"LAXISME JUDICIAIRE" ? CA DEPEND POUR QUI !
Syndicat de la magistrature : un syndicat de subversion politique.
Par Jean Ansar
Le trotskyste Edwy Plenel ne s’en cache pas. Le journaliste n’est pas
soumis au secret de l’instruction. Il en use et surtout il en abuse.
Cela veut dire qu’il faut réformer la loi et obliger les journalistes à
respecter l’état de droit, à s’inscrire dans la limitation des pouvoirs,
d’un pouvoir parmi les autres, mais au-dessus des autres, intouchable.
Car bien entendu, dans notre société de connivence où le pouvoir
médiatique non régulé est devenu le premier des pouvoirs, la séparation
des pouvoirs n’existe plus et la démocratie qui protège le citoyen du
lynchage avant le jugement non plus.
C’est par les journalistes que policiers et magistrats fuitent des
affaires pour les révéler et les médiatiser. Le journaliste le fait le
plus souvent pour faire de l’audience mais aussi pour être acteur et
pour conforter ses idées politiques à 90 % à gauche. En cela il se
comporte souvent en « petit télégraphiste » du Syndicat de la
magistrature (SM).
Le métier est dévoyé par la primauté de l’idéologie. Rachida Dati,
décidément de plus en plus lucide, l’a dit avec un certains courage : « certains « tocards » de la presse ne font plus leur véritable profession ».
Quand à la très gauchiste Christiane Taubira, harcelée pour son
mensonge par une meute de petits porteurs de micros traquant la bête et
se prenant pour des journalistes d’ investigation, elle a laissé
échapper « quel métier ». Aurait-elle également compris ?
Vous en avez entendu parler ? Ah si c’était Sarkosy qui l’avait dit.
Il y a indiscutablement une volonté de juges minoritaires mais
activistes, politisés et membre du SM d’empêcher un retour politique en
se servant des affaires de l’ancien président.
Et des affaires il y en
a. Mais ce sont des affaires encore politico- médiatiques car sur le
plan de la procédure aucune condamnation. La présomption d’innocence est
également piétinée.
Le Syndicat de la magistrature fait de la politique
en se servant de la justice. Et c’est vrai également à l’international :
Quittons un moment la France. L’hebdomadaire marocain « Le temps »,
dans son numéro du 20 mars, démontrait comment un membre du syndicat,
d’origine algérienne, avait été à l’origine de la convocation du patron
de la DST marocaine en déplacement à Paris, ouvrant une crise inédite
entre les deux pays. « Le temps » met le doigt sur le parcours
de cette magistrate des milieux trotskystes, proche de l’Algérie, et se
servant d’une plainte d’une association de défense des droits de
l’homme également comme toutes, très politisée. C’est assez éclairant.
Mais il y a mieux. On sait que l’actuelle présidente de ce syndicat s’indigne car mise en examen pour le « mur des cons ». Il était temps.
Le journal rappelle et cite un discours, devant les magistrats, de l’un des leurs, Oswald Baudot : «
Soyez partiaux. Soyez pour la femme contre le mari, pour l’enfant
contre le père, pour le débiteur contre le créancier, pour le malade
contre la sécurité sociale, pour le plaideur contre la justice, pour le
voleur contre la police ».
Il s’agit bien d’un discours fondateur de subversion trotskyste ayant
mis la main sur un syndicat de magistrats voulant instaurer une
république des juges imposant à la société leur idéologie en détruisant
judiciairement leurs adversaires.
Faudra-t-il interdire le Syndicat de
la magistrature ?
Manuel Valls qui adore apparemment les dissolutions de
ceux qui menaceraient la république n’est pas prêt, on en prend le
pari, de se poser la question.
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