UNE DELEGATION DE MILITANTS DE L'OEUVRE FRANCAISE S'EST RENDUE EN ESPAGNE...
L'Œuvre française - 06/12/09 | |||
Compte-rendu du voyage en Espagne ...
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En souvenir de feu José Antonio Primo de Rivera, chef historique de la Phalange, assassiné le 20 novembre 1936, une délégation de militants de l’Œuvre française s'est une nouvelle fois déplacée en Espagne. Nous fûmes reçus au siège madrilène du parti. Après le mot d’accueil de l’actuel chef de la Phalange Manuel Andrino, les délégations ont levé leurs verres à la réussite des perpétuels combats que nous menons; tous nous voulons la souveraineté de nos nations, tous nous voulons le triomphe de la volonté et de la vérité ! Bien sûr, nous fûmes conviés à un dîner animé en plein centre de la capitale. Chants espagnols, italiens (MSI et FN), allemands (NPD), et même Hongrois s'enchainaient avec fracas. Les Français n’étaient pas les plus silencieux et ils ont très largement donné de la voix avec les camarades du Renouveau Français. Samedi : nous partîmes de bon heure sur la tombe de José Antonio dans la vallée de Los Caidos, au sanctuaire de la Sainte Croix; basilique monumentale qui fut creusée dans la profondeur d'une montagne afin que le souvenir de "ceux qui sont tombés" pour la Grande Espagne, le souvenir des Phalangistes, ne disparaisse pas. De part et d'autre de l'autel, deux tombes reposent. Aujourd'hui, elles sont largement fleuries. La tombe de Primo de Rivera est face au peuple, celle du général Franco derrière l'autel. L'émotion est à son paroxysme ! Mais l'arrivée à Los Caïdos campe aussi une autre réalité : la répression est bien présente, la Guardia Civile veut nous le faire savoir. La jeune république espagnole (et son gouvernement de gauche) interdisait une nouvelle fois (depuis l’année dernière) toute cérémonie officielle dans ce monument de la réconciliation, et fouillait même chaque voiture à la recherche d’outils terroristes: drapeaux, chemises bleues de la Phalange, image des chefs espagnols,… Certains d’entre-nous en ont d’ailleurs fait les frais… Mais les plus malins ont passés les barrages et, après leurs dévotions faites dans la basilique ont posé avec le drapeau français floqué d’un sacré cœur au nez des gardes civils espagnols un peu vexés… Le bras de fer avec les forces de l’ordre ne faisait que commencer... L'après-midi, découverte du village de l’Escorial (10 kms de Los Caïdos) et de son site royal de Saint-Laurent-de-l'Escurial, construit pour y accueillir la dépouille de Charles Quint et de ses descendants, puis de Tolède et de son Alcazar (école militaire), symbole de la résistance aux communistes de 1936. Notre groupe prit ensuite le chemin sur Madrid. A 21h, un grand rassemblement phalangiste devant la maison natale de José Antonio donna le départ d’une grande manifestation haute en couleur et en ferveur tant de la part des orateurs que de la foule. Pendant la manifestation, la répression policière s’acharna cette fois sur le responsable des jeunes phalangistes, peu enclin à se soumettre au dictat gouvernemental. La tension était palpable dans les deux camps, il y avait eux, il y avait nous …Sentant le débordement arriver, ils le relâchèrent. A l'issu de la manifestation, un prêtre italien, le Père Tam bénit le catafalque de José Antonio, nous prîmes la route pour la Vallée de Los Caidos. 50 kms de nuit, entourés de torches et au pas de marche des phalangistes pour rendre compte du serment de fidélité des « camisa nueva ». Les militants de l’Œuvre ont bien sûr pris part à cette marche très revigorante pour le corps et pour l'esprit ! Au petit matin, nous étions aux grilles fermant l’accès de la Vallée, et ayant malgré les interdictions initiales de cette marche, respecter le serment, une messe fut célébrée à l’Escorial pour le repos de l’âme de José Antonio. Puis sonnèrent les « au revoir » et le retour à Madrid. Notre groupe de Français termina à midi plaza Oriente à Madrid pour entendre les discours politiques d’anciens du régime de Franco se réunissant contre le mensonge historique et pour la défense de leurs pères et de leurs chefs. « Fiers et orgueilleux de notre histoire », les Phalangistes espagnols ont une fois de plus fait preuve de détermination et de respect envers leurs engagements. Cet esprit qui les anime, nous en avons été imprégnés durant ces quelques jours… et c’est plein de force et d’espérance que nous revenons plus que jamais, défendre notre terre et notre nation, la France. (http://www.oeuvrefrancaise.com) ------------------------------------------------------------ |
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