolat.
" Donc, c’est l’endroit où on doit chercher la Lumière "
Parmi les grands stigmatisés, le Padre Pio (1887-1968) tient une place exceptionnelle, parce que c’était un homme, l’un des rares prêtres stigmatisés de l’histoire, et du fait que des milliers de personnes ont vu les stigmates de ses mains lorsqu’il disait la messe.
Thérèse Neumann, la célèbre stigmatisée allemande, née un vendredi saint (1898-1962), a eu une vie présentant des similitudes avec celle de Marthe Robin
(1902-1981) |
Marthe Robin (Chrétienne)
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Marthe Robin, née le 13 mars 1902 à
Châteauneuf-de-Galaure (Drôme), est une mystique catholique française, mondialement connue, notamment à travers les Foyers de Charité qu’elle a fait naître avec
le père Finet (aujourd’hui on compte 75 foyers répartis entre 42 pays). Ses parents sont de modestes paysans, non pratiquants. En 1918, Marthe est atteinte d’une maladie foudroyante, l’encéphalite léthargique, provoquée par la grippe espagnole de l’époque. Pendant dix ans, espoirs de guérison et rechutes se succèdent. Le 17 mai 1925 le pape Pie XI canonise Thérèse de Lisieux et Marthe sous l’inspiration de Thérèse (qui, dit-elle, l’a visitée par trois fois) formule un acte d’abandon à Dieu : « Je me remets à vous sans réserve et sans détour ». Le 2 novembre 1928, elle est admise dans le tiers Ordre de Saint François. Le mal pénètre son corps qui se trouve, en grande partie, paralysé. Elle perd totalement l’usage de ses mains et de ses doigts jusqu’à ne plus pouvoir égrener son chapelet et commence à dicter ses notes personnelles dans un journal. Après la demande de Jésus : « Veux-tu être comme moi sur la croix ? », Marthe va souffrir chaque vendredi la Passion du CHRIST et recevoir ses stigmates. Elle comprend que ses souffrances, vécues avec Dieu et offertes, peuvent être fécondes. Marthe Robin restera pendant plus de cinquante ans alitée, sans dormir, sans boire et ne se nourrissant que d’hosties. Des médecins auraient étudié son cas, son inédie et ses stigmates. Jusqu’à sa mort, dans sa petite chambre de la ferme de « la plaine », plongée dans l’obscurité pour protéger ses yeux du moindre rai de lumière, Marthe Robin a accueilli près de 100 000 personnes individuellement ou en petit groupe, écoutant, priant, conseillant. Elle porte dans la prière et soutient toutes les intentions qui lui sont confiées. Le père Finet la trouva sans vie, sur le sol, vers 17 heures, le vendredi 6 février 1981. Elle mourut seule, durant sa passion hebdomadaire, à l’heure où, sur la croix, Jésus « remis l’esprit ». |
« Chercher Dieu, c'est la foi ... le trouver, c'est l'espérance... le connaître, c'est
l'amour ... le sentir, c'est la paix... le goûter, c'est la joie... le posséder, c'est l'ivresse... » Marthe Robin |
Prière de Marthe Robin pour la France
Ô Père, ô mon Dieu, délivrez et sauvez maintenant Votre France. Préparez les cœurs de vos enfants à la mission qu'ils vont avoir à accomplir pour toutes les nations et pour l'Eglise tout entière.
Ô Père, ô mon Dieu, que les cœurs de Vos élus tressaillent à Votre appel, reconnaissant Votre voix, Votre commandement, Votre invitation à agir. Conduisez-les chacun à leur place et chacun à sa mission. Imposez-leur tout ce que Vous voudrez de chacun et de tous. Que rien ne soit l'effet de leur choix mais de Votre unique désir et de Votre unique volonté d'Amour.
Ô Vierge Immaculée, ne les laissez pas se tromper, ni s'égarer.
Gloire soit au Père, au Fils et au Saint Esprit, comme il était au commencement, maintenant et pour les siècles des siècles. AMEN.
Cœur Douloureux et Immaculé de Marie, priez pour nous.
Saints et saintes du Ciel, priez pour nous.
Saints et saintes du Ciel, priez pour nous.
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