POUR JPPS, SEULE UNE GUERRE CIVILE POURRAIT ENCORE SAUVER LA FRANCE ! (EMIL DAHREL IS AN ARSEHOLE !)

D’une colonisation l’autre.
Vers la guerre civile
,de Emil DARHEL
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Une
légende particulièrement tenace voudrait que la France soit une terre
de mélange depuis des siècles. C’est totalement faux ».
Entretien
avec Emil Darhel à propos de son livre D’une colonisation l’autre. Vers
la guerre civile… (propos recueillis par Fabrice Dutilleul)
Que nous apprend votre livre ?
Que les Français sont dans une situation particulièrement pénible : ils baignent dans le formol depuis des décennies. C’est
assez confortable a priori. Ils sont gentiment bercés par le complexe
médiatico-politique. Mais ce formol est un peu particulier… Au lieu de
les préserver en tant que Peuple, il les fait disparaître au profit
d’autres peuples.
L’écrivain Renaud Camus parle de “grand remplacement”.
L’expression est particulièrement bien trouvée. Mon livre veut faire sortir nos compatriotes de leur état comateux.
Les
informations réunies dans « D’une colonisation l’autre » concernant la
démographie, la criminalité, les intentions plus ou moins assumées des
partis politiques traditionnels, etc. sont jusqu’à présent et pour la
plupart d’entre elles restées hors de portée du grand public. Pourtant,
lorsqu’elles sont recoupées, on peut voir quel avenir se dessine pour
notre pays, et il est loin d’être “désirable”, si je peux me permettre
cette allusion au slogan ringard d’une candidate socialiste…¢
L’actualité semble apporter de l’eau à votre moulin…
Tout
à fait : entre Houria Bouteldja, porte-parole du parti des Indigènes de
la République qui nous dit que les Blancs ont tout intérêt à lécher les
babouches des nouveaux arrivants car ces derniers ne se priveront pas,
quand ils en auront le pouvoir, de faire payer les premiers pour toutes
leurs exactions (lesquelles ? on se le demande encore !), et Rokhaya
Diallo, chroniqueuse pour la télévision, qui n’y va plus par quatre
chemins et qui affirme à la télévision (sur France Ô) que “lorsqu’un
pays s’interroge autant sur ce qu’il a été, c’est qu’il sent qu’il est
en train de changer et que le rapport de force est en train de
s’infléchir”, nous ne sommes plus dans le délire paranoïaque de
suprémaciste blanc…
Reprochez-vous aux néo-français leur manque flagrant d’intégration ?
C’est
une question à double tranchant… On peut effectivement déplorer leur
manque d’intégration. D’un bout à l’autre de l’échiquier politique, on
ne parle que de cela en insistant sur le fait que le fameux “modèle
d’intégration à la française” ne fonctionne plus. On notera d’ailleurs
que, là encore, c’est la faute des Français de souche et non celle des
immigrés si ces derniers ne s’intègrent pas… Mais on oublie
systématiquement que ce modèle d’intégration ne peut fonctionner que si
deux conditions sont remplies : il faut que les nouveaux arrivants aient
la volonté de s’intégrer, mais il faut aussi et surtout que leur
culture soit intégrable. Une légende particulièrement tenace voudrait que la France soit une terre de mélange depuis des siècles. C’est totalement faux. Mais
les vagues récentes d’immigration de la fin du XIXe siècle et du début
du XXe, beaucoup plus réduites que le tsunami actuel, remplissaient ces
deux conditions.
Aujourd’hui,
la grande majorité des nouveaux arrivants n’ont pas la volonté de
s’intégrer, mais – et c’est beaucoup plus intéressant à mon sens – ils
n’en ont pas les moyens.
Leur culture est insoluble dans la nôtre.
Et
comme ils sont très nombreux, ils sont de plus en plus revendicatifs.
Faut-il le déplorer ? Je ne crois pas. C’est plutôt une chance pour nous
; il ne pourra pas y avoir de cinquième colonne. Il y a déjà deux camps
: celui de mesdemoiselles Bouteldja et Diallo, et le nôtre.
Malheureusement pour les indécis, ils devront choisir.
Vous parlez de culture. Pensez-vous à l’Islam ?
Pas seulement, mais il est évident que l’Islam est particulièrement problématique.
Le plus étonnant, c’est que l’Islam a été perçu comme une menace depuis
le VIIe siècle en Europe et dès 721 en France, avec la première grande
bataille de notre histoire contre les musulmans à Toulouse. Aujourd’hui,
nous devrions considérer cette religion comme une chance pour nous,
mais elle n’est pas comme les deux autres grandes religions
monothéistes. Tout est dans Le Coran. L’Islam est un projet de société.
Les progressistes ne pouvant occulter les revendications toujours plus
grandes des musulmans pour modifier en profondeur notre société, ils ont
inventé le concept d’Islamisme.
Seulement l’Islamisme n’existe pas, il
n’y a que des musulmans. Le caractère ochlocratique [du grec “Okhlos”,
foule, multitude, et “kratos”, pouvoir, autorité] des populations
musulmanes fait qu’elles ne peuvent absolument pas s’intégrer à une
population non musulmane et qu’il ne peut y avoir que deux solutions :
soit la population indigène non-musulmane résiste et combat,
politiquement d’abord, puis physiquement si cela ne suffit pas, et sa
terre restera le Dar Al Kufr, “domaine des incroyants”, soit elle cède
et sombre dans le Dar Al Islam, “la maison de la soumission”. Pour le
moment, nous sommes dans le Dar al Harb, “domaine de la guerre”. C’est
pour le moment un conflit de basse intensité, mais cela reste une
guerre…
Justement, la probabilité d’une guerre civile, que vous semblez anticiper, est-elle vraiment envisageable ?
J’aimerais préciser que ce que je crains n’est pas ce que je souhaite. Mais effectivement, je pense que le contexte économique actuel ne fait qu’augmenter ce risque.
Il n’y a qu’à voir la situation des immigrés en Grèce aujourd’hui…
La
plupart des Occidentaux n’ont pas vraiment de conscience nationale :
“Peu importe ce qui se passe dans mon pays tant que ma vie personnelle
n’en est pas affectée”. Quand ils ne manquent de rien, ils balaient les
discours qui risqueraient de gâcher leur plaisir. C’est la raison pour
laquelle aujourd’hui les Français s’accrochent encore aux programmes à
la fois lénifiants et grotesques des candidats socialistes qui
promettent de mettre au pas les marchés financiers, de créer des
millions d’emplois aidés et d’abaisser l’âge légal de départ à la
retraite… Les électeurs veulent y croire et sont prêts à ne pas accorder
d’importance au reste du programme du Parti socialiste, c’est-à-dire le
droit de vote des étrangers, les régularisations massives et le
“changement de civilisation” cher à Madame Aubry… Quand le réel aura frappé, tout cela sera oublié.
Certains en feront forcément les frais. Mais il n’est pas trop tard, et il
suffit que certaines décisions soient prises pour que la disparition de
notre civilisation soit évitée, et sans aucune violence.¢
D’une colonisation l’autre,
Emil Darhel, Éditions L’Æncre, collection « À nouveau siècle, nouveaux
enjeux », dirigée par Philippe Randa, 130 pages, 18 euros.
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