lundi 20 décembre 2010

JPPS FUT LE PREMIER A DENONCER, SUR LES 4 VERITES, L'ISLAMISATION DE LA FRANCE

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De la résistance comme moyen d'action

18 septembre 1999

(Réponse à Henry Frémont)

Henri de Frémont me reproche, dans le n° 226 (3 juillet 1999) de ne rien

proposer (« C'est du vent... », dit-il).

Avant de répondre à la question : « Que doit on faire ? », il convient de définir le mot "on".

Pour les "Yaka", "on", ce sont les hommes politiques : hier, ils espéraient que Charles Millon rassemblerait la droite; déçus, ils reportent aujourd'hui leurs espoirs sur Charles Pasqua.

En ce qui me concerne, lorsque je dis : « Que doit-on faire? », c'est d'abord à moi-même que je pose la question, et c'est dans les Français, dans les citoyens de base, que je place mon espoir.

C'est d'abord à moi-même qu'en 1985, lorsque je démissionnais de mon poste d'adjoint (Jeunes) au secrétaire de la 20e circonscription du RPR (16e Sud) - suite à un "coup de vice" de Nicolas Sarkozy (qui, à l'époque, était le Responsable National des Jeunes), je posais la question.

Que faire, face à la médiocratie ?

Que faire face au manque de clairvoyance (syndrome de Munich), ou à la lâcheté, de la classe politique française, qui choisit d'ignorer, voire de nier, l'insidieuse mais inexorable islamisation de la France (... et de l'Europe) ?

Ma réponse fut, et demeure : Résister !

Les peuples ont les gouvernements qu'ils méritent : ce n'est que par notre comportement individuel que nous mériterons de rester français.

Il nous faut résister - à tous les niveaux - par tous les moyens, à la propagande, aux tentatives de conditionnement, d'endoctrinement, de la cinquième colonne antifrançaise.

Nous ne sommes plus en 732, et les armes des envahisseurs ne sont plus le palache ou le cimeterre; le danger, aujourd'hui n'est plus militaire (bien qu'il ne faille pas sous-estimer les conséquences des intimidations, des menaces et des passages à l'acte terroristes), il est avant tout culturel.

Il faut donc prioritairement résister au métissage culturel.

Ce n'est pas par hasard si les chantres de la mondialisation et de l'internationalisme, répètent ad nauseam, que les "apports" culturels de l'immigration sont "enrichissants" (comme le note d'ailleurs Marcel Contesse, dans le n° 226 du 3 juillet 1999).

Il ne s'agit pas en fait, d'un "apport", mais bien de remplacer, purement et simplement, si je puis dire, l'accordéon par le tam-tam, la valse par le rap et le steak frites par le couscous (l'ancien Jacques Chirac, celui d'avant la cohabitation, avait d'ailleurs jadis exprimé des réserves sur la singularité olfactive d'une certaine cuisine).

Nous devons résister à la dégénérescence de notre langue, en refusant d'adopter le dialecte des banlieues. Quant aux langues régionales (breton, basque, catalan, etc.), elles doivent demeurer une deuxième langue, que l'on peut accessoirement étudier - lorsque l'on aura acquis une parfaite maîtrise de la langue française (on en est loin pour le moment...).

Et le fait que M. Cohn Bendit (un nom qui dit bien ce qu'il veut dire) se soit prononcé en faveur d'une de la charte régionaliste, devrait mettre la puce à l'oreille de ceux qui désirent sauvegarder une France française.

Il nous faut résister à toute réécriture gauchisante de l'histoire de France.

Refuser que l'on donne à l'une des voies de la capitale (ou de toute autre ville de France), à une station de métro ou à un centre municipal, le nom d'un des terroristes de la Commune de 1871 (Louise Michel, Benoît Malon ou Auguste Blanqui), présentés aujourd'hui comme des héros nationaux.

C'est donc individuellement que chacun d'entre nous doit réagir et résister.

N'attendons pas que le salut vienne de Charles Dupont ou de Charles Durand : il ne peut venir que de nous.

Nous devons réagir à chaque tentative de désinformation médiatique, en écrivant au responsable du journal ou de la chaîne.

Nous devons contacter, voire harceler, nos élus pour qu'ils s'attachent à sauvegarder notre culture et n'utilisent pas les deniers publics à subventionner des activités "culturelles" douteuses, aussi "enrichissantes" soient-elles-..

Il faut que la France profonde s'exprime - qu'elle cesse d'être une majorité silencieuse.

Le président de la République déclarait, au cours de la garden-party du 14 Juillet, que "La droite s'est construite autour d'une culture."

La France aussi, M.le Président!

Et je ne suis pas sûr que tous vos concitoyens aient vraiment apprécié de voir le défilé commémorant l'une des dates fondatrices de la nation française précédé d'un drapeau sur lequel était brodé un verset du Coran.

Voici donc, M. de Frémont, un début de réponse : entrons, aujourd'hui, dans la voie de la Résistance !


(Désirant créer un café-philo "de droite", j'invite toutes les personnes intéressées par ce projet à me contacter: BP 6451, Paris Cedex 2.)

Jean-Pierre Pagès-Schweitzer

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