jeudi 20 novembre 2008

OBSERVATOIRE DE L'ISLAMISATION DE LA FRANCE ET DE L'EUROPE






















DURBAN II : Avril 2009

Durban I : la première conférence contre le racisme, les discriminations raciales, la xénophobie et l’intolérance organisée par l’ONU en 2001 à Durban en Afrique du Sud, avait été prise en otage par les ONG d’extrême-gauche et les musulmans, qui l’avaient transformé en véritable foire anti-israël et anti-juive d’une virulence jamais vue depuis la seconde guerre mondiale, avec caricatures et slogans antisémites.

La seconde conférence du même type, qui doit avoir lieu à Genève en Avril 2009, prendra pour cible notre liberté de parler et de critiquer l’islam.

Durban II : La deuxième session préparatoire du comité des 20 états organisateurs -présidée par la Libye avec Cuba, le Pakistan et l’Iran à la vice-présidence - s’est tenue à Genève du 6 au 17 0ctobre 2008. Le projet du texte de clôture de la conférence est maintenant disponible sur le site du Conseil des droits de l’Homme des Nations Unies (CDH) ici.

Il apparait déjà clairement dans ce document et par ce qui émane des réunions de l’Assemblée Générale de L’ONU que le point focal de la conférence de Durban II sera “l’islamophobie”. Les organisateurs entendent présenter l’islamovigilance comme une nouvelle forme de racisme.

Selon le projet de déclaration finale, Les musulmans seraient en face d’une terrible menace d’”holocauste racial” (sic) à cause de cette ” nouvelle forme de racisme” - “l’islamophobie” - incitée par le biais de la “diffamation de l’islam”.

Le texte recommande que les autorités locales, nationales et internationales revoient et modifient leurs lois et les Droits de l’Homme si nécessaire afin que «la diffamation de l’islam» devienne une infraction pénale, et perde la protection, dont il a depuis longtemps bénéficié du “prétexte” de “la liberté de d’expression, de la lutte contre le terrorisme ou de la sécurité nationale “. Il recommande encore que des mesures juridiques soient mises en place pour punir les coupables - qui sont ceux qui «diffament», en associant l’islam à la violence, aux atteintes aux droits humains et au terrorisme.

C’est vraiment la mise en place d’une guerre des idées, qui aura des implications graves, dans les relations entre les États islamiques et tous les autres. Durban I était une attaque contre Israël, Durban II sera une attaque contre notre liberté d’expression et nos libertés et autres droits démocratiques essentiels ” explique Anne Bayeksky avocate spécialiste des droits de l’Homme.

Le Canada a d’ores et déjà annoncé qu’il ne participerait pas à la conférence.

Source : http://www.bivouac-id.com/2008/11/18
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Dépêche en provenance de l'ESISC
ONZE MEMBRES du MOUVEMENT ISLAMISTE MAROCAIN "AL ADL WAL IHSAN" ARRETES

Italian authorities said on Tuesday night that 11 supporters of the Moroccan Islamist movement Al Adl Wal Ihsan (Justice and Charity) had been arrested and were being investigated for “association to commit international terrorist acts”.

At least 135 raids were carried out by about 400 police officers in Emilia-Romagna, Friuli-Venezia Giulia, Lombardy, Marche and Veneto regions, in Northern and Central Italy.
About fifty computers, hundreds of DVDs, video cassettes and jihadist manuscripts have also been seized in Islamic cultural centres, and the financial police is now investigating to identify the financial resources of the organization.

Police said that Al Adl Wal Ihsan is “a front for a group seeking the restoration of an Islamic caliphate in Morocco and the abolition of the monarchy.”


The elements collected during 2 years of investigation show that it is a fundamentalist Islamist organization with subversive purposes, even though it was not directly involved in any violent action.

Founded in Morocco by Cheikh Abdesslam Yassine , Al Adl Wal Ihsan wants to create an Islamist state based on its interpretation of the Shariah.

It controls social welfare and students organisations but was never allowed to become a legal political party
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Contre l’islamisation de nos
villes : une réaction
identitaire
s’impose !


Les organisations participantes créent, avec cette charte, un réseau de
villes “Villes Contre l’Islamisation”.

LA CHARTE DES VILLES CONTRE L'ISLAMISATION L'ISLAMISATION
adoptée à Anvers
le 17 janvier 2008


Tout d’abord, des constatations :
“Villes Contre l’Islamisation” constate que, depuis la
Renaissance, le monde occidental, en général, et l’Europe, en
particulier, ont rejeté les dogmes religieux et les normes qui en
découlaient et les ont remplacés par des principes et des règles de
droit découlant d’une multitude de sources : l'antiquité ancienne,
les valeurs judéo-chrétiennes, l'humanisme, les idées du Siècle
des Lumières, le nationalisme, le libéralisme...

Suite à cette évolution, notre civilisation se caractérise maintenant
par le respect des libertés et des droits fondamentaux.

Cette
civilisation est désormais basée sur des valeurs comme la
séparation de l'Église et de l’État, la démocratie, la liberté
d’expression, l’égalité de l'homme et de la femme...
Néanmoins, au début du 21ème siècle, les villes d'Europe
occidentale, en raison d’une politique d'immigration trop laxiste
menée par les autorités à tous les niveaux, se trouvent confrontées
à des minorités islamiques numériquement importantes, peu
intégrées, concentrées dans des ghettos sans cesse en extension.
“Villes Contre l’Islamisation” constate que l'islam n’est pas
seulement une religion, qu’il préconise encore un ordre social basé
sur la sharia
(la législation islamique, résultant du Coran et des
hadith) et la prééminence de l’ouma (la communauté des
musulmans), ce qui est totalement antinomiques avec les valeurs
et les normes propres à notre société européenne.


.“Villes Contre l’Islamisation” constate également que certains
musulmans placent les lois divines islamiques au dessus des lois

civiles. Il existe en outre, parmi les populations musulmanes, une
tendance à la radicalisation qui se manifeste par une animosité
croissante à l’encontre de notre civilisation occidentale et des
valeurs qui la fondent.

Les mosquées fonctionnent comme catalyseurs de l’islamisation
des quartiers urbains, elles insistent, de toute leur autorité au sein
de la communauté musulmane, sur l’exigence d’une pratique
stricte de l'islam, ce qui contribue à freiner l'intégration de ces
minorités musulmanes.


Les points de départ :“Villes Contre l’Islamisation” se bat contre l'idéologie multiculturelle, selon laquelle les musulmans résidant chez nous pourraient introduire leurs propres valeurs dans la vie publique, ce qui mène de facto à l'institutionnalisation de l’islam.

“Villes Contre l’Islamisation” se bat contre l'institutionnalisation de l'islam, contre la reconnaissance des mosquées, l’octroi de subventions aux associations islamiques, aux écoles coraniques et aux mosquées, et de subsides aux imams... L'institutionnalisation de l'islam conduit en effet à la création d’un verrou fermant l’accès à l'intégration de la communauté musulmane.

“Villes Contre l’Islamisation” vise l'indulgence des responsables politiques pour l'islam, ce qui amène à écarter les valeurs et normes occidentales au profit des us et coutumes islamiques, lesquels sont souvent incompatibles avec les nôtres et nos mœurs.


“Villes Contre l’Islamisation” croit que la liberté de pratiquer la religion individuellement et librement doit être garantie y compris en ce qui concerne l'islam. Toutefois, la liberté religieuse ne doit jamais permettre la généralisation ou l'introduction de conduites discriminatoires ou anti-démocratiques.


“Villes Contre l’Islamisation” se bat donc avec vigueur contre l'introduction de la sharia à la place des règles de droit en vigueur en Europe.


Initiatives :L’islamisation n’est pas un problème local. Il s'agit en effet d’un phénomène qui se présente dans presque tous les pays et villes de l'Europe occidentale.La progression démographique rapide de la population islamique vivant en Occident conduira, dans quelques décennies, plusieurs villes d'Europe occidentale à être confrontées à des majorités islamiques.


Pour cette raison, les organisations participantes s'engagent à coordonner leurs initiatives, prises en vue de s’opposer à l’islamisation, à combattre ensemble et à échanger leurs informations, ceci dans la perspective d’améliorer leur combat et de coordonner leur lutte contre l’islamisation des villes d'Europe occidentale.
http://citiesagainstislamisation

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PAS DE POLICIERS MEMBRES DU BNP !

BNP Policemen? No way!
Al Qaeda Policemen? No Problem!

November 20, 2008 by Lee Hancock
The current witch-hunt against British Bobbies who dare to join Britain’s premier patriotic party shows no sign of abating.
A spokesman for the Association of Chief Police Officers (ACPO) has said: “We understand that forces are looking at the list to ascertain if there are any serving officers on there.”

Merseyside Police too are polishing their jackboots as an alleged member of the BNP is being investigated. A spokesmen for Merseyside Police has, “reiterated our position that membership of the British National Party is totally incompatible with the duties and values of Merseyside Police. We will not accept a police officer or police staff being a member of BNP.”

As an instruction in the realities of life in modern Britain, we should perhaps cast our minds back to July of last year. There was another story concerning the suitability of holding certain viewpoints and maintaining the law. You may not recall the following story as, unlike the current furore about BNP policemen, this story did not make the national headlines.
It was revealed in July of 2007 that up to eight police officers and civilian staff were suspected of having links to extremist Islamic groups, including Al Qaeda. Some of these people were believed to have attended terrorist training camps in Pakistan and Afghanistan.

The names of these officers were featured on a list of alleged radicals said to be working inside the British police. The dossier, drawn up with the help of MI5, was instigated because of fears that Muslim extremists were taking advantage of the “positive discrimination” schemes adopted by the police to attract more ethnic staff.
One of the officers under investigation, who worked in the South East of England, was caught circulating Internet images of beheadings and roadside bombings in Iraq. When questioned on his somewhat bizarre choice of recreational activity, the officer came up with the novel excuse that he trying to “enhance” debate about the war in Iraq.

Given that the police seem to be pursuing alleged BNP members with such vigour, it would be imagined that in the same self-righteous manner, these jihadist officers would also face the wrath of their superiors.
Yet incredibly, these officers were not sacked, because the police said that they lacked the “legal power” to dismiss them. Classified intelligence reports raising concerns about police staff’s background cannot be used to justify their dismissal.

And it’s not just potential Islamic terrorists who seem to get the softly-softly approach. Police officers who are violent thugs, druggies, fraudsters and gun-wielding hoodlums are apparently preferred to officers who join a political party that simply opposes mass immigration.

Earlier this month it was reported that amongst Hampshire Police’s 4,000 officers, 42 had criminal convictions, many of these convictions occurring whilst they were serving police officers.
The convictions included discharging a firearm, possession of drugs, being drunk and disorderly, theft, benefit fraud and violent assault. Not one of these officers lost their jobs.
In fact, the Association of Chief Police Officers (ACPO), the same body that says they are searching high and low for BNP members in the force, as reported above, confirmed that officers convicted of serious crimes while serving could remain in their posts.

So who would you rather have protecting you? Extremist Muslims who advocate beheadings and bombings as justified crime prevention tactics? Or a police officer who joins a political party that has at the heart of its manifesto taking back the streets from thugs, yobs and drug users? Or as they’re more commonly known, the Hampshire Police Force.

The choice is yours! And it really is your choice. If you want to stop this witch-hunt of decent patriotic police officers, and ensure that the bobby on your beat will truly protect and serve, then join the British National Party today.
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