RACISME ANTI-BLANC AUX ANTILLES
(pillage de magasins en Guadeloupe)
10 février 2009
Hausse du racisme anti-blanc aux Antilles
Ces derniers jours, les médias ont évoqué l’aggravation du climat social aux Antilles.
Hausse du racisme anti-blanc aux Antilles
Ces derniers jours, les médias ont évoqué l’aggravation du climat social aux Antilles.
Officiellement, les antillais manifestent contre la vie chère, officieusement les antillais luttent contre la « trop forte » présence de blancs parmi les chefs d’entreprise.
La haine du blanc ressurgit en Guadeloupe et en Martinique avec la propagation d’un discours dénonçant la trop forte présence de « békés » dans les îles.
Les syndicats communautaristes antillais sont en première ligne dans la théorisation du discours anti-blanc.
Avec un tel comportement, les antillais prouvent une nouvelle fois qu’ils ne se reconnaissent pas dans l’identité française.
D’ailleurs, il est extrêmement rare que les antillais s’identifient par rapport à la France.
Ainsi, la plupart des antillais préfèrent mettre en avant leur identité afro-antillaise plutôt que de montrer leur attachement à la France.
Pour ma part, je pense qu’il va bien falloir un jour ou l’autre prendre une décision concernant les Antillais.
Pourquoi vouloir conserver à tout prix des populations qui ne se reconnaissent peu voire pas du tout dans les valeurs nationales ?
Je ne suis pas défavorable à l’indépendance de la Guadeloupe et de la Martinique.
(n.d.l.r.: moi non plus !)
Ces deux îles constituent d’énormes boulets financiers pour le contribuable français, un contribuable français dont une partie de ses impôts finance indirectement des syndicats et partis politiques…indépendantistes !
(identitanostra)
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FAUT-IL L'INDEPENDANCE DE LA GUADELOUPE ?
Publié avec l'autorisation de l'auteur :
Se le tenir pour dit : il n'y a pas de question raciale en Guadeloupe.
C'est en tout cas ce que répète le discours dominant.
Si les déclarations d'un béké de 82 ans, Alain Huyghes-Despointes, ont heureusement suscité l'indignation médiatique (dans un reportage diffusé par Canal+, il défendait le "bon côté" de l'esclavage et parlait de préserver sa "race"), les oreilles se bouchent devant les propos incendiaires tenus par le leader de la contestation, Elie Domota, qui parle de "guerre civile" et oppose les Noirs aux Blancs.
"La Guadeloupe c'est à nous ! La Guadeloupe c'est pas à eux", chantent les manifestants, dans l'indifférence des gardiens du "vivre ensemble" et de la "diversité".
Le président socialiste du conseil général de Guadeloupe, Victor Lurel, a été le seul, à ma connaissance, à parler de "conflit de classes et de conflit de races".
Cette tolérance officielle face à des dérives raciales, qui viennent contredire les bienfaits supposés des sociétés multiculturelles, n'est pas la moindre des marques de faiblesse de l'Etat, incapable de faire respecter un principe dont il fait grand cas.
Les Antillais ont raison de se plaindre de l'archaïsme d'une économie administrée.
Ils ont raison de vouloir défendre leur patrimoine culturel qu'ils estiment menacé.
Mais ils ne peuvent à la fois réclamer davantage d'autonomie et en appeler à un Etat providence qui s'écroule.
Ils ne peuvent à la fois désigner le Blanc comme le colonisateur et en appeler à la solidarité de la métropole.
L'épreuve de force que recherchent les grévistes, qui viennent d'ériger ce lundi matin neuf barrages sur des axes routiers, risque d'inciter l'opinion métropolitaine à souhaiter l'indépendance de la Guadeloupe.
Je participerai, mardi, à un débat sur ITélé (8h20, rediffusion 9h20), et à l'émission "On refait le monde" sur RTL (19h15-20h)
Ivan Rioufol pour le blog.lefigaro.fr/rioufol le 16 février 2009
par Ivan Rioufol publié dans : Chroniques d'Ivan Rioufol
par Ivan Rioufol publié dans : Chroniques d'Ivan Rioufol
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