CHRONIQUE DE L'ISLAMISATION DE L'ITALIE
Italie : les Sénégalais exigent un marché multi-ethnique,
un poste d’adjoint au maire... et une mosquée
ROME (NOVOpress) – Un des spectacles aujourd’hui les plus caractéristiques des villes italiennes est celui de revendeurs sauvages, qu’il serait difficile de prendre pour des Italiens de souche et qui envahissent les places en étalant des couvertures chargées de faux sacs griffés, fausses lunettes de soleil de marque, fausses montres suisses, bref tout ce qu’on peut imaginer en fait de contrefaçon. La plupart de ces revendeurs sont en fait des Sénégalais, en bonne partie clandestins.
Peu de maires ont le courage de s’attaquer à ce problème d’ordre public. Quand ils le font, ils s’exposent à des réactions violentes, comme cela a été le cas, il y a quinze jours, à Livourne, où, selon la presse locale, « une armée de clandestins vend des marchandises contrefaites, sans aucun contrôle ». Des policiers municipaux ayant voulu saisir la marchandise contrefaite d’un vendeur Sénégalais, une centaine de ses compatriotes sont venus à son secours et ont attaqué les policiers. On a dénombré sept blessés : un Sénégalais, heurté accidentellement par les policiers qui battaient en retraite, et six agents. Un seul Sénégalais, Nianang Ibra, à l’origine de l’échauffourée, a été arrêté, pour être immédiatement remis en liberté par le juge Elsa Iadaresta.
Le maire de Caserte (Campanie) a donc jugé plus prudent de négocier avec les revendeurs Sénégalais. Il les a reçus à la mairie, une première fois le 31 mai, une seconde fois hier, vendredi 3 juin. La délégation sénégalaise, présidée par Mamadou Sy, était accompagnée des représentants de plusieurs associations antiracistes locales ainsi que de la « Caritas » (le Secours catholique italien) qui, le progressisme aidant, est aujourd’hui en Italie un des plus actifs lobbies immigrationnistes.
Voici donc les exigences formulées par les Sénégalais : création d’un marché multi-ethnique, avec 150 places réservées aux Sénégalais pour « vendre les produits de leur terre » (les faux sacs Vuitton, par exemple ?) ; établissement d’un poste d’adjoint à l’immigration, qui sera confié à un immigré, « en qualité de conseiller muncipal additionnel, pour exprimer nos demandes en personne » ; enfin, bien sûr, construction d’une mosquée. Comme l’a dit Mamadou, «dans un parcours d’intégration et de respect des autres cultures, l’absence de lieu où pratiquer la religion musulmane ne peut plus durer». Le courageux maire de Caserte a promis de soumettre ces demandes à son conseil municipal.
Tant qu’à faire, les Sénégalais pouvaient demander tout de suite que les Italiens s’en aillent en laissant leurs maisons, leurs femmes et leurs filles.
[cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine
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