jeudi 16 octobre 2008

OBSERVATOIRE DE L'ISLAMISATION DE LA FRANCE ET DE L'EUROPE (O.I.F.E.)

---------------------------BLOC IDENTITAIRE---------------------------
Communiqué du 15 octobre 2008
:: Maghreb : 3, France : 0 ::
Une fois encore, La Marseillaise a été sifflée au stade de France. Une fois de plus, à l'occasion d'un match entre l’équipe de France de football et une équipe nationale d’Afrique du Nord. Pourtant, la Fédération française de football avait cru pouvoir éviter ces sifflets en faisant chanter notre hymne national par une Franco-Tunisienne et l’hymne national tunisien par une autre Franco-Tunisienne, qui avait représenté la France au concours de l’Eurovision ! Pour faire bonne mesure, les joueurs des deux équipes avaient été mélangés au moment des hymnes.
Ces pitoyables pirouettes qui se voulaient préventives n'ont évidemment pas empêché le public venu soutenir la Tunisie de siffler copieusement La Marseillaise et de huer tous les joueurs de l'équipe de France, et en particulier ceux d'origine tunisienne. Les journalistes qui parlent de 60 000 supporteurs tunisiens commettent une erreur de fond : ces « supporteurs » de la Tunisie étaient constitués dans leur majorité de personnes de nationalité française, ou a minima résidant en France. Ces incidents apportent une nouvelle preuve de l’échec de toutes les politiques d’intégration menées par les gouvernement successifs depuis un quart de siècle.La Ve République a voulu l'immigration et la veut encore, et ses partisans hébétés ne comprennent pas que des communautés étrangères, attachées à leur religion, à leurs coutumes, à leurs pays, ne professent qu'un mépris conquérant pour ceux qui renient leur nation et leur civilisation. Le Bloc identitaire n’est pas étonné que ce qui n’est pas respectable ne soit pas respecté : la France bien sûr, mais aussi les joueurs de son équipe nationale, qui avaient toute faculté d’interrompre la rencontre de leur propre chef, eux qui tiennent tant au « respect », et ont continué à jouer à la balle au pied comme si de rien n’était.En revanche, en décidant l’arrêt immédiat de toute rencontre où La Marseillaise serait sifflée ainsi que le départ des tribunes de tout membre du gouvernement, Nicolas Sarkozy veut faire sortir les ministres des stades comme il a interdit aux policiers de pénétrer dans les cités. Le président de la République offre ainsi une victoire inespérée aux « supporteurs » qui obtiennent ce qu’ils cherchaient : faire reculer l’Etat français pour s’approprier de nouvelles zones de non-droit. Désormais, tout est possible dans les stades, à condition que l’on n’insulte pas les Ch’tis et que l’on respecte la loi Evin ! Les ministres de la France n’ont pas à quitter un stade sous quelque pression que ce soit : ils ont le devoir d’y faire respecter la France !
En proposant que les supporteurs qui conspuent La Marseillaise soient interdits de stade, Michèle Alliot-Marie, ministre de l’Intérieur, s’offre de la fermeté à bon compte : ce n’est pas du Stade de France, mais de France, que ces voyous doivent être exclus et interdits de séjour, en vertu de l’article 25 du Code civil disposant que tout individu peut-être déchu de la nationalité française dans les dix ans de son acquisition « s’il s’est livré au profit d’un Etat étranger à des actes incompatibles avec la qualité de Français et préjudiciables aux intérêts de la France », ce qui est le cas lorsque l’hymne national est conspué.Le Bloc identitaire réclame aussi :
1. que tout Français titulaire d’une double nationalité (extra-européenne) soit sommé de choisir, obligation valable autant pour les amateurs de ballon rond que pour les membres du gouvernement ;
2. que les députés réfléchissent à s’inspirer du Code de la propriété intellectuelle, qui prévoit que le propriétaire d’une marque peut être déchu de ses droits de propriété s’il n’en a pas fait usage durant cinq ans. Un texte à méditer pour renforcer les conditions de déchéance de la nationalité française à destination de ceux qui n’en ont pas usage depuis leur naissance !
En réclamant que les prochaines rencontres avec des équipes nationales maghrébines soient « délocalisées » en province, où le public est « sain » (sic), Bernard Laporte, secrétaire d’Etat aux Sports, fait l’aveu que le stade de France, installé au cœur de la Seine-Saint-Denis (que nous nous refusons à appeler le « neuf-trois »), n’est plus sur le territoire national mais dans une enclave à dominante étrangère et francophobe.
Il ne sert à rien d’envisager de « délocaliser » ces matches qui « sentent la poudre » en Algérie, au Maroc ou en Tunisie, comme l’envisage aussi Bernard Laporte : les trois derniers matches organisés contre une équipe du Maghreb ont montré que, depuis des années, l’équipe de France de football joue déjà à l’extérieur au Stade de France.C’est à une reconquête de pans entiers de son territoire que la France doit procéder, au lieu de les abandonner à ceux qui ne lui vouent de la haine ou du mépris, ce à quoi conduisent les décisions que vient de prendre le chef de l’Etat.


(ndlr: n'hésitez pas à visiter le site des "IDENTITAIRES": bloc-identitaire.com)

Aucun commentaire: