INTERESSANT ...MAIS A VERIFIER !
Psychiatrisation des dissidents politiques en France
On se doute que, comme jadis en URSS, il n’y a pas que des vrais malades dans les hôpitaux psychiatriques, et que certains dissidents politiques y paient le prix de leur insousmission au Système.
A commencer par les nationalistes.
Nous en avons un exemple actuellement ; un cas qui se déroule presque sous nos yeux. Il s’agit de Jean-Marc B. qui à l’issue d’une peine de prison de 11 ans, au lieu d’être libéré comme prévu, se retrouve interné d’office à Saint Anne, avec obligation de soins, et ce jusqu’à une date inconnue !
Il fait part de sa « mésaventure » à Hervé Ryssen, dans une correspondance dont voici l’extrait le plus significatif :
« Je crois qu’il serait bon de faire un petit article pour dénoncer cette psychiatrisation. De fait, c’est très grave. Il suffit de deux pseudo-expertises pour te faire déclarer “dingo” et t’imposer un suivi psychiatrique et, dans la foulée, une hospitalisation d’office par arrêté préfectoral.
Il y a une lettre du directeur du centre de détention de Val-de-Reuil. Les gardiens m’ont confirmé que cela venait de la direction. Donc du ministère, ou en accord avec lui. Il me semble que ce serait intéressant de relever le traitement que la racaille sarkozyste réserve aux nationalistes, ne serait-ce que pour montrer le double discours de la droite libérale.
Dans le jugement qui m’a condamné à une peine de surveillance judiciaire (incluant une injonction de soins), il est écrit notamment : « Jean-Marc B. n’a pas rompu avec ses idées d’extrême-droite ni avec une certaine forme d’antisémitisme. »
Le Système et ses valets, à cours d’arguments, utilisent donc les armes chimiques pour venir à bout de ceux dont ils n’aiment pas la pensée.
Quand les mondialistes accusent dans les médias, par exemple, les nationalistes de paranoïa, d’être des malades, des fous, etc., ce ne sont pas que des minables figures de style destinées à discréditer leurs contradicteurs : ils aimeraient les voir réduits à l’état de légumes, dans des chambres capitonnées, hors de vue…
Il s’agit donc de faire front et de dénoncer vigoureusement ses méthodes.
C’est une raison de plus de s’opposer à ce système totalitaire.
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