O.I.F.E.
Orange : le patron de la mosquée et ses fils soupçonnés de proxénétisme aggravé
Posté par
NP Info Provence-Alpes-Côte d'Azur
le 26 juin 2009
le 26 juin 2009
La toute nouvelle « jolie mosquée » d’Orange n’est encore pas sortie de terre — mosquée voulue par son inimitable maire villiériste, le célèbre Jacques Bompard — qu’un scandale entache la « communauté » musulmane de la ville :
Abdeslam Bahiad, 54 ans, connu dans cette bonne ville bompardienne comme un « bon samaritain », selon La Provence de ce matin, patron de la mosquée
« Lumière de Dieu » depuis trois ans, aurait mis sur pied avec ses fils un vaste réseau de prostitution reposant sur de jeunes Marocaines, âgées de 14 à 25 ans, à qui l’on promettait une vie meilleure et une régularisation.
Bien entendu, tout improbable lien hypothétique avec une certaine « Méthode » existant ou ayant réellement existé ne serait que coïncidence fortuite et totalement indépendante de notre volonté…
Homme d’affaires avisé, notre grenouille de bénitier islamique aurait ainsi pu de se bâtir un patrimoine immobilier, selon des sources proches de l’enquête qui évoquent « au moins dix appartements à Orange et une maison de 300 m²,
où il vit avec sa famille ».
Arrivé en France en 68, cette authentique « Chance pour la France »
n’a travaillé que 9 années en tant qu’ouvrier agricole…
Toujours selon
La Provence, c’est justement dans ces appartements que des jeunes femmes effectuaient leurs prestations particulières moyennant finance avec des hommes contactés par téléphone ou bien rencontrés dans le bar « Le France », situé en face de… la police municipale d’Orange (fierté de Jacques Bompard) et propriété de… Abdeslam Bahiad ! Et ce dernier ne se serait pas privé de travailler en famille en mettant à contribution trois de ses fils : Abdelgafour, 24 ans, Omar, 31 ans et Niky, 33 ans.
Après une enquête longue et minutieuse, démarrée au début de l’année 2008, la Police judiciaire d’Avignon a pu identifier et faire témoigner six prostituées de ce qui est désormais communément désigné comme le « Système Bahiad ».
Et les familles des victimes devaient payer entre 7.000 et 9.000 € pour que leur fille ait la chance de venir en France.
Le dossier comprendrait aussi une sombre affaire de trafic de drogue et de faux papiers…
Bahiad et ses trois fils ont été placés en garde à vue mardi et seront présentés au juge d’instruction ce matin, pour « aide au séjour irrégulier, de proxénétisme aggravé et de blanchiment d’argent ».
Pour leur défense, les présumés coupables évoquent un
« complot des prostituées » !
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