SYNTHESE NATIONALE
jeudi, 15 mai 2014
CETTE EUROPE DONT NOUS NE VOULONS PAS !
Pieter Kerstens
En
2005, pour que les peuples puissent exprimer leur opinion, les ténors
politiques avaient soumis à référendum une Constitution pour l’Europe,
compilation de nombreux traités signés entre les Etats avant Maastricht,
mais surtout depuis 1992 (Amsterdam et Nice) et fruit des synthèses
obtenues par l’ex-Président français Valéry Giscard d’Estaing au sein
d’une Commission spécialement dédiée à ce projet.
Contrairement
aux citoyens des 14 autres pays, les belges ont été privés de ce
référendum, car jugé « dangereux » et « inopportun » par MM Reyders, Di
Ruppo, Steyvaert et Sommers, éminences aux manettes du plat pays.
Il
est lamentable de constater que les sénateurs belges dans leur
unanimité -sauf le FN et le VB ainsi que Paul Galand défiant l’ukase PS-
aient approuvé ce texte que la plupart d’entre eux n’avaient même pas
lu …Ce vote a été un camouflet pour la démocratie ! A qui voulait-on
faire croire que cela reflétait l’expression des électeurs ?
Une forte proportion des sympathisants d’ECOLO, une grande partie des troupes socialomarxistes, une majorité des militants syndicaux à gauche comme à droite et d’importants contingents libéro-chrétiens n’approuvaient pas les articles de cette Constitution qui nous imposait une Europe inféodée aux USA, ouverte aux pays d’Orient et porteuse d’un choc de civilisations à moyen terme
Une forte proportion des sympathisants d’ECOLO, une grande partie des troupes socialomarxistes, une majorité des militants syndicaux à gauche comme à droite et d’importants contingents libéro-chrétiens n’approuvaient pas les articles de cette Constitution qui nous imposait une Europe inféodée aux USA, ouverte aux pays d’Orient et porteuse d’un choc de civilisations à moyen terme
Tous les articles du Titre III devaient être retirés, car à eux seuls ils définissaient la politique future de l’Europe et constitutionnalisaient celle-ci, en interdisant toute orientation nouvelle à l’avenir, en la figeant définitivement.
Face
au rejet des électeurs de certains pays, cette Constitution Européenne a
été remplacée par le traité de Lisbonne -non soumis à référendum- et
entré en vigueur le 1er décembre 2009.
L’Europe
n’avait pas réglé les problèmes des 15, qu’en 2004 elle avait déjà
accepté 10 nouveaux membres et annonçait l’arrivée de la Bulgarie et de
la Roumanie pour 2007. Il fallait arrêter ce délire des eurocrates !
En
30 ans, ceux-ci ont muré les mines (charbon, fer, potasse et zinc),
coulé les chantiers navals, sinistré la sidérurgie et la métallurgie,
condamné l’agriculture et l’élevage et en 2005, ces fonctionnaires
bruxellois avaient assassiné froidement l’industrie textile une seconde
fois, à cause d’accords de l’OMC mal négociés !
Ces
eurocrates, complices des gouvernements mondialistes, et les
commissaires européens, adoubés par le Conseil, ont construit des
cimetières industriels avec une vue imprenable sur un désert économique.
Année après année les médias, aux ordres de ceux qui nous gouvernent,
nous ont pourtant dit et répété que l’Union Européenne « allait nous apporter un niveau de vie meilleur et le plein emploi » !
C’est tout le contraire que nous constatons et cela ne fait qu’empirer…
Et ceci serait déjà une raison suffisante et valable pour punir la mafia socialaud-écolo-capitaliste.
Mais
non contents de détruire notre économie, les gnomes de Bruxelles et
leurs affidés du Parlement Européen ont délibérément favorisé
l’immigration-colonisation dans nos pays, en ouvrant toutes grandes les
frontières à une déferlante d’individus inassimilables et opposés à
cette réalité :
« L’Europe est une terre de cathédrales et de beffrois, et non pas de mosquées ou de minarets ».
En votant le 25 mai, nous devons à nouveau exprimer notre colère et brandir un carton rouge.
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