HUSSEIN O. ORDONNE LA FERMETURE DE GUANTANAMO ! BLOG-NOTES
LA TOUTE PREMIERE MESURE DU TOUT NOUVEAU PRESIDENT EST-ELLE SIGNIFICATIVE ?
Si c'est le cas, c'est plutôt inquiétant !
Le problème sous-jacent au maintien -ou à la fermeture- de ce camp de détention, est un problème essentiellement "ETHIQUE" :
Son fonctionnement est bien évidemment contraire aux principes généraux du Droit International... mais aussi à ceux de la morale judéo-chrétienne.
Les belles âmes - et elles ne manquent pas en France (et dans le monde occidental, en général) - n'ont cessé de nous le rappeler, depuis sa création.
Bien que le "pragmatisme" n'ait pas très bonne réputation, je n'hésiterais pas à me réclamer de la philosophie de William JAMES.
La civilisation occidentale se trouve en effet confrontée, aujourd'hui, à une autre "civilisation" (notez les "guillemets", indiquant que je ne considère pas les islamistes comme étant particulièrement "civilisés") qui, elle, ne reconnaît pas les "hautes valeurs" des belles âmes (judéo-chrétiennes) sus-nommées.
Il suffit de parcourir rapidement le CORAN, pour constater que pour le Prophète (de mémoire bénie...), globalement, "tous les coups sont bons"... lorsque l'on a affaire à des "mécréants" : "L'art de la guerre, c'est la ruse"-hadîth ibn hicham, sira II, "la guerre, c'est la tromperie" -hadîth Bukhari 56:157.
Et les leaders du HAMAS ont agi en bons musulmans en installant leurs lance-missiles dans des mosquées, des hôpitaux, des écoles, des locaux de la "Croix Rouge Internationale", et autres lieux à vocation religieuse ou caritative, utilisant ainsi des civils -et de préférence des enfants- comme autant de boucliers vivants.
Le choix qui se pose, par conséquent, aux dirigeants occidentaux, est très simple: il est shakespearien.
C'est du "To be, or not to be" :
Vaut-il mieux continuer à se comporter de manière "éthique" et "légale" et, à plus ou moins longue échéance, se retrouver sous le joug du "totalitarisme" du XXIème siècle (j'ai nommé l'ISLAM), ou bien , mettre nos principes sous le boisseau... et survivre ?
Il n'y a pas de troisième voie.
Jean-Pierre Pagès-Schweitzer
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