lundi 5 septembre 2011

JE TROUVE ECOEURANT DE HARCELER JACQUES CHIRAC ! ***Blog-Notes N°73



J'étais au Palais ce matin, pour l'un des nombreux procès qui me sont intentés par la racaille islamique.


La racaille...journalistique, y était particulièrement présente : les rapaces en quête de scoops, s'empressaient de toutes parts, et je dû même jouer des coudes, pour atteindre ma table attitrée, à la buvette.

J'ai bien connu Jacques Chirac.

Dans les années 70, il m'avait nommé président de l'un des bureaux de vote de Passy. Il m'avait également nommé Administrateur, à la 16ème section du Bureau d'Aide sociale, et, remis lui-même, en 1984, la Médaille de la Ville de Paris.

J'étais alors, l'adjoint du Secrétaire de la XXème circonscription du RPR (XVIème sud) et étais en bonne position pour être élu Conseiller de Paris, aux prochaines municipales, lorsqu'un coup de vice de mon supérieur hiérarchique, un certain Nicolas Sarkozy (Secrétaire National des Jeunes du RPR), m'amena à démisionner de cette formation politique.

Je rencontrais assez souvent le premier magistrat de la ville, car nous avions plusieurs projets auxquels nous travaillions ensemble : en particulier la situation des SDF, qui, à l'époque, n'ayant pas de "domicile de secours", ne pouvaient percevoir aucune allocation du Bureau d'aide sociale.

J'eus l'idée, grâce à un constat d'huissier, de suggérer que ces personnes puissent "élire domicile" au siège d'une association caritative (comme le Secours catholique) -et grâce à Monsieur Chirac, ce projet devint une réalité.

L'ancien Maire de Paris est en fait, un homme particulièrement généreux -et très ouvert : il tutoyait Georges Marchais, avec qui, dans sa jeunesse, il avait vendu "L'Humanité Dimanche".

Aujourd'hui atteint par l'âge et par une maladie très handicapante (démence d'origine vasculaire), il fait l'objet d'un acharnement, de la part de ses ennemis politiques -et de magistrats politisés- qui les déshonore, les uns et les autres.

J'ai pris note de leur nom, afin de pouvoir, le moment venu, aller cracher sur leur tombe (à moins, bien sûr, que mes propres ennemis, n'aient été plus rapides...).

Jean-Pierre Pagès-Schweitzer

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