lundi 26 août 2013

RESQUIESCAT IN PACE

La mort de Hélie Denoix de Saint Marc

Publié le 26/08/2013
 par konigsberg


Hélie Denoix de Saint-Marc, acteur du putsch des généraux en Algérie, en 1961, est mort à 91 ans, lundi 26 août, dans la Drôme, a annoncé sa famille. "Il s'est éteint vers 8h30 dans sa maison de campagne de La Garde-Adhémar", a déclaré l'un de ses petits-fils à l'AFP.

Il a été faire un tour à Buchenwald pour résistance pro gaulliste pro américaine et pro soviet.

Hélie de Saint-Marc a débuté sa carrière militaire avec la guerre d'Indochine, avant de servir en Algérie, au côté du général Massu. A la tête du 1er régiment étranger de parachutistes (REP, Légion étrangère), il a participé au putsch manqué d'avril 1961. 

Après s'être constitué prisonnier, il a été condamné à dix ans de détention, mais gracié au bout de cinq ans.


 En 2011, il a été fait grand-croix de la Légion d'honneur.



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Ce site a pour ambition de porter à la connaissance des internautes
mon témoignage sur la Déportation des soldats français

et leur extermination dans les camps vietminth,
sur les guerres d'Indochine et d'Algérie telles que je les ai connues;
cette "part de vérité" que je revendique à travers mes livres
sur ces tragédies; les réflexions qu'il en découle sur le sens
à donner à une aventure humaine pour un acteur, pour un témoin,
placé aux avant-postes de l'histoire récente de notre pays.
 
Hélie de Saint Marc



 




Communiqué de Bruno GOLLNISCH,
député au Parlement Européen
président du groupe FN au Conseil Régional Rhône-Alpes


Hélie Denoix de Saint-Marc s’est éteint ce matin. Ce grand soldat et patriote a combattu toute sa vie le totalitarisme. Très jeune, dans la résistance, ce qui lui valut d’être déporté, puis comme officier parachutiste de la Légion étrangère, contre le communisme en Indochine, et contre le FLN en Algérie.


On tentera à l’occasion de sa mort de distinguer, entre ses engagements, ceux qui demeurent « politiquement corrects » de ceux qui sont toujours calomniés, comme le fait de s’être dressé contre l’affreux abandon, par le pouvoir politique, de nos compatriotes d’Algérie, « pieds-noirs » chassés de leur terre, « harkis » livrés aux égorgeurs, etc. Ce qui lui valut cinq années de prison.


On aura tort de faire cette distinction. Les événements d’aujourd’hui donnent raison à Denoix de Saint-Marc. Comme ils donnent raison à l’un de ceux qui, jeune lieutenant, a combattu sous ses ordres : Jean-Marie Le Pen.


Aujourd’hui, les partis de la trahison nationale sont toujours à l’œuvre. Et cette fois-ci, les Français sont le dos au mur. Puissent-ils s’inspirer de l’exemple de ceux qui ont fait passer l’intérêt de la Patrie avant celui de leur carrière personnelle.





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