LA RACAILLE GITANE PILLE MAINTENANT LES EOLIENNES
Vols de métaux : les éoliennes ciblées à leur tour
INFO
LE FIGARO - Des malfaiteurs très organisés pénètrent par effraction et
escaladent à l'intérieur de ces «aérogénérateurs» culminant à une
quarantaine de mètres pour piller jusqu'à une tonne de métal dans chaque
engin. Une vingtaine de vols similaires ont déjà été recensés. Les
gendarmes mettent leurs hélicoptères en alerte.
Après les vols dans les chantiers et sur les réseaux ferrés, des voleurs de métaux jettent leur dévolu sur les éoliennes.
Audacieux et très organisés, ils repèrent avec soin des «parcs» où sont
regroupés ces «moulins» géants dans des champs désertés. A la nuit
tombée, ils pénètrent par effraction dans le pied du pylône, protégé en
théorie par une porte, avant de grimper grâce à une échelle ou un petit
élévateur jusqu'au sommet de la structure qui culmine jusqu'à 40 mètres
de hauteur. «Très prudents et habitués à travailler dans la
clandestinité, ils actionnent ce qui sert de disjoncteur pour couper le
courant et rendre inerte le réseau électrique faisant tourner le moteur
de l'hélice, explique un officier. A l'aide de cisailles et d'outillage
de fortune, ils sectionnent et arrachent ensuite tout le câblage
métallique, essentiellement composé de cuivre, qui court à l'intérieur
de la structure.» L'entreprise, peu banale, est assez risquée puisque
les voleurs doivent restés enfermés de longues minutes au cœur de
l'édifice avant d'en vider le contenu.
Le pillage d'une éolienne peut représenter jusqu'à une tonne de butin, sachant qu'une telle masse de cuivre se négocie aux alentours de 4 500 euros sur le marché officiel.
D'autres vols ou tentatives d'effraction commis au préjudice d'éoliennes ont été repérés dès la fin de l'année dernière en Picardie, en particulier dans le département de l'Oise. Pour l'instant, une vingtaine de faits similaires ont été recensé sur l'ensemble du territoire. «Si l'on ne peut pas encore parler de phénomène national, nous suivons cela de très près», confie au Figaro un enquêteur spécialisé.
Entre 2012 et 2013, les vols de métaux signalés à la gendarmerie sont passés de 11 811 à 13 923, soit une augmentation de 17,88 %.
À lui seul, le cuivre, dont la valeur marchande a bondi en quelque années, représente désormais 65 % de l'ensemble des métaux volés.
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(fdesouche.com)
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Le pillage d'une éolienne peut représenter jusqu'à une tonne de butin, sachant qu'une telle masse de cuivre se négocie aux alentours de 4 500 euros sur le marché officiel.
Hélicoptères et jumelles à visée nocturne
Selon nos informations, les gendarmes ont recensé au moins trois faits en mars dernier dans le sud de l'Eure-et-Loir. Les 10 et 15 mai, deux éoliennes ont été ainsi dépouillées à Terminiers et à Santilly, tandis qu'une tentative a été déjouée quinze jours plus tard à Oinville-saint-Lyphard. «Sur les grandes étendues à perte de vue de la Beauce, nous pouvons être repérés à des kilomètres à la ronde lorsque nous sommes en patrouille», concède un officier. Pour déjouer la méfiance des pilleurs d'éoliennes, les militaires surveillent les sites à l'aide de jumelles à visée nocturne et appellent en renfort des hélicoptères équipés de caméras pour quadriller de larges zones. Par ailleurs, face à la menace, les propriétaires d'éoliennes renforcent la protection de leurs imposants ouvrages par des systèmes d'alarme reliés à des centres de télésurveillance.D'autres vols ou tentatives d'effraction commis au préjudice d'éoliennes ont été repérés dès la fin de l'année dernière en Picardie, en particulier dans le département de l'Oise. Pour l'instant, une vingtaine de faits similaires ont été recensé sur l'ensemble du territoire. «Si l'on ne peut pas encore parler de phénomène national, nous suivons cela de très près», confie au Figaro un enquêteur spécialisé.
Entre 2012 et 2013, les vols de métaux signalés à la gendarmerie sont passés de 11 811 à 13 923, soit une augmentation de 17,88 %.
À lui seul, le cuivre, dont la valeur marchande a bondi en quelque années, représente désormais 65 % de l'ensemble des métaux volés.
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Sarrebourg (57) : Arrestation d’un « faux-policier » mais vrai voleur dans la communauté des gens du voyage
Un homme soupçonné d’avoir dérobé plusieurs centaines de milliers d’euros et quatre lingots d’or
à un couple d’octogénaires de Conflans-Sainte-Honorine (78) en février a
été déféré mardi devant le juge. Il se serait fait passer, avec un
complice, pour un policier enquêtant sur… des cambriolages.
Le suspect de 28 ans a été interpellé
lundi dans un camp des gens du voyage situé à Sarrebourg, en Moselle.
Une perquisition a également été menée à Mitry-Mory (Seine-et-Marne)
dans la caravane du jeune homme où de l’argent a été saisi. Une voiture
de luxe a également été saisie, selon cette même source.
Métro NewsLe parquet a requis un mandat de dépôt contre le jeune homme, arrêté dans le cadre d’une information judiciaire pour « vol à la fausse qualité en réunion« . Il était déjà connu pour des faits de violence et de vol. Son complice n’a pas été identifié.
(fdesouche.com)
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