CE SALOPARD DE JPPS EST UN ANARCHO-FASCISTE, UN ANARCHO-MONARCHISTE ET UN ANARCHO-CATHOLIQUE !
Benito Mussolini sur le Fascisme
par konigsberg
«
Le fascisme, c'est l'horreur de la vie commode. Le fascisme, c'est le
désintéressement : et voilà pourquoi il a conquis la jeunesse, car la
jeunesse est l'instant le plus désintéressé de la vie. »
«
C'est une conception historique dans laquelle l'homme n'est ce qu'il
est qu'en fonction du processus spirituel auquel il concourt, dans le
groupe familial et social, dans la nation, et dans l'histoire à laquelle
toutes les nations collaborent. »
Nous
ne croyons pas au programme dogmatique, à cette espèce de cadre rigide
qui devrait contenir et asservir la changeante et complexe réalité. Nous
nous permettons le luxe de perfectionner, de concilier, de surpasser en
nous ces contradictions sur lesquelles s’abêtissent les autres, en se
fossilisant dans un monosyllabe d’affirmation et de négation.
Nous
nous accordons le luxe d’être à la fois aristocrates et démocrates,
conservateurs et progressistes, réactionnaires et révolutionnaires,
soumis à la légalité ou à ses adversaires selon les circonstances de
temps, de lieu, d’ambiance, en un mot, d’histoire, au milieu desquelles
nous sommes obligés de vivre et d’agir. Le fascisme n’est pas une
église; c’est plutôt un stade. Ce n’est pas un parti ; c’est un
mouvement. Il n’y a pas un programme tout fait à réaliser en l’an 2000
pour la simple raison que le fascisme construit au jour le jour
l’édifice de sa volonté et de sa passion
Le
monde pour le fascisme n'est pas ce monde matériel que nous ne
connaissons que superficiellement et dans lequel l'homme est un individu
séparé de tous les autres, ne vivant que par lui-même et gouverné par
une loi de nature qui, instinctivement, le pousse à ne vivre qu'une
existence de plaisir égoïste et passager.
L'homme
dans le fascisme est un individu qui est aussi une nation et une
patrie, il est encore la loi morale qui réunit ensemble individus et
générations dans une tradition, dans une tâche qui supprime l'instinct
égoïste borné aux brèves péripéties du plaisir, pour créer par l'idéal
du devoir un mode de vie supérieur, délivré de toutes les limites du
temps et de l'espace une vie dans laquelle l'individu, par l'abnégation
de lui-même, le sacrifice de ses intérêts personnels, par la mort même,
réalise cette existence toute particulière dans laquelle est toute sa
valeur d'homme...
.
Une
telle conception de la vie porte le fascisme à être l'exacte négation
de cette doctrine qui constitue la base du socialisme dit scientifique
ou marxiste, la doctrine du matérialisme historique, selon laquelle
l'histoire des civilisations humaines s'expliquerait seulement par la
lutte d'intérêts entre les différents groupes sociaux et par l'évolution
des moyens et instruments de production.
Que
les questions économiques – découvertes de matières premières,
nouvelles méthodes de travail, inventions scientifiques – aient leur
importance, personne ne le nie, mais qu'elles suffisent à expliquer
l'histoire humaine, en excluant tous les autres facteurs, est absurde.
Le
fascisme croit encore, et toujours, à la sainteté et à l'héroïsme,
c'est-à-dire à des actes dans lesquels n'intervient – de près ou de
loin – aucun motif économique... le fascisme repousse
le concept de "bonheur" économique qui se réaliserait selon un
processus socialiste et de façon quasi automatique, à un moment donné de
l'évolution économique, en assurant à tous le maximum de bien-être.
Le
fascisme nie le concept matérialiste de "bonheur" économique comme
possible et l'abandonne aux économistes de la deuxième moitié du
XVIIIème siècle ; c'est-à-dire qu'il nie l'équation bien-être = bonheur
qui rendrait les hommes soucieux d'une seule chose : être repus et
engraissés, et donc réduits à la pure et simple vie végétative...
.
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(konisberg.centerblog.net)
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