jeudi 22 janvier 2009

HUSSEIN O. ORDONNE LA FERMETURE DE GUANTANAMO ! BLOG-NOTES


LA TOUTE PREMIERE MESURE DU TOUT NOUVEAU PRESIDENT EST-ELLE SIGNIFICATIVE ?

Si c'est le cas, c'est plutôt inquiétant !

Le problème sous-jacent au maintien -ou à la fermeture- de ce camp de détention, est un problème essentiellement "ETHIQUE" :

Son fonctionnement est bien évidemment contraire aux principes généraux du Droit International... mais aussi à ceux de la morale judéo-chrétienne.

Les belles âmes - et elles ne manquent pas en France (et dans le monde occidental, en général) - n'ont cessé de nous le rappeler, depuis sa création.

Bien que le "pragmatisme" n'ait pas très bonne réputation, je n'hésiterais pas à me réclamer de la philosophie de William JAMES.

La civilisation occidentale se trouve en effet confrontée, aujourd'hui, à une autre "civilisation" (notez les "guillemets", indiquant que je ne considère pas les islamistes comme étant particulièrement "civilisés") qui, elle, ne reconnaît pas les "hautes valeurs" des belles âmes (judéo-chrétiennes) sus-nommées.

Il suffit de parcourir rapidement le CORAN, pour constater que pour le Prophète (de mémoire bénie...), globalement, "tous les coups sont bons"... lorsque l'on a affaire à des "mécréants" : "L'art de la guerre, c'est la ruse"-hadîth ibn hicham, sira II, "la guerre, c'est la tromperie" -hadîth Bukhari 56:157.

Et les leaders du HAMAS ont agi en bons musulmans en installant leurs lance-missiles dans des mosquées, des hôpitaux, des écoles, des locaux de la "Croix Rouge Internationale", et autres lieux à vocation religieuse ou caritative, utilisant ainsi des civils -et de préférence des enfants- comme autant de boucliers vivants.

Le choix qui se pose, par conséquent, aux dirigeants occidentaux, est très simple: il est shakespearien.

C'est du "To be, or not to be" :

Vaut-il mieux continuer à se comporter de manière "éthique" et "légale" et, à plus ou moins longue échéance, se retrouver sous le joug du "totalitarisme" du XXIème siècle (j'ai nommé l'ISLAM), ou bien , mettre nos principes sous le boisseau... et survivre ?

Il n'y a pas de troisième voie.

Jean-Pierre Pagès-Schweitzer










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