Pierre-Antoine Cousteau (1906-1958)
Il était une fois deux frères. L’un, Jacques-Yves, avait la réputation d’être très gentil, alors que l’autre, Pierre-Antoine, s’était fait rectifier le portrait par des virtuoses du faux-semblant pour qu’il apparaisse très méchant.
Le frère « très gentil » réussit l’exploit de combler son amour des liquidités sans se mouiller, alors que le frère « très méchant » se mouilla jusqu’au cou, quand bien même il resta à sec sur le quai.
Le cadet, Jacques-Yves, se fit le défenseur des petits poissons, alors que l’ainé, Pierre-Antoine, préféra quant à lui s’attaquer aux gros poissons.
Le cadet, officier des services de renseignements de la « Royale », savait prendre le vent puisqu’il fut proclamé « Grand Résistant » à la Libération.
Ce qui ne l’empêcha pas, en plein conflit, d’accepter des pièces sous embargo et autres rares instruments que lui trouva son grand frère, grâce à quoi il put réaliser les appareils de plongée et de prise de vue qui firent sa gloire et sa fortune. Et quand l’un faisait des bulles sous l’œil des caméras dans l’eau limpide des lagons bleus, l’autre plongeait tête baissée dans les grands fonds pour mieux débusquer de dangereux prédateurs à tentacules...
Selon une rumeur persistante circulant sur l’Internet, certes bien plus difficile à vérifier que celle concernant la réalité de l’existence de chambres à gaz homicides sous le Troisième Reich, Jacques-Yves Cousteau aurait vu et même filmé en 1995 un terrifiant monstre marin dans les profondeurs de la Mer Rouge. Peut-être s’agissait-il, en l’occurrence, d’un rejeton de ces bibliquement authentiques « piétons de la Mer Rouge », lesquels traversèrent, dit-on, la mer sans se mouiller en vue d’échapper – déjà – à un génocide concocté par les redoutables armées de Pharaon. On peut imaginer un trainard, surchargé de butin, se laissant surprendre par le brusque retour des flots, survivant miraculeusement à la noyade grâce à une providentielle mutation tératogène (vu au cinéma !) et faisant souche pour le plus grand malheur des petits poissons du coin !
Comme il faut bien croire aux chambres à gaz, on peut tout imaginer puisque, de nos jours, impossible n’est pas casher. Dans ce cas, les deux frères auraient-ils aperçu la même effroyable chose ? l’un n’a rien dit (sans doute pour ne pas chagriner les piétons), l’autre a trop parlé (il a fait de la peine !).
Pour récompenser le « gentil » frère, devenu le célèbre commandant Cousteau, les petits poissons le proclamèrent « immortel » et lui offrirent, sous une coupole bien étanche, un fauteuil confortable au sein d’un cénacle prestigieux où l’on ne craint plus qu’une chose : la lettre « Z ». Pour punir le « méchant » frère, les gros poissons le firent condamner à mort pour avoir un peu séché sur la lettre « J », et commuèrent ensuite sa peine en détention à perpétuité, ce qui est presque aussi long que l’immortalité, mais en moins confortable. Bien heureusement, cette immortalité-là ne se prolongea pas indéfiniment pour Pierre-Antoine Cousteau : il fut gracié par le président Vincent Auriol en 1954 et resta jusqu’à son décès quatre ans plus tard un collaborateur fidèle de l’hebdomadaire RIVAROL.
L’article ci-dessous, que Pierre-Antoine Cousteau a écrit en février 1939, reste d’une brûlante actualité, puisque la chair à canon française, qui a si bien servi les intérêts de la juiverie internationale en l’an 40, continue de se rendre utile en Afghanistan et en Lybie, pour le plus grand profit des mêmes.
René-Louis BERCLAZ
(propagandes.info)
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