JACQUES ATTALI : DEFENDEUR-EN-CHEF DES ARABO-MUSULMANS...
Le vrai programme de François Hollande c’est Jacques Attali
S’il fallait une nouvelle preuve que les milieux financiers, qui naturellement préféraient Dominique Strauss-Kahn, ont finalement choisi son remplaçant, François Hollande, estimant Nicolas Sarkozy usé, le soutien affiché de Jacques Attali au candidat socialiste n’en serait-il pas la plus parlante.
Dans cette interview, il explique, défendant un gouvernement fédéral européen (donc la fin définitive de tout ce qui reste de France), que les socialistes sont les mieux placés pour faire les réformes nécessaires, et notamment imposer une vraie rigueur, bien plus sérieuse que celle de Sarkozy…
Rappelant que c’est lui qui a recruté le jeune François Hollande, le modeste Attali reproche, d’autre part, au Président de la République de n’avoir appliqué que la moitié de ses recommandations. Mais quel est donc le vrai projet politique de Jacques Attali ? Dans leur livre « La faute du Bobo Jocelyn », Pierre Cassen et Christine Tasin décrivent, avec beaucoup d’humour, mais hélas terriblement de lucidité, ce que sera le vrai programme du nouveau président de la République, Francis Laslande. Dans une réunion discrète, à Marrakech, chez un philosophe nommé Bernard-Remi Ravi, en présence du nouveau président de la République, mais aussi de Marie Bory, premier ministre, Florence Berlingot, présidente du plus grand syndicat patronal, Lionel Von Moditt, député écologique européen, Jean-Jules Méchandon, représentant l’aile gauche du nouveau gouvernement, Frédéric Fossecane, ancien président du FMI, Roland Nimbus, éléphant historique socialiste, et un nommé Marc Attila, ministre de la Mondialisation solidaire, qui ressemble étrangement à Jacques Attali… C’était lors de cette réunion discrète que ce dernier avait dicté le programme que l’on attendait, en haut lieu, du nouveau gouvernement. Nous ne résistons pas au plaisir de vous proposer ce texte, écrit en août 2011.
Marc Attila avait pris la parole et s’était livré à un magistral exposé, durant 45 minutes. Il avait su, avec beaucoup d’habilité, flatter les uns et les autres. Il s’était placé sur une vision solidaire et internationaliste du monde, qui devait dépasser les égoïsmes nationaux, et s’était félicité qu’autour de la table cette lecture du monde soit partagée. Il avait ainsi loué la lucidité de Jean-Jules Méchandon, qui, inlassablement, réclamait la régularisation de tous les clandestins et une immigration qui embellissait le peuple de France. D’ailleurs, lui, le bouffeur de curés, comprenait que le verlam n’était pas un problème pour la France, mis à part deux ou trois excités, mais au contraire une aubaine. Il lui avait su gré également d’avoir résisté à une démagogie facile, en refusant de suivre ceux qui proposaient la sortie de l’Union européenne, ce qui, bien sûr, aurait été une catastrophe pour le pays, et pour les plus modestes. Flatté, le président de Groupe de gauche, qui, par le passé, n’avait pas toujours eu une tendresse particulière pour Marc Attila, se rengorgeait, conscient du chemin parcouru depuis le moment où il n’était que le plus jeune sénateur de France, venu de l’extrême gauche et passé au Mouvement socialiste.
Marc Attila avait donc expliqué que la situation exceptionnelle nécessitait des mesures exceptionnelles, un aggiornamento total d’une histoire de France qui avait eu son heure de gloire, mais dont il fallait tourner la page. Il avait repris sa théorie des États-nations qui devaient être comme des hôtels, dans lesquels on entrait librement, on restait aussi longtemps qu’on voulait, et d’où on partait quand on le désirait. Il avait expliqué que le repli souverainiste serait un suicide, et que, quitte à entrer dans la mondialisation, il fallait cesser de rester au milieu du gué et y entrer de plain pied. Un silence religieux accompagnait un exposé brillant, précis, où, les unes après les autres, les pièces du puzzle se mettaient en place.
Le ministre de la Mondialisation solidaire avait donc expliqué qu’il fallait d’abord régulariser tous les clandestins qui se trouvaient sur le territoire français, que ce serait un message fort que le monde entier attendait. Il avait développé, ensuite, l’idée qu’il fallait ouvrir totalement les frontières car la France et l’Europe avaient besoin d’une nouvelle main-d’œuvre, d’une nouvelle civilisation (il avait félicité au passage Marie Bory, Francis Laslande et Roland Nimbus pour l’expression socialiste de « la nouvelle civilisation », qu’il avait trouvée géniale), et d’un nouveau dynamisme que les Français d’origine, beaucoup trop embourgeoisés et corrompus par les avantages de l’État -providence, ne pouvaient plus amener. Il avait enfin expliqué que la France avait des atouts énormes, grâce à sa politique tournée vers le monde arabe, et qu’il était temps de proposer des accords intelligents aux dirigeants du Golfe et de l’Afrique du Nord. Marc Attila avait d’abord expliqué que la finance verlamiste représentait, dans le monde, un potentiel économique de 1000 milliards de dollars, et que les potentats du Golfe avaient été séduits par le fait que la France, sous Catherine Lafargue, avait su modifier sa constitution pour pouvoir l’accueillir. Il avait ajouté, devant une assistance ébahie, que ses contacts, ainsi que ceux de Bernard-Rémi Ravi, avaient été fructueux, et qu’il pouvait garantir qu’en une année, grâce à cet apport nouveau pour la France, estimé à 200 milliards d’euros, le budget serait en équilibre. Il avait insisté sur l’onde de choc que provoquerait cette annonce, et sur l’inévitable confiance que la Bourse allait retrouver.
