ISLAMO-COLLABOS
Jeudi 29 août 2013
Devant les sondages impitoyables qui démontrent le
rejet massif de
l’islam par les Français de souche,
l’islamophobie vient donc remplacer
le mot « racisme ».
Comme c’est simple.
Désormais, l’islamophobie est du ressort des tribunaux
d’exception. Déjà les musulmans se rassemblent devant une mosquée pour
hurler et exigent d’être « protégés » par la
République. Eux qui tranchent les gorges des Français qui les ont
accueilli.
Jusqu’à présent, je me présentais comme islamo-critique,
puisque je critiquais une religion que je trouve incompatible avec mes
valeurs, ma façon de vivre, celle d’une occidentale qui
aime les arts, la musique, la littérature, la liberté sexuelle et
celle de la femme, toutes ces choses qui font de nous un peuple
civilisé, par opposition à la barbarie islamique. Désormais, je
me vois contrainte, devant tant d’événements, de me ranger parmi les
islamophobes.
Cet islam qui interdit notre culture, malgré les protestations de l’onctueux Malek Chebel ou
d’Abdelwahab
Medeb, qui font leur métier de propagandistes islamiques avec
des sourires à faire tomber les bobos islamo-collabos, dont Bertrand
Delanoë est le général en chef. Assisté par Tarik Ramadan,
les médias officiels n’ont jamais un plateau de télévision en retard
pour les inviter à prêcher la « bonne parole islamique ». Mais rien n’y
fait car les violences, les attentats terroristes et
toutes les guerres crient la réalité de l’islam.
L’Arabie Saoudite est un exemple. De tout ce que je refuse. Royaume,
gardien officiel et mondial de l’islam. Aucun lieu de loisirs. Des
centres commerciaux. Seul loisir. Dépenser son argent,
acquerir (chèrement) les produits occidentaux, fruits de la liberté
de penser et culturelle de cet occident qu’ils vomissent. Ils ne sont
pas à une contradiction près.
C’est vers l’obscurantisme que veulent nous mener les islamistes en
France. Ils sont certes une minuscule minorité, mais la masse musulmane
derrière eux sait qu’en cas de victoire, elle sera
contrainte – ou heureuse – de suivre. Hassan II, feu roi du Maroc le
disait : « Quand on est musulman, on ne
peut pas être français. ». Houari Boumedienne, du
haut de la tribune de l’Onu, avertissait déjà en 1974 et nous étions sourds, nous nous pensions supérieurs : «
Un jour, des millions d’hommes
quitteront l’hémisphère Sud pour aller dans l’hémisphère Nord. Et
ils n’iront pas là-bas en tant qu’amis. Parce qu’ils iront là-bas pour
le conquérir. Et ils le conquerront avec leurs fils. Le
ventre de nos femmes nous donnera la victoire. »
Les musulmans ne feront pas
allégeance à la nation française, ils ne seront jamais français de cœur,
même avec une carte d’identité de notre
pays.
Nous sommes islamophobes ! Les raisons ? Elles sont toutes
simples. Les musulmans (y compris les nouveaux convertis) imposent leurs
usages, leurs valeurs, et ils sont incompatibles avec
la République. Ils sont promoteurs d’une religion drapée dans une
idéologie politique inacceptable pour la nation française. Ils testent
la nation. Avec succès.
Et la nation recule, à chaque revendication, de peur
d’émeutes violentes. Se montrer lâche, l’islam avance. Se montrer fort,
il recule. Ils ne rencontrent que lâcheté, ils auraient tort
de ne pas en profiter. Ils sont dans leur rôle naturel de conquête.
Nous ne devrions pas être dans le rôle de soumission.
Cela a commencé avec le foulard des filles à l’école, sous Jospin.
Action qui a provoqué des débats non résolus car il était interdit
d’aborder les vrais sujets. Le mot islamophobie est apparu,
inventé par les iraniens, afin de culpabiliser l’occident à l’ONU, à
intimider tout un pays, lui faire battre sa coulpe d’ancien «
colonisateur ». Le pays s’est laissé intimider, terroriser par
la religion de « tolérance, de paix et d’amour ». Sont
apparues dans nos rues ces femmes affublées de burqa noires, visages
couverts et gantées. Des barbus
en kamis et babouches – que personne ne songe à interdire – et leurs
enfants maintenant, de plus en plus souvent vêtus pareils.
Des écoles coraniques, de plus
en plus nombreuses. Vinrent les prières de rue, une occupation
politique. Et la construction d’innombrables mosquées,
financées souvent par les fonds publics, en contradiction avec la
loi de 1905. Pourquoi les musulmans respecteraient-ils la loi de la
République si la République ne respecte pas ses propres
lois.
L’islam a lancé des fatwas, des peines de mort, au pays des
Droits de l’homme qui a abolit la peine de mort. Silence de l’Etat.
Contre Robert Redeker parce qu’il a osé critiquer l’islam
en 2006 dans le Figaro, et contre d’autres. Depuis des années,
Redeker vit caché, sous haute protection policière. Qui s’en émeut ?
L’islam au nom duquel les associations « antiracistes » poursuivent
les dissidents en justice pour les écraser économiquement. Les faire
taire. Définitivement. Ils font la sale besogne
de l’islam. Ils persécutent de leur censure inquisitrice, avec
l’argent des citoyens, ceux qui se défendent contre le « remplacisme »
islamique. Zemmour, Rioufol, Cassen, Hilout, Tasin,
Philarchein, Camus. La liste est toujours prête à s’allonger
davantage.
Il me semble normal que les Français de souche ne se sentent plus chez eux.
* Richard
Millet fut voué aux gémonies pour avoir osé une déclaration dans ce sens. Quand la justice créée l’instice. On leur impose la viande
hallal, aux Français. Qui consomme hallal finance le culte musulman. Des discrimijunations
dans les cantines où l’on ne sert plus de porc, et dans les
hôpitaux. Des agressions dans les hôpitaux par les islamistes qui
refusent que leurs femmes se fassent soigner par des hommes. Salles de
prières dans les entreprises. Respect absolu du ramadan,
glorifié depuis deux ans sur toutes les ondes, dans tous les
journaux – mais sans jamais révéler que pendant ramadan, les musulmans
se massacrent entre eux.
Les politiques qui se pressent à souhaiter bon
ramadan alors qu’ils refusent de souhaiter bonnes pâques ou joyeux
noël. Nos coutumes, notre culture, nos usages millénaires. Vacances de
Noël transformées en vacances « d’hiver » pour ne pas
heurter les musulmans. Disparition
des arbres de noël par respect de la laïcité et apparition du ramadan
par respect des différences. Regression du niveau
scolaire pour se mettre au niveau de ceux qui ne parlent pas le
français à la maison. Où l’interdisent. L’hymne national sifflé.
Drapeaux étrangers, de pays musulmans, brandits le jour de
l’élection Hollande, qui a reçu 93% des voix musulmanes. Le retour
d’ascensseur, ce sera contre le peuple de France.
L’espace public est envahit par l’islam d’Afrique du nord et
subsaharienne. Ces gens, ces musulmans, refusent l’intégration,
l’assimilation au pays d’accueil. Pire, ils le haissent. Cela
se traduit par des razzias, les émeutes, les pillages, les
égorgements, les trafics de drogues destinés à l’achat d’armes. Les
banlieues sont armées d’armes de guerre contre une population de
souche mains nues qui n’a pas le droit d’acheter des armes. Jamais
la société française n’a été aussi violente.
Pour l’instant, seule Marine le Pen fait front.(ndlr: "modérément" JPPS)
Je me suis rangée, aujourd’hui, dans les rangs des islamophobes.
C’est un devoir de citoyen, car j’ai adhéré pour le meilleur, mais pas
pour le pire islamique.
Aucun étranger venu en France n’a autant changé notre
géographie, notre société, autant que l’islam, à coup de boutoirs, avec
violence. Pourquoi dénoncer l’islamophobie si ce n’est
pour aider l’invasion islamique ?
Ainsi en va-t-il dans toute l’Europe.
La conquête avance et les peuples ne l’arrêtent pas parce qu’ils sont
victimes consentantes.
C’est la triste réalité. Elle me
rend très pessimiste. Je ne vois pas comment on peut venir à bout de
cette conquête avec des peuples qui consentent.
Reproduction autorisée avec la mention suivante :
© Sylvia Bourdon pour www.Dreuz.info
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