jeudi 4 octobre 2012

CE SALOPARD DE JPPS EST UN ANARCHO-FASCISTE, UN ANARCHO-MONARCHISTE ET UN ANARCHO-CATHOLIQUE !

Benito Mussolini sur le Fascisme

 par konigsberg


« Le fascisme, c'est l'horreur de la vie commode. Le fascisme, c'est le désintéressement : et voilà pourquoi il a conquis la jeunesse, car la jeunesse est l'instant le plus désintéressé de la vie. »

« C'est une conception historique dans laquelle l'homme n'est ce qu'il est qu'en fonction du processus spirituel auquel il concourt, dans le groupe familial et social, dans la nation, et dans l'histoire à laquelle toutes les nations collaborent. »


Nous ne croyons pas au programme dogmatique, à cette espèce de cadre rigide qui devrait contenir et asservir la changeante et complexe réalité. Nous nous permettons le luxe de perfectionner, de concilier, de surpasser en nous ces contradictions sur lesquelles s’abêtissent les autres, en se fossilisant dans un monosyllabe d’affirmation et de négation.


Nous nous accordons le luxe d’être à la fois aristocrates et démocrates, conservateurs et progressistes, réactionnaires et révolution­naires, soumis à la légalité ou à ses adversaires selon les circonstances de temps, de lieu, d’ambiance, en un mot, d’histoire, au milieu desquelles nous sommes obligés de vivre et d’agir. Le fascisme n’est pas une église; c’est plutôt un stade. Ce n’est pas un parti ; c’est un mouvement. Il n’y a pas un programme tout fait à réaliser en l’an 2000 pour la simple raison que le fascisme construit au jour le jour l’édifice de sa volonté et de sa passion



Le monde pour le fascisme n'est pas ce monde matériel que nous ne connaissons que superficiellement et dans lequel l'homme est un individu séparé de tous les autres, ne vivant que par lui-même et gouverné par une loi de nature qui, instinctivement, le pousse à ne vivre qu'une existence de plaisir égoïste et passager.
L'homme dans le fascisme est un individu qui est aussi une nation et une patrie, il est encore la loi morale qui réunit ensemble individus et générations dans une tradition, dans une tâche qui supprime l'instinct égoïste borné aux brèves péripéties du plaisir, pour créer par l'idéal du devoir un mode de vie supérieur, délivré de toutes les limites du temps et de l'espace une vie dans laquelle l'individu, par l'abnégation de lui-même, le sacrifice de ses intérêts personnels, par la mort même, réalise cette existence toute particulière dans laquelle est toute sa valeur d'homme...



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Une telle conception de la vie porte le fascisme à être l'exacte négation de cette doctrine qui constitue la base du socialisme dit scientifique ou marxiste, la doctrine du matérialisme histo­rique, selon laquelle l'histoire des civilisations humaines s'expliquerait seulement par la lutte d'intérêts entre les différents groupes sociaux et par l'évolution des moyens et instruments de production.
Que les questions économiques – découvertes de matières premières, nouvelles méthodes de travail, inventions scientifiques – aient leur importance, personne ne le nie, mais qu'elles suffisent à expliquer l'his­toire humaine, en excluant tous les autres facteurs, est absurde.
Le fascisme croit encore, et toujours, à la sainteté et à l'héroïsme, c'est-à-dire à des actes dans lesquels n'inter­vient – de près ou de loin – aucun motif économique... le fascisme repousse le concept de "bonheur" économique qui se réaliserait selon un processus socialiste et de façon quasi automatique, à un moment donné de l'évolution économique, en assurant à tous le maximum de bien-être.
Le fascisme nie le concept matérialiste de "bonheur" économique comme possible et l'abandonne aux économistes de la deuxième moitié du XVIIIème siècle ; c'est-à-dire qu'il nie l'équation bien-être = bonheur qui rendrait les hommes soucieux d'une seule chose : être repus et engraissés, et donc réduits à la pure et simple vie végétative...

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 (konisberg.centerblog.net)
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