ALLELUIA !
Troisième Voie s'autodissout
Le
mouvement d'extrême droite, dirigé par Serge Ayoub, n'existe plus.
Son
leader a décidé, mardi soir, de l'autodissoudre.
Il était dans le viseur
du gouvernement depuis le décès de Clément Méric.
Il a souhaité couper l'herbe sous le pied du gouvernement. Serge Ayoub,
leader de Troisième Voie a annoncé la dissolution de son mouvement,
ainsi que celle de son service d'ordre, les Jeunesses nationalistes
révolutionnaires (JNR). Dans son bar, Le Local, situé dans le XVe
arrondissement de Paris, l'ancien leader des skins parisiens a annoncé
mardi soir avoir pris cette décision «pour l'honneur», pour que
mercredi, en Conseil des ministres, «Ayrault et sa clique n'aient plus
aucune raison de nous dissoudre». La dissolution de Troisième Voie
aurait été, selon Serge Ayoub, notifiée en préfecture il y a une
semaine.
Peu après le décès de Clément Méric, et l'implication dans les coups mortels de l'un de ses sympathisants, Troisième Voie, qui a pris vivement sa défense, était entrée dans le viseur du gouvernement. Ce dernier a lancé, le 11 juin, une procédure de dissolution contre elle et les JNR, sans existence légale, mais considéré comme un groupement de fait. Troisième Voie est accusée d'«incitation à la haine» contre les étrangers et les JNR d'être «un groupe de combat». Accusations qu'elles contestent.
Le Local.
Ce dernier est géré par une association nommée Envie de rêver, qui en a été notifiée, le 19 juin. En annonçant ces autodissolutions, Serge Ayoub souhaite ainsi supprimer tout lien entre l'organisation politique et cette association, afin de préserver son bar, situé dans le sud de Paris.
Car ce dernier rayonne au-delà de la nébuleuse de Troisième Voie: en développant rencontres et conférences, chaque semaine, ce lieu est devenu un carrefour des radicaux.
Si le gouvernement décide de dissoudre tout de même l'association, l'avocat de Serge Ayoub, Me Nicolas Gardères, annonce sa volonté de porter un recours devant le Conseil d'État et, au-delà, devant la Cour européenne des droits de l'homme.
«C'est l'honneur de notre démocratie libérale que de tolérer ces voix discordantes, quand bien même celles-ci peuvent être inquiétantes, menaçantes ou considérées comme telles par le gouvernement», a-t-il fait valoir.
Autre raison qui a poussé à ce sabordage: la volonté de recréer un nouveau mouvement, différent. Et ne pas risquer de reconstituer un mouvement dissous.
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Peu après le décès de Clément Méric, et l'implication dans les coups mortels de l'un de ses sympathisants, Troisième Voie, qui a pris vivement sa défense, était entrée dans le viseur du gouvernement. Ce dernier a lancé, le 11 juin, une procédure de dissolution contre elle et les JNR, sans existence légale, mais considéré comme un groupement de fait. Troisième Voie est accusée d'«incitation à la haine» contre les étrangers et les JNR d'être «un groupe de combat». Accusations qu'elles contestent.
Préserver Le Local
Ce qui peut sembler paraître comme un recul face à la volonté du pouvoir ressemble en réalité plus à un repli tactique. Car, au-delà de Troisième Voie, le gouvernement visait dans un second temps l'association gérant le bar servant de base aux nationalistes révolutionnaires:Le Local.
Ce dernier est géré par une association nommée Envie de rêver, qui en a été notifiée, le 19 juin. En annonçant ces autodissolutions, Serge Ayoub souhaite ainsi supprimer tout lien entre l'organisation politique et cette association, afin de préserver son bar, situé dans le sud de Paris.
Car ce dernier rayonne au-delà de la nébuleuse de Troisième Voie: en développant rencontres et conférences, chaque semaine, ce lieu est devenu un carrefour des radicaux.
Si le gouvernement décide de dissoudre tout de même l'association, l'avocat de Serge Ayoub, Me Nicolas Gardères, annonce sa volonté de porter un recours devant le Conseil d'État et, au-delà, devant la Cour européenne des droits de l'homme.
«C'est l'honneur de notre démocratie libérale que de tolérer ces voix discordantes, quand bien même celles-ci peuvent être inquiétantes, menaçantes ou considérées comme telles par le gouvernement», a-t-il fait valoir.
Autre raison qui a poussé à ce sabordage: la volonté de recréer un nouveau mouvement, différent. Et ne pas risquer de reconstituer un mouvement dissous.
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mercredi, 26 juin 2013
Hollande, Ayrault et Valls n'auront pas le plaisir de dissoudre Troisième voie et les JNR... C'EST DEJA FAIT !
Mardi
en fin d’après-midi, au cours d’une conférence de presse qui s’est
déroulée au Local, le fameux bar associatif non-conformiste parisien,
Serge Ayoub, porte-parole du mouvement Troisième voie, entouré de son
avocat, Maître Nicolas Gardère, et de Roland Hélie, directeur de la
revue Synthèse nationale et co-fondateur du Collectif pour la
défense des libertés publiques, a annoncé l’autodissolution de son
mouvement et du service d’ordre de celui-ci, les JNR.
Il
s’agit là d’un véritable pied de nez au gouvernement de la part de
Serge Ayoub. En procédant de la sorte, cela, quelques heures avant le
Conseil des ministres de mercredi matin à l’issue duquel devait être
prononcée la dissolution de ces organisations, il ridiculise
définitivement Hollande, Ayrault et autres Valls en les privant du
plaisir de bâillonner eux-mêmes les organisations de la résistance
nationaliste.
Pour
Serge Ayoub et ses amis, cette mascarade a en effet suffisamment duré.
Depuis le 5 juin dernier, date de l’agression par un commando de
gauchistes de militants nationalistes à Paris, agression à la suite de
laquelle un des agresseurs, Clément Méric, est accidentellement décédé,
le gouvernement, la gauche, l’oligarchie mondialiste et leurs petits
domestiques patentés d'extrême gauche ne cessent de vouloir inverser les
rôles et de faire porter le chapeau de cette affaire à Troisième voie
et aux JNR. Il est plus que temps d’arrêter de confondre les agresseurs
et les agressés.
Au
moment où les preuves de la culpabilité de Méric et sa bande
s’accumulent, il faut que la peur change de camp. Ayrault, Valls et
consort ont perdu la main. Homme d’honneur, Serge Ayoub ne pouvait pas
un moment imaginer que cette bande de minables puisse assassiner son
organisation sans réagir. En les devançant, il prouve avec panache le
mépris qu’inspire aux nationalistes de tels personnages.
Pour
se consoler, les apprentis sorciers qui dirigent la France pourront
toujours, si cela les amuse, dissoudre des mouvements qui n’existent
plus… Cela aurait au moins le mérite de provoquer un éclat de rire
général.
Troisième voie et les JNR se sont auto-dissous… mais le combat continue. Qu’on se le dise !
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