UN ARABE BARBU VETU D'UNE DJELLABA
Nous sommes en guerre, ne l’oublions pas !
par Manuel Gomez
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Légionnaires en patrouille Vigipirate |
Car le terroriste, lui, ne l’oublie pas.
N
|
ous
sommes en guerre contre le terrorisme. Que ce soit en France au Mali au
Nigéria ou ailleurs et comme cela l’était aussi en Algérie jusqu’en
1962. Et ce terrorisme a la même origine : le djihad et l’Islam radical.
Je
suis outré et peiné par l’attentat qu’a subi ce jeune militaire
français dans le hall commercial du RER de la Défense, ce 25 mai 2013 à
18 heures. Il aurait pu être tué et a eu beaucoup de chance. Cependant
je ne peux m’empêcher de m’étonner qu’une patrouille ait pu ainsi se
faire piéger par un « Arabe barbu vêtu d’une djellaba », et qu’il ait pu
s’échapper sans être lui-même poursuivi et appréhendé.¢
A-t-on
vraiment notifié à ces jeunes militaires et aux forces de police la
dangerosité de la mission de surveillance du territoire qui leur est
confiée à l’intérieur du plan « Vigipirate » ? Il faut croire que non
puisque la position même d’une patrouille de trois hommes n’était pas
respectée.
Le
principe de précaution de base veut que le chef soit devant, suivi et
protégé par les deux soldats et non pas le contraire. Si cela avait été
le cas le jeune militaire n’aurait pas été agressé sauvagement et le
terroriste aurait été maitrisé sur place.
Je
les vois se promener, avec sérieux certes, dans les aéroports, les
gares, etc. rassurant sans aucun doute les usagers par leur présence,
certes ils s’intéressent immédiatement à l’existence d’une valise ou
d’un colis abandonné mais je ne les vois pas s’arrêter pour jeter un
coup d’œil dans les poubelles où souvent se dissimulent les bombes. Je
ne les vois pas non plus se retourner lorsqu’ils sont dépassés par des
bandes d’individus à l’accoutrement bien particulier et, malheureusement
comme nous venons de le constater, même pas sur « un Arabe barbu vêtu
d’une djellaba ».
Ces
jeunes militaires et les forces de police qui sont employés dans le
plan Vigipirate doivent être parfaitement conscients des risques de leur
mission.
De nos jours il faut avoir des yeux derrière la tête si on ne veut pas prendre le risque d’être égorgé.
Est-ce
que le ministre de l’Intérieur dans ses mises en garde politicienne,
est-ce que la garde des sceaux (à cause de son laxisme vis-à-vis des
délinquants et des terroristes, qu’elle côtoyait encore il y a quelques
temps) ne se considèrent-ils pas comme en partie responsables des
blessures infligées à ce militaire?
(francepresseinfos.com)
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