mardi 26 avril 2011

RIVAROL : L'HEBDO DE L'ULTRA-DROITE



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RIVAROL, UN MIRACLE PERMANENT DEPUIS 1951

C’est en janvier 1951 que RIVAROL était lancé par l’équipe fondatrice de la revue “Ecrits de Paris” à laquelle s’étaient joints les jeunes loups Antoine Blondin, Julien Guernec (François Brigneau) et Maurice Gaït.

Comment un hebdomadaire dépourvu de toute publicité, exclu des aides publiques et persécuté par la Justice pour son anticonformisme et son culte de la vérité a-t-il pu traverser le siècle alors qu’ont disparu tant de journaux politiques comme “L’Unité” socialiste ou “L’Evénement du jeudi” et tant de quotidiens comme “Le Populaire”, “Le Matin” ou ”Paris-Jour” ?

Sans doute grâce à l’attachement de ses lecteurs, parfois de “dynasties” de lecteurs, à un journal qui s’est voué depuis plus d’un demi-siècle au combat contre l’imposture,la désinformation, les puissances établies et pour la sauvegarde de notre mémoire.


Cinquante-cinq ans de révisionnisme tous azimuts qui n’ont pas émoussé les griffes et les dents d’une équipe (dirigée depuis 1983 par Camille Galic) toujours renouvelée.


Et toujours redoutable aux yeux de l’anti-France comme en témoigne la douzaine de procès intentés ces dernières années par le Mrap, la Licra, la Ligue des Droits de l’homme et autres lobbies, dans le but proclamé de ruiner ce journal trop attaché à la survie du monde occidental et de la civilisation helléno-chrétienne, et de le faire disparaître.


Malgré procès, saisies, attentats, incendies, RIVAROL a cependant résisté et depuis une quinzaine d’années, il accroît même son audience, qu’il s’agisse de la vente en kiosques ou par abonnements, dans une époque où la “galaxie Gutemberg” ne cesse pourtant de céder du terrain au multimédia.

Et, chose plus étonnante encore, son lectorat a progressé non seulement en France mais aussi à l’étranger, et dans des pays non francophones. De l’Australie à la Finlande, notre journal est acheté, lu et apprécié !

Grâce à sa verve polémique mais aussi à son souci de l’information, avec les dessins de Chard, les plus percutants (et les plus poursuivis) de la presse européenne, les éditoriaux, les chroniques de Claude Lorne, de P.-L. Moudenc et de Patrick Laurent,

les articles de Jérôme Bourbon, Jean-Paul Angelelli, Pierre-Patrice Belesta, Petrus Agricola, Grégoire Duhamel, François-Xavier Rochette, Laurent Blancy, René Blanc ou Jim Reeves, qui vous montrent avec une ironie dévastatrice le dessous des cartes.

Bienvenue au club des mal-pensants et fiers de l’être!


Samedi matin, Jean-Marie Le Pen nous a confié, en marge de cette réunion du conseil scientifique du FN, qu’il était “un peu irrité de voir les agressions de certains journaux” contre la candidature de sa fille, Marine Le Pen.

M. Le Pen visait Rivarol, hebdomadaire qui ne cache pas son soutien pour Bruno Gollnisch et qui est par ailleurs extrêmement virulent envers Marine Le Pen.

Rivarol, créé en 1951 pour partie par d’anciens collaborateurs, est un journal qui a toujours défendu Pétain, qui, parmi les premiers, a ouvert ses pages aux négationnistes, et dont certains rédacteurs ont été condamnés pour “incitation à la haine raciale”.

L’on notera aussi que ce journal se fait l’écho des annonces de décès des anciens de la division SS Charlemagne.

Tenant donc d’une ligne très “1940″, Rivarol a adopté au début des années quatre vingt dix un parti pris anti-juif virulent, désormais à la limite de l’obsessionnel.

Aujourd’hui, ce journal affichant des positions de plus en plus radicales, est dirigé par Jérôme Bourbon.

Par labrousse (labrousse.eric ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤

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