Il avait décrit les grandes lignes du deal qu’ils pourraient présenter aux dirigeants du Golfe. D’abord, leur demander de ne pas augmenter le prix du pétrole, durant vingt ans. Gavés de pétrodollars, ils en avaient les moyens. Leur faire miroiter ensuite les avantages qu’ils pouvaient tirer de l’introduction en France de la finance verlamiste et leur demander de s’engager sur une somme de 200 milliards par an, qui augmenterait de 10 % chaque année, tout en les rassurant, bien sûr, sur les retombées de cet investissement. Grâce à la libre circulation des citoyens que la France s’engagerait à mettre en place, il y aurait une entrée minimale de 500.000 personnes nouvelles par an, qui obtiendraient au cours de l’année suivante la nationalité française si elles le désiraient. Il fallait, de plus, mettre en avant les retombées économiques d’une nouvelle population, pour la France et pour les pays arabes, notamment autour de l’alimentation. Leur faire miroiter, par l’enseignement de l’arabe dans les écoles primaires françaises, comme première langue étrangère, le rayonnement d’une culture qui s’était implantée en Europe avant la culture judéo-chrétienne et les encourager à acheter des biens publics prestigieux.
Marc Attila avait expliqué que l’acquisition du Paris-Saint-Gratien par l’émir du Qatar avait été un premier pas qui n’avait pas choqué les Français, qui se moquent de l’origine de l’argent. Pourquoi ne pas envisager, expliquait le conseiller, de leur proposer d’acheter des biens historiques, comme le musée du Louvre, le Panthéon ou le château de Versailles, et de devoir en assumer l’entretien ? Les Grecs avaient su vendre le port du Pirée aux Chinois, il y avait en France un potentiel énorme. Mais il y aurait un prix à payer pour leur pays : il faudrait revenir sur certaines erreurs passées, par ailleurs fort maladroites, qui avaient blessé leurs partenaires. Ils devraient, pour donner des gages, autoriser de nouveau le voile à l’école et abroger la loi de cet imbécile de Sanquin, qui, pour quelques dizaines de burqas, avait failli mettre la France à feu et à sang.
Les dirigeants arabes cherchaient la reconnaissance des pays occidentaux et une crédibilité qui leur faisait encore défaut. Il fallait les aider dans leur démarche et favoriser d’abord l’entrée dans l’Union européenne de l’Algérie, du Maroc et de la Tunisie, afin de donner les moyens à la France et à l’Europe d’être positionnés dans le monde tel qu’il allait évoluer.
Quand il eut fini, tous applaudirent spontanément un exposé d’un tel brio, et Marc Attila, tout en se rengorgeant, avait baissé les yeux, rougi légèrement, et demandé, d’un signe de main, qu’on arrête ces démonstrations. On n’était pas dans un meeting, tout de même !
Ajoutons ces deux perles de celui qu’on nous présente comme un génie que le monde nous envie.
Selon lui, l’islam, dans certaines régions françaises, aurait été présent avant le christianisme, dont il conteste qu’il fasse partie de l’héritage français.
Affirmer les racines chrétiennes de la France serait donc une manœuvre visant à exclure les musulmans !
YouTube
Mais la meilleure est tout de même celle-ci : en période de chômage de masse, il réclame 300.000 nouveaux immigrés par an, en France, durant trente ans !
http://www.youtube.com/watch?v=Gfp5k1VP7Hg
Dans un de ses ouvrages (« L’avenir du travail », p.118), Jacques Attali avait encore été plus loin : « [Pour sauver les retraites] le troisième choix conduirait à organiser la venue de deux millions d’étrangers par an entre 2020 et 2040, ce qui se traduirait, sur l’ensemble de la période considérée, du fait de l’élargissement des familles, par l’entrée sur notre sol de 93 millions d’immigrés ; la France compterait alors 187 millions d’habitants, dont 68 % d’immigrés de première ou de deuxième génération ».
Le vrai programme de François Hollande, c’est Jacques Attali : la fin de la France et des Français. La dissolution de notre pays dans une union fédérale européenne, au service du village mondialisé. Un remplacement de population, le Gaulois devant s’effacer devant l’homme nouveau, forcément métissé, au service d’une nouvelle civilisation tournant le dos à notre héritage. C’est ce que réclame également le cabinet conseil Terra Nova. Certes, au Bourget, Hollande a dit tout le contraire. Mais si le candidat socialiste veut être élu, il ne peut annoncer la couleur, ce serait un suicide électoral.
A nous de le faire à sa place(ripostelaique.com)
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