A LONDRES, CA BOUGE !
28/05/2013
GB : les universités doivent bannir les groupes musulmans qui imposent la ségrégation sexuelle (maire de Londres)
Il
serait bon d’envoyer cet article à Denis Brière, recteur de
l'Université Laval (courriel : Denis.Briere@rec.ulaval.ca) ainsi qu'à
Pierre Duchesne, ministre de l'Enseignement supérieur (courriel :
ministