"RELIGION IS DAS OPIUM DES VOLKES"
Les élites peuvent-elles affronter l’idée que Marx était islamophobe ?
Karl Marx décrivait les dangers de l’islam que ses héritiers idéologiques interdisent de mentionner.
Voici un texte de Karl Marx, publié dans le New-York Herald Tribune
le 15 avril 1854.
Chacun pourra constater que Karl Marx ne s’en prend
pas à la dimension religieuse de l’islam (la religion, c’est l’opium des
peuples), mais à sa dimension impérialiste, totalitaire, conquérante et
raciste.
« Déclaration de guerre – Sur l’histoire de la question orientale – Londres, mardi 28 mars 1854″ :
« Le Coran et la législation musulmane
réduisent la géographie et l’ethnographie des différents peuples à la
distinction simpliste et bien pratique de deux nations et de deux
territoires, ceux des fidèles et ceux des infidèles. L’infidèle est
« harby », c’est-à-dire l’ennemi.
L’islamisme condamne la nation des
infidèles, établissant un état d’hostilité permanente entre le musulman
et l’incroyant. En ce sens, les navires pirates des États Berbères
étaient la flotte sainte de l’Islam. Par conséquent, comment l’existence
de chrétiens sujets de la Porte [l'empire turc] peut-elle être
conciliée avec le Coran ?
Si une ville, dit la législation
musulmane, se rend par capitulation, et que ses habitants deviennent
« rayahs », c’est à dire sujets du prince musulmans sans abandonner leur
foi, ils doivent payer le « kharatch » (capitation ou taxe par tête),
quand ils obtiennent une trêve des fidèles, et il est alors interdit de
confisquer leurs biens et de prendre leurs maisons … Dans ce cas, leurs
églises deviennent une partie de leurs patrimoine, et ils ont le droit
d’y prier. Mais ils n’ont pas le droit d’en construire de nouvelles. Ils
ont seulement le droit de les réparer, et de reconstruire les parties
détruites. A période régulière, des commissaires du gouverneur de la
province doivent inspecter les églises et les sanctuaires des Chrétiens,
afin de vérifier qu’aucune nouvelle construction n’a été érigée sous
prétexte de réparation.
Si une ville est conquise par la force,
les habitants conservent leurs églises, mais seulement comme lieu de
refuge, et ils n’ont plus le droit d’y prier »
Texte original :
« Declaration of War. – On the History of the Eastern Question, London, Tuesday, March 28, 1854″ :
«The Koran and
the Musulman legislation emanating from it reduce the geography and
ethnography of the various people to the simple and convenient
distinction of two nations and of two countries; those of the Faithful
and of the Infidels. The Infidel is “harby,” i.e. the enemy. Islamism
proscribes the nation of the Infidels, constituting a state of permanent
hostility between the Musulman and the unbeliever. In that sense the
corsair-ships of the Berber States were the holy fleet of Islam. How,
then, is the existence of Christian subjects of the Porte to be
reconciled with the Koran ?
If a town is
conquered by force, the inhabitants retain their churches, but only as
places of abode or refuge, without permission to worship.”. »
Reproduction autorisée avec la mention suivante :
© Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info
/2011/03/mauvaises-et-bonne-reputations-de.html
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