THE "BOKO HARAM" ARE JEWISH TERRORISTS ?
(barenakedislam.com)
Is
third rate Muslim stand-up comic, Dean Obeidallah, trying to make us
laugh when he says, “The Boko Haram terrorists are NOT Islamic?”
According to Palestinian-American Dean Obeidallah, “The Nigerian terrorist group, Boko Haram, who kidnapped hundreds of schoolgirls in Nigeria has nothing to do with Islam, and it’s grotesquely irresponsible of the media to suggest it does.” Now, that IS funny!
Perhaps not-so-funny boy can glance at a quran, where it says the taking of female slaves is permitted during jihad.
The Daily Beast Obeidallah (like his fellow Mohammedans at CAIR) demands that the media: Kindly stop referring to the Nigerian terrorist group Boko Haram as “Islamic terrorists,” “Islamists” or anything else involving the word “Islam.” The despicable acts taken by this militant group—from kidnapping schoolgirls to slaughtering people at churches and mosques—have absolutely nothing to do with Islam. In fact, as one well-known Imam told me, the claim by Boko Haram’s leader that its actions are based on Islamic principles is “blasphemy” of the worst kind. (Only if you consider the quran blasphemous)
Why do our media continually use terms like “Islamist” or “Islamic radical” to describe people or groups without doing the bare minimum investigation into whether there’s actually a connection between their conduct and Islam? (You better hope they never do) Instead, it appears that the media assume if the person is Muslim and claims he is acting in accordance the faith, that’s good enough for them. It shouldn’t be.
Here’s some real “breaking news”: Want to know how much of the violent acts committed by Boko Haram are based on Islamic principles? Nothing, nada, niente, rien, or any word you want to use for having no connection.
And this isn’t just my view. It’s what Muslims around the world having been saying for the past week as they have both denounced Boko Haram’s savagery and stated that Boko Haram’s actions are in no way sanctioned or supported by Islamic principles. (Oh, but they most certainly are. See below)
Clarion Project: In his own words, the leader of Boko Haram’s refutes everything Obeidallah has to say:
For example, he said:
“If we meet infidels, if we meet those that become infidels, according to Allah, there is not any talk except hitting of the neck. I hope you, chosen people of Allah, are hearing. This is an instruction from Allah. It is not a distorted interpretation. It is from Allah himself.”
He also cites Islamic sources when justifying Boko Haram’s kidnapping of the Nigerian girls. Slavery of one’s adversaries, he says, is permissible during a jihad. The captives are the booty of war. Shekau explains,
“There are slaves in Islam, you should know this, Prophet Muhammed took slaves himself during [the] Badr war.”
Shekau isn’t saying that it is permissible to take just anyone as a slave, but only those that belonged to the enemy. So how do these innocent girls qualify as seized enemy property? Because Shekau believes the jihad is not against an army, government or ethnic group but against Christianity, Western influence, democracy and Muslims that Boko Haram sees as impure.
Shekau declared“
“To the people of the world, everybody should know his status, it is either you are with us mujahideen or you are with the Christians.”
He continues:
“We know what is happening in this world, it is a jihad war against Christians and Christianity. It is a war against Western education, democracy and constitution… This is what I know in Quran. This is a war against Christians and democracy and their constitution, Allah says we should finish them when we get them.”
Shekau’s view is substantiated by IslamWeb, a popular website that endorses Sheikh Yousef al-Qaradawi, the spiritual leader of the Muslim Brotherhood. In a 2002 fatwa (authoritative Islamic ruling), IslamWeb concludes:
“Islam left only one source for slavery that is enslavement in war and only legal war (i.e. against the non-Muslims). Indeed, the enslavement of prisoners of war was a part of warfare. So, Islam did not free the slaves of its enemies while its own followers are enslaved by those enemies and given the worst possible treatment.”
In another 2002 fatwa, IslamWeb specifies that females from the enemy camp can be taken as booty.
It says:
“’The slaves that your right hand possesses’…includes the slave girls and slaves in general those who are under the control of a free Muslim. As a rule, the only channel of producing this segment of society is Jihad in the cause of Allah.”
In fatwa 10382, Islam Q & A states:
“It is permissible for you to take concubines from among those whom you seized as war booty,” regardless of if one has a spouse.
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arab-muslim-slave-masters
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Un sommet à Paris pour contrer Boko Haram
Cinq pays africains sont réunis par l'Élysée un mois après l'enlèvement par la secte islamiste de plus de 200 lycéennes.
Que faire pour endiguer l'extension de Boko Haram?
La question est simple, mais la réponse des plus complexes, va occuper
les présidents réunis samedi à l'Élysée pour un minisommet consacré à la
secte nigériane. Outre Goodluck Jonathan et François Hollande, tous les chefs d'État des pays proches du Nigeria
(Bénin, Niger, Tchad, Cameroun) y viendront. Le ministre des Affaires
étrangères britannique, William Hague, est aussi attendu ainsi que la
sous-secrétaire d'État américaine Wendy Sherman.
La brièveté des entretiens ne devrait pas permettre une révolution. «L'important de cette réunion est qu'elle démontre que les présidents de la région ont pris en compte le danger que représente Boko Haram et qu'ils sont tous là», souligne-t-on à l'Élysée. Le groupe, qui évolue dans le nord du Nigeria, profite largement de la porosité des immenses frontières pour se cacher des forces nigérianes ou s'approvisionner en armes avec d'autant plus de facilité qu'il s'appuie aussi sur des solidarités tribales, notamment au sein des Kanuris très nombreux dans Boko Haram, mais aussi au Cameroun et au Niger.
Or, si le Niger et le Nigeria entretiennent d'excellentes relations, ayant même mis en place des patrouilles communes, si le Tchad s'est rapproché ces dernières années de son grand voisin, les discussions avec le Cameroun restent froides. La suspicion se nourrit de querelles frontalières, même si la plus importante autour d'une zone pétrolière a été tranchée il y a plusieurs années. Yaoundé a longtemps ignoré les menées de Boko Haram, considérant ce mouvement comme un problème nigérian, et se refusant à toute coopération. Depuis peu, les violences de Boko Haram ont largement atteint le territoire camerounais, avec quatre enlèvements d'Occidentaux. Depuis le début mai, des villages ont aussi été attaqués ainsi que deux commissariats de police. «Les Camerounais commencent à avoir peur, explique un diplomate. Le Nigeria est un grand pays, avec une armée forte, qui peut supporter des niveaux de violences élevés totalement intolérables pour ses voisins». Paul Biya, le président camerounais, avait joué un rôle actif dans les négociations pour la libération des otages français.
Le minisommet souhaite permettre ou au moins aider à mettre en place une coordination entre les services de renseignements et les militaires de ces pays. «Les Occidentaux peuvent aider à construire ces structures et à les rendre plus professionnelles», souligne-t-on à l'Élysée. Les experts pourront aussi prêter main-forte pour l'analyse des images satellitaires ou aériennes. «Mais il n'est pas question d'une intervention militaire occidentale contre Boko Haram», rappelle-t-on dans l'entourage de François Hollande.
Les Occidentaux se contentent pour l'heure d'une aide technique. Washington a envoyé une trentaine de spécialistes à Abuja ainsi que des drones et des avions de surveillance. La France a, de son côté, dépêché une dizaine d'hommes. Les trois Mirage, les trois Rafale et le Breguet-Atlantique basés au Tchad patrouillent la zone. La France entend aussi mettre en avant ses informations glanées lors des pourparlers pour la libération de la famille Moulin-Fournier et du père Vandenbeusch. «À cette occasion, nous avions ouvert de canaux et procédé à quelques reconnaissances dans la zone», souligne-t-on. La tâche est pourtant délicate. Selon plusieurs sources, même mise sous l'intense pression de la mobilisation internationale pour sauver les 200 jeunes filles, l'armée nigériane reste attentiste et rétive à écouter les conseils.
«En dépit des offres d'assistance des États-Unis et d'autres partenaires internationaux, la réponse du gouvernement nigérian à cette crise a été d'une lenteur tragique et inacceptable», a tonné jeudi Robert Menendez, président de la commission des affaires étrangères du Sénat américain.
Sans l'avouer plusieurs États redoutent aussi les méthodes très musclées des militaires locaux dans ces affaires de prise d'otages. «On n'est pas fou. Même si les jeunes filles sont localisées on ne va donner ce renseignement brut aux Nigérians», confie une source.
Les souvenirs de la tentative de libération, en 2013, par l'armée nigériane, sans doute appuyée par les Britanniques, de sept prisonniers étrangers restent vifs. Les otages, aux mains d'Ansaru, un groupe dissident de Boko Haram, étaient tous morts. «Dans ce dossier, il est clair que nous privilégions la négociation.»
Pour l'Élysée, il est clair aussi qu'une fois l'affaire des lycéennes terminée, le dispositif de recherche occidental sera levé. Le minisommet doit donc surtout servir à définir des stratégies globales d'avenir, pour qu'une fois l'émotion retombée, la lutte contre Boko Haram ne soit pas une fois de plus oubliée.
La brièveté des entretiens ne devrait pas permettre une révolution. «L'important de cette réunion est qu'elle démontre que les présidents de la région ont pris en compte le danger que représente Boko Haram et qu'ils sont tous là», souligne-t-on à l'Élysée. Le groupe, qui évolue dans le nord du Nigeria, profite largement de la porosité des immenses frontières pour se cacher des forces nigérianes ou s'approvisionner en armes avec d'autant plus de facilité qu'il s'appuie aussi sur des solidarités tribales, notamment au sein des Kanuris très nombreux dans Boko Haram, mais aussi au Cameroun et au Niger.
Or, si le Niger et le Nigeria entretiennent d'excellentes relations, ayant même mis en place des patrouilles communes, si le Tchad s'est rapproché ces dernières années de son grand voisin, les discussions avec le Cameroun restent froides. La suspicion se nourrit de querelles frontalières, même si la plus importante autour d'une zone pétrolière a été tranchée il y a plusieurs années. Yaoundé a longtemps ignoré les menées de Boko Haram, considérant ce mouvement comme un problème nigérian, et se refusant à toute coopération. Depuis peu, les violences de Boko Haram ont largement atteint le territoire camerounais, avec quatre enlèvements d'Occidentaux. Depuis le début mai, des villages ont aussi été attaqués ainsi que deux commissariats de police. «Les Camerounais commencent à avoir peur, explique un diplomate. Le Nigeria est un grand pays, avec une armée forte, qui peut supporter des niveaux de violences élevés totalement intolérables pour ses voisins». Paul Biya, le président camerounais, avait joué un rôle actif dans les négociations pour la libération des otages français.
Le minisommet souhaite permettre ou au moins aider à mettre en place une coordination entre les services de renseignements et les militaires de ces pays. «Les Occidentaux peuvent aider à construire ces structures et à les rendre plus professionnelles», souligne-t-on à l'Élysée. Les experts pourront aussi prêter main-forte pour l'analyse des images satellitaires ou aériennes. «Mais il n'est pas question d'une intervention militaire occidentale contre Boko Haram», rappelle-t-on dans l'entourage de François Hollande.
Les Occidentaux se contentent pour l'heure d'une aide technique. Washington a envoyé une trentaine de spécialistes à Abuja ainsi que des drones et des avions de surveillance. La France a, de son côté, dépêché une dizaine d'hommes. Les trois Mirage, les trois Rafale et le Breguet-Atlantique basés au Tchad patrouillent la zone. La France entend aussi mettre en avant ses informations glanées lors des pourparlers pour la libération de la famille Moulin-Fournier et du père Vandenbeusch. «À cette occasion, nous avions ouvert de canaux et procédé à quelques reconnaissances dans la zone», souligne-t-on. La tâche est pourtant délicate. Selon plusieurs sources, même mise sous l'intense pression de la mobilisation internationale pour sauver les 200 jeunes filles, l'armée nigériane reste attentiste et rétive à écouter les conseils.
«En dépit des offres d'assistance des États-Unis et d'autres partenaires internationaux, la réponse du gouvernement nigérian à cette crise a été d'une lenteur tragique et inacceptable», a tonné jeudi Robert Menendez, président de la commission des affaires étrangères du Sénat américain.
Sans l'avouer plusieurs États redoutent aussi les méthodes très musclées des militaires locaux dans ces affaires de prise d'otages. «On n'est pas fou. Même si les jeunes filles sont localisées on ne va donner ce renseignement brut aux Nigérians», confie une source.
Les souvenirs de la tentative de libération, en 2013, par l'armée nigériane, sans doute appuyée par les Britanniques, de sept prisonniers étrangers restent vifs. Les otages, aux mains d'Ansaru, un groupe dissident de Boko Haram, étaient tous morts. «Dans ce dossier, il est clair que nous privilégions la négociation.»
Pour l'Élysée, il est clair aussi qu'une fois l'affaire des lycéennes terminée, le dispositif de recherche occidental sera levé. Le minisommet doit donc surtout servir à définir des stratégies globales d'avenir, pour qu'une fois l'émotion retombée, la lutte contre Boko Haram ne soit pas une fois de plus oubliée.
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