samedi 16 avril 2011

GARDE A VUE : UN SALE COUP POUR LA GESTAPO DE LA "RUE DU CROISSANT " !

GARDE A VUE : UN SALE COUP POUR LA GESTAPO DE LA RUE DU CROISSANT !

La Cour de Cassation a ordonné l'application immédiate -à partir d'aujourd'hui- de la nouvelle législation sur la "Garde à vue", au grand dam des policiers (...et du Parquet).

Lorsque mon bon voisin Mohamed BOULEDROUA, m'a injustement accusé de lui avoir délibérément écrasé la main droite, les policiers du Commissariat du IIème ardt (sis "rue du croissant"), sont venus m'interpeller à mon domicile, et, une fois au commissariat, alors que je déclarais vouloir garder le silence, je fus mis en garde à vue, et enfermé dans une cage avec des racailles toxicomanes.

Je fus renvoyé devant la XXVIIIème Chambre du TGI, par le Vice-Procureur de la section P2O du Parquet de Paris, Madame Nathali SAVI.

J'eus la chance de tomber sur un Magistrat intègre, Monsieur Jean Gerville, qui, bien que le Substitut de Mme Savi, ait requis contre moi, à l'audience, trois mois fermes d'emprisonnement, me relaxa. (Mon voisin a interjeté appel...).

Il n'en reste pas moins que la Police et le Parquet ont fait leur maximum pour m'envoyer en prison.

Le Policier chargé de cette affaire, le Gardien de la Paix David Poquet (contre qui j'ai d'ailleurs porté plainte) a indiqué dans son "Compte rendu d'enquête"
que "j'avais écrasé la main de mon voisin entre la porte de son logement et le mur du palier".
S'il avait pris la peine de venir sur place, il aurait constaté que cela est impossible, étant donné que ladite porte ne s'ouvre qu'à moitié...

Quant au Vice-Procureur, elle n'a pas cru devoir vérifier mes allégations, selon lesquelles le dénommé Bouledroua a simulé une fracture, et a produit la radio d'un état séquellaire, consécutif à un traumatisme antérieur -avec lequel, je n'ai bien sûr, rien à voir...

En réalité, mon voisin s'est probablement donné un coup de marteau sur la dernière phalange du petit doigt de la main droite (extrémité distale de P1 du 5ème doigt), en 2008, alors qu'il posait un parquet en bois, dans son studio (un comble, situé immédiatement au-dessus du mien, qu'il a illégalement surélevé, en 1995).

Il s'est rendu à l'Hôtel-Dieu où on lui a fait une radiographie (Dossier N°1194003737 5), et on lui en a remis un cliché.

Lorsqu'il m'a accusé de lui avoir écrasé la main, en mai 2010 (donc 2 ans plus tard), on lui a fait une nouvelle radio de la main droite (qui se trouve également dans le dossier de la "radiographie centrale" pré-cité).

Je présume qu'en se rendant à l'Unité Médico-judiciaire de l'Hôtel-Dieu, il s'était munis de l'ancienne Rx de 2008, et que c'est celle-ci qu'il a présenté au Médecin des UMJ, et non celle que l'on venait de lui faire.

J'ai cité ce médecin, le Dr Karim Younsi (médecin algérien, non inscrit au Tableau de l'Ordre des médecins),devant la XIIème Chambre correctionnelle du TGI (audience le Vendredi 2 septembre 2011, à 13 heures 30), car, soit il est complice de son compatriote Mohamed Bouledroua, soit il a été négligent et n'a pas vérifié la date de la radio, avant de lui délivrer un certificat de 30 jours d'ITT.

Dans les deux cas, je pense que ce médecin, n'a pas sa place dans une Unité Médico-Judiciaire, où il est en situation d'envoyer des personnes en prison (ITT de plus de 8 jours)

En dépit de ma plainte auprès du Procureur de la République, rien n'a été fait pour vérifier le bien-fondé de mes allégations.

La direction de l'Hôtel-Dieu (Patrick Baudry), le Chef de Service (des Urgences et de l'UMJ), le Professeur Jean-Louis Pourriat, et même la Directrice générale de l'Assistance Publique-Hôpitaux de Paris (Mireille Faugère), cherchent, de toute évidence, à protéger le Dr Karim Younsi -ainsi que le mystérieux médecins des URGENCES, où M.Bouledroua s'était présenté dans un premier temps, qui l'a envoyé faire la radio, mais n'a pas demandé d'interprétation (comme cela se fait le plus généralement), lui a posé une attelle et lui a bandé la main, empêchant ainsi son collègue, le Dr Younsi d'examiner cette dernière...et lui a délivré un Arrêt de travail de 30 jours -sans le signer- (ce qui, d'après l'Ordre des Médecins, est illégal.

Toute cette affaire est donc, de toute évidence, un "coup monté" destiné à m'envoyer à l'ombre...fomenté par Mohamed Bouledroua -avec la complicité de la Police et du Parquet.

Jean-Pierre Pagès-Schweitzer
Directeur de l'Observatoire de l'Islamisation de la France
et de l'Europe
µµµµµµµµµµµµµµµµµµµµµµµµµµ





Aucun commentaire: