mardi 26 avril 2011

PEDOPHILIE ET EPHEBOPHILIE EN TERRE D'ISLAM

La maison d’Allah, un royaume où l’enfance est martyrisée.

Petit tour d’horizon des turpitudes sexuelles et de l’hypocrisie morale en terre d’islam (Yémen, Pakistan, Afghanistan).

Mais aussi, deux petites précisions. En effet, étant donné que les imams font visiblement très mal leur misérable travail, rappelons deux choses.

1) Que la dévastation de l’intimité d’une enfant est effectivement autorisée par l’islam, en vertu (sic) de la jurisprudence « Aïcha contre Mahomet et le ministère islamique », celle-ci ayant été fiancée au « beau modèle » d’inspiration divine, à l’age de 6 ans, puis honorée (toujours selon des considérations coraniques) à l’age de 9 ans.

2) Que les jeunes garçons ont beaucoup plus de valeur aux yeux d’Allah. Par conséquent ceux-ci ne doivent être « vus comme des perles défilées » (à enfiler ?) qu’au paradis d’Allah (sourate 76:19). Aussi pas touche aux garçonnets ici-bas. Ayez la décence islamique d’attendre un peu que diable.



(sourate 76:19)

Au Yémen, la loi stipule qu’une jeune fille peut être mariée dès l’âge de 9 ans

Une Yéménite de 10 ans violée quotidiennement par son mari âgé

C’était le rêve de toutes les petites filles ; elle allait avoir une nouvelle robe, des bijoux, des sucreries et une fête pour tous ses amis.

Ce qu’Aïcha ignorait, à 10 ans, c’est qu’après la célébration du mariage elle devrait abandonner l’école, déménager dans un village loin de chez ses parents, passer ses journées entre la cuisine et le ménage, et avoir des rapports sexuels avec son mari plus âgé.

« Il a sorti un drap spécial et m’a déposée dessus », a déclaré Aïcha à IRIN en tordant ses petites mains potelées. « Quand il l’a fait, j’ai commencé à saigner. C’était si douloureux que je pleurais en criant, et désormais il est pour moi l’image de la mort. »

Droguée et battue

Après une semaine à repousser son mari tous les soirs, le père d’Aïcha a été appelé. Il avait reçu pour sa fille une « shart » (dot yéménite) de 200 000 rials (1 000 $), et il n’était pas en mesure de les rembourser.

« Mon père a préparé une tasse de thé, il y a mis des pilules, et il me l’a donnée. Les pilules m’ont étourdie, a raconté Aïcha. Mon père m’a dit de coucher avec mon mari sinon il allait me tuer, mais j’ai refusé. »

Au contraire, pour tenter désespérément de rester éveillée, Aïcha s’est cassé sur la tête une bouteille en verre. « Mon père m’a frappée violemment. Je saignais de la bouche et du nez », raconte-t-elle.

Au bout de quelques mois dans la maison de son mari, où elle affirme qu’il la droguait et la battait régulièrement, Aïcha a réussi à s’échapper. Aujourd’hui, deux ans plus tard, elle a 12 ans et se trouve dans l’impossibilité de divorcer.

Un viol, pas un mariage

En février 2009, le parlement a adopté une loi fixant l’âge minimum du mariage à 17 ans, mais, selon les organisations locales de défense des droits des femmes, elle a été rejetée par la Commission de codification de la charia islamique au motif qu’elle était contraire à l’islam.

Il n’existe donc pour l’instant au Yémen aucune loi pour protéger les enfants contre les mariages précoces.

«Je n’appelle pas ça un mariage, mais du viol », a déclaré Shada Mohammad Nasser, une avocate à la Haute Cour de Sanaa. Elle a plaidé au tribunal plusieurs demandes de divorce au nom de fillettes mariées, mais elle reconnaît avoir perdu la plupart de ces affaires. Seules quelques petites filles ont réussi à divorcer.

« La loi sur le mariage stipule qu’une jeune fille ne doit pas coucher avec son mari avant d’avoir atteint la maturité, que la loi fixe à l’âge de 15 ans. Mais la loi n’est pas appliquée », a déclaré Nasser.

Une jeune fille peut être mariée dès l’âge de neuf ans, mais elle ne peut pas légalement demander le divorce avant ses 15 ans. L’argent versé par le mari pour sa «femme» est un obstacle supplémentaire au divorce, et la cause ne peut être plaidée que devant un tribunal du gouvernorat où le mariage a été prononcé.

«Habituellement, le mariage est prononcé dans le gouvernorat de l’époux, et les juges ont tendance à favoriser leur propre clan », explique Nasser. « Beaucoup de juges ont des vues mystérieuses sur les femmes ».

Selon le centre international de recherche sur les femmes (International Centre for Research on Women, ICRW), basé à Washington DC, un peu moins de la moitié des filles yéménites, 48 pour cent pour être exact, sont mariées avant l’âge de 18 ans. Aux termes de la Convention des Nations unies sur les droits de l’enfant, elles sont considérées comme mineures.

D’après une étude inédite sur le mariage précoce menée en 2007 par le Centre de recherche et d’étude de l’université de Sanaa sur la situation des femmes, jusqu’à la moitié des filles de moins de 15 ans sont mariées dans certains gouvernorats.

Le Yémen a signé la Convention relative aux droits de l’enfant et la Convention sur l’élimination de la discrimination à l’égard des femmes (CEDAW). Une lueur d’espoir ?

Des enfants parents

« Le plus grand problème que doivent affronter aujourd’hui les femmes yéménites est le mariage des enfants », a déclaré Wafa Ahmad Ali, de l’Union des femmes yéménites, qui fait campagne depuis longtemps pour le relèvement de l’âge minimum du mariage.

« Ces mariages précoces privent les petites filles de leur droit à une enfance normale et à l’éducation. Au lieu d’aller à l’école et de jouer avec d’autres enfants, les filles sont contraintes d’avoir des enfants avant que leur corps soit complètement développé », a-t-elle observé.

Toutefois, la ministre des droits de la personne, Huda al-Ban, a déclaré à IRIN que le président Saleh avait récemment décidé de présenter – pour discussion au Parlement en mai – le projet de loi fixant à 17 ans l’âge minimum du mariage. « Si le projet est adopté, il pourrait prendre force de loi en septembre », a-t-elle dit.

Un monde violent

Pendant que les politiciens se disputent au parlement, des jeunes filles comme Aïcha sont prises dans un monde violent d’adultes, qu’elles sont trop jeunes pour comprendre et dont elles peuvent encore moins s’échapper.

« Ce sont nos traditions», a déclaré le père d’Aïcha. Il admet toutefois qu’elle était peut-être trop jeune pour le mariage. Bien qu’elle ait dorénavant un avocat, Aïcha ne pourra divorcer que lorsque les deux hommes qui contrôlent sa vie (son père et son mari) s’entendront sur les montants à recevoir par chacun.

En tout cas, Aïcha sait ce qu’elle veut : « J’aime mieux mourir que de retourner auprès de lui », dit-elle en essuyant une larme derrière son voile.

Source : Law stipulates girls can marry at just 9 in Yemen, Al Arabiya, 21 février 2010 Traduction Poste de veille (Merci à mon traducteur)

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L’esclavage sexuel d’enfants, parfois âgés d’à peine 10 ans, est toléré et souvent même protégé par les autorités dans le nord de l’Afghanistan.

Un reportage diffusé ce soir sur Four Corners se penche sur la pratique du « bacha bazi » ou « enfant jouet » et sur d’autres affaires d’abus sur des enfants.

Le journaliste afghan Najibullah Quraishi a filmé des policiers participant à une fête où le « spectacle » est un jeune garçon. Parmi les policiers présents, la vidéo montre un membre de la brigade des mineurs.

Ces séances sont illégales selon la loi afghane, et à juste raison : les « danseurs » sont en fait des esclaves sexuels. Ils sont tirés de la rue par des maquereaux, on leur apprend à chanter et danser, à se maquiller et à s’habiller en filles. Ensuite, on les force à se produire devant des groupes d’hommes nombreux. Tous sont abusés sexuellement.

Les « danseurs » sont une affaire lucrative. Des hommes puissants, anciens chefs de guerre ou hommes d’affaires, adorent les regarder et sont prêts à payer cher pour avoir leur propre « enfant jouet ». Certains de ces garçons sont échangés comme des cartes à jouer entre les riches et les puissants, et s’ils désobéissent à leur propriétaire ils sont tués ou brutalisés.

Le commerce des jeunes garçons est bien connu des Nations unies. Selon Nazir Alimy, qui a établi pour l’ONU un rapport sur ce sujet, on sait parfaitement qui finance ces pratiques et pourquoi la police refuse d’y mettre fin.

« Selon notre enquête, ces « danseurs » sont utilisés par des hommes puissants pour des relations sexuelles », a affirmé Mr Alimy.

L’émission de Four Corners diffusée lundi suit l’activité criminelle de deux pédophiles en quête de jeunes garçons qu’ils pourront vendre ou préparer à suivre une formation de « danseurs ». Dans un cas, le journaliste accompagne dans sa voiture un pédophile du nom de Dastager. En roulant, Dastager décrit le type de garçons qu’il recherche. Puis, en plein jour, le maître des « danseurs » arrête sa voiture, se dirige vers la vitrine d’une boutique et ramène avec lui un jeune garçon.

Selon le rapport de l’ONU, des éléments démontrent que la pratique des « enfants jouets » et les abus sexuels sur des jeunes garçons sont courants dans tout le nord du pays. Ce document confirme que ces garçons, dont certains ont à peine 10 ans, sont piégés dans une vie d’esclaves sexuels.

D’autres informations démontrent par ailleurs que ce type d’abus se répand dans tout l’Afghanistan. Mr Alimy confirme que son enquête révèle que les mêmes faits se produisent dans le sud et même à Kaboul, la capitale afghane. « C’est vrai, affirme-t-il, qu’ils habillent ces garçons en filles et les font danser devant de nombreux hommes ».

Les hommes puissants auxquels il fait allusion sont souvent d’anciens seigneurs de guerre qui ont aidé à débarrasser le nord du pays des talibans. D’autres sont de riches hommes d’affaires. Sous les talibans, le « bacha bazi » était interdit. Aujourd’hui, cette pratique reste hors la loi, mais il est manifeste qu’aucune action concertée n’est entreprise pour y mettre fin, ainsi qu’à l’activité criminelle qui tourne autour.

Ne parvenant pas à trouver le moindre interlocuteur désireux d’agir à propos des abus sur enfants, Mr Quraishi a pris l’avion pour New York où il a rencontré Radhika Coomaraswamy, nommée par l’ONU pour attirer l’attention sur le sort des enfants dans les zones de guerre.

Elle exprime son profond pessimisme quant à l’avenir de ces enfants et à la capacité des officiels à faire cesser le commerce des jeunes garçons.

« Quand j’ai abordé le sujet, c’est comme si j’avais jeté un pavé dans la mare, et surtout dans les cercles officiels, a-t-elle déclaré. Il m’est apparu de manière parfaitement claire, et certains me l’ont effectivement dit, que ce ne sont pas des choses dont on parle : occupons-nous d’abord de la guerre. Ensuite, nous règlerons ces autres questions ».

Source : The Warlord’s Tune: Afghanistan’s war on children, par Mark Bannerman, ABC News, 22 février 2010 Traduction Poste de veille (Merci à mon traducteur)

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Les terminus de lignes de transport et les stations d’autobus sont les centres de l’exploitation sexuelle commerciale des enfants.

95 pour cent des chauffeurs de poids lourds, qui vivent en moyenne 21,5 jours par mois hors de chez eux, envisagent les activités sexuelles comme principale distraction pendant leur temps de repos.

Ces chiffres déplorables ont été révélés avec la publication d’un rapport établi par Sahil, une ONG consacrée aux droits des enfants, et intitulé « Analyse de la situation de l’exploitation sexuelle commerciale des enfants dans l’industrie du transport au Pakistan ».

En faisant ressortir les principaux résultats de ce travail, le Dr Muhammad Tufail, président du groupe d’enquête, a expliqué que si les relations sexuelles avec des femmes sont elles aussi très fréquentes en ces lieux, les chauffeurs préfèrent les jeunes garçons parce qu’ils sont faciles d’accès et coûtent moins cher. Citant quelques unes des raisons de cette préférence, il a mentionné le fait qu’il n’y avait pas de risque de grossesse et qu’il n’était pas nécessaire de prévoir un endroit sûr.

Hormis les membres de la famille des chauffeurs, le Dr Tufail a affirmé que pratiquement tous les jeunes garçons qui servent d’assistants et accompagnent les chauffeurs sont exploités sexuellement. Révélant une autre tendance honteuse dans ces terminus, il a expliqué que les plus âgés de ces jeunes assistants exploitent souvent les plus jeunes, nouveaux dans la profession. Il a noté que ces garçons sont à haut risque de maladies sexuellement transmises, et notamment de sida, car à en croire les résultats de cette enquête les chauffeurs ne se préoccupent pas de protection quand ils ont affaire à des garçons.

Les jeunes assistants sont pour la plupart des adolescents de 15 ans ou plus et, dans la plupart des cas, ils sont illettrés ou ont quitté l’école très tôt. L’orateur a expliqué que cette exploitation sexuelle des enfants dans le secteur des transports les expose à de multiples formes de violence à différents niveaux.

Le salaire moyen d’un assistant est de 2000 à 5000 roupies par mois. En plus de ce salaire, certains des jeunes gens complètent leurs revenus en pratiquant des massages et en vendant du sexe, les jolis garçons pouvant gagner plus de 10 000 roupies par mois avec ces activités sexuelles tarifées.

Dans ses recommandations, l’étude a instamment demandé au gouvernement de reconnaître officiellement l’exploitation sexuelle de ces garçons, afin que l’on puisse formuler une politique, des réformes et des mesures juridiques pour protéger les garçons de cette menace.

Les principales pratiques de l’exploitation sexuelle commerciale des enfants sont la contrainte sexuelle, les mariages précoces, l’abus de drogues et le tourisme sexuel, en plus de la très fréquente exploitation sexuelle dans les lieux de pèlerinage, les écoles et l’industrie du transport.

Source : 95% truckers indulge in sex with helpers, par Myra Imran, The News, 19 février 2010 Traduction partielle par Poste de veille (Merci à mon traducteur)

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