EPHEMERIDE MONARCHISTE
Ephéméride du 25 Juillet.
1120 : Incendie de Vézelay.
La nef carolingienne de l'abbaye bénedictine Sainte Marie Madeleie est détruite.
http://vezelay.cef.fr/fr/decou_hist/histoire.php
http://www.art-roman.net/vezelay/vezelay.htm
http://www.romanes.com/Vezelay/
La nef carolingienne de l'abbaye bénedictine Sainte Marie Madeleie est détruite.
http://vezelay.cef.fr/fr/decou_hist/histoire.php
http://www.art-roman.net/vezelay/vezelay.htm
http://www.romanes.com/Vezelay/
Dans notre Album L'aventure France racontée par les cartes.... voir la photo "Expansion de l'art roman".
1593 : Abjuration d'Henri IV.
En présence de l'archevêque de Bourges, Henri de Navarre, prétendant au trône de France, abjure solennellement la confession protestante et se convertit au catholicisme, pour faire valoir ses droits sur la couronne.
C’est aussi une façon de mettre un terme à l’opposition des Guise contre son accession au trône, qu’il ne parvient pas à vaincre car ceux-ci bénéficient de l’aide du roi d’Espagne, Philippe II. Après sa conversion, le futur roi se serait ensuite rendu sur la butte Montmartre pour contempler la capitale et se serait exclamé : "Paris vaut bien une messe."
Il se fera sacrer à Chartres le 27 février 1594 sous le nom d'Henri IV puis parviendra enfin à faire son entrée à Paris en mars. Il demandera ensuite l’absolution du pape, qu’il obtiendra en septembre 1595.
1794 : André Chénier est guillotiné.
De Robert Brasillach : CHANT POUR ANDRÉ CHÉNIER.pdf
http://poesie.webnet.fr/lesgrandsclassiques/poemes/andre_...
1842 : Mort de Dominique-Jean Larrey.
Chirurgien en chef de la Grande Armée, il est le père de la médecine d’urgence, et précurseur en matière de secours aux blessés sur les champs de bataille, pratiquant les soins sur le terrain le plus tôt possible, grâce à des ambulances chirurgicales mobiles :
http://www.medarus.org/Medecins/MedecinsTextes/larrey_dj....
Portrait, par Girodet
1909 : Louis Blériot traverse la Manche.
A 37 ans, à bord de son "Blériot XI", il rallie Douvre - venant de Calais - en 38 minutes, à la vitesse de 75 km/h.
http://www.ville-sangatte.fr/pageLibre000108fc.php
A son arrivée sur l'aérodrome de North Fal Meadow, son hélice et son train d'atterrissage se brisent. Louis Blériot reçoit la récompense de 1 000 livres offerte par le journal le "Daily Mail".
1926 : 60.000 personnes au Rassemblement royaliste du Mont des Alouettes.
Dans notre Album Maîtres et témoins (III) : Léon Daudet voir la photo "1926 : 60.000 personnes au Mont des Alouettes".
De Léon Daudet, dans "Une campagne de réunions", Almanach de l'Action française 1927, page 60 :
"...
"On ne raconte pas la journée du Mont des Alouettes. Il faut l'avoir
vécue, avoir assisté à ce déferlement de tout un peuple paysan sur le
lieu sacré de la guerre de géants, de tout un peuple rassemblé par la
faim du Roi, la soif de justice et de Restauration. Car c'est à ces deux
ardeurs concrètes et pathétiques qu'aboutit, en fin de compte, la
colère nationale, mise en mouvement par la trahison (Caillaux et Malvy),
l'assassinat politique et policier (Plateau, Philippe, Berger) et la
banqueroute. "Assez, nous en avons assez", puis "en avant", "à l'assaut,
Daudet, à l'assaut", telles étaient les clameurs qui hachaient chacune
de mes phrases ou, plutôt, chacun de mes appels à ces hommes héroïques
et fiers, et à leurs aïeux. Leurs fantômes, comme ceux des nôtres,
étaient au-dessus de nous et nous encourageaient. A l'horizon, dans la
plaine immense de la Vendée militaire, étincelaient sous le ciel
ensoleillé de l'ouest, - mais que modifie à chaque instant le vent venu
de la mer - brasillaient les clochers et les villages. Là-bas, c'était
le bois de la Chabotterie, que traversa Charette blessé, et prisonnier,
Charette, personnification de cette race sublime dont la résistance
étonna le monde et continue à étonner l'histoire...
La réunion avait pris fin que là-bas, là-bas, sur les pentes de la
colline sacrée, arrivaient encore des files de voitures et des gens, que
l'embouteillage des routes avaient retardés. Depuis midi, les rues des
Herbiers étaient parcourues de trépidements, ronflements, sons de trompe
de cars, qui amenaient les auditeurs de toute la région, de Bretagne,
de Nantes, de Saintes, de Poitiers, d'Angoulême et de Bordeaux. C'était,
pour cette vaste contrée, une mobilisation de tous ceux qui raisonnent
et qui savent que Poincaré le pleutre - père du Cartel et non repenti -
ne sauvera rien, que personne ne peut plus sauver la France en dehors du
Roi, en dehors (comme l'on dit chez "Le Quotidien" et "L'Humanité"
associés), des gens du Roi..."
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