mardi 16 décembre 2008

OBSERVATOIRE DE L'ISLAMISATION DE LA FRANCE ET DE L'EUROPE (O.I.F.E.)

EN SUISSE: POLICE DE LA PENSEE



La police du commerce lausannoise veut interdire au MOSCI d’user de sa liberté d’expression, pourtant garantie par l’art. 16 de la Constitution fédérale et par l’art. 10 de la Convention européenne des Droits de l’Homme.
Le MOSCI ne compte pas se laisser intimider par la lettre de fonctionnaires outrepassant le cadre de leurs fonctions et préférant faire fi de la Constitution et du principe d’Etat de droit que de risquer de déplaire aux islamistes.

Les faits

Le samedi 22 novembre, deux membres du MOSCI (dont son président) distribuaient des documents en ville de Lausanne. C’est alors qu’un agent en civil de la Police du commerce les interpellait en leur disant qu’il allait faire examiner le document qui était distribué. Quelques jours plus tard, par une lettre datée du 4 décembre et signée par la cheffe de service, la Police du commerce sommait le MOSCI de ne plus distribuer sa documentation en ville de Lausanne.

Des reproches sans fondements

Selon la lettre en question, la distribution de documents sur la voie publique, bien que n’étant pas soumise à régime d’autorisation, « ne doit pas être diffamatoire, ni inciter à la haine ou à la violence ». Par un tour de passe-passe intellectuel digne du roman 1984 d’Orwell, l’office a voulu voir une infraction de ces règles dans un encadré du document dont voici le contenu :
Mahomet un prophète à l’historicité douteuse

La biographie de Mahomet a été rédigée près de 200 ans après son existence supposée. La communauté scientifique débat de son existence.
Mahomet se maria avec une fillette (Aïcha) lorsqu’elle n’avait que 6 ans. Il eut ses premières relations sexuelles avec elle lorsqu’elle avait 9 ans. Il serait aujourd’hui un pédophile (art.187 CP).
Il décima la tribu juive des Banu Qoraiza alors qu’il la contrôlait et vendit les femmes et enfants comme esclaves. Il serait aujourd’hui coupable de crime contre l’humanité (génocide et esclavagisme : art. 264 et 182 CP).

Il se maria avec sa belle-fille après avoir ordonné à son fils le divorce.
Un esprit sain aurait de la peine à comprendre en quoi ceci est un appel à la haine ou à la violence, compte tenu que le document vise à dénoncer ce qu’est l’islam. Il ne pourrait en aucun cas être taxé de diffamation, en effet, toutes les affirmations de cet encadré se basent sur des hadiths qui sont fièrement enseignés par l’islam lui-même. Quand à se poser la question si Mahomet a réellement existé, il s’agit de la liberté scientifique consistant à pouvoir débattre librement de la véracité d’une légende qui ne trouve ses sources que dans les textes d’une religion et dont les faits allégués remonteraient à 14 siècles dans le passé.

Deux poids, deux mesures

Voyant ce que la police du commerce reproche au MOSCI, on est en droit de se demander pourquoi elle tolère toujours que le Coran soit vendu alors qu’il appelle lui-même de manière réitérée au meurtre et à la haine et qu’il affirme la supériorité des musulmans sur les non-musulmans à qui il nie le droit à la vie et qu’il compare à du bétail. Un Coran qui appelle aussi à désobéir à toute loi qui irait à l’encontre des préceptes de la charia, donc qui appelle les musulmans à ne pas respecter de nombreuses normes du droit suisse en se basant sur la suprématie de leurs normes religieuses. Il y a visiblement deux poids et deux mesures.

Le droit de connaître la vérité

Le MOSCI tient à ces acquis qui sont les fondements de notre société tels que l’Etat de droit, la démocratie et la liberté. De ce fait, il ne peut renoncer à dire la vérité, simplement parce que certaines vérités choquent et que des fonctionnaires despotiques préfèrent alors la politique de l’autruche. Le MOSCI est prêt à faire valoir ses droits en justice s’il le fallait, car chaque citoyen a le droit de connaître la vérité sur une doctrine qui les menace directement et relègue tous les non-musulmans à un rang d’être inférieur.

Ne pas l’affirmer serait accepter comme dans le roman d’Orwell que deux et deux
font cinq.
(mosci.info)
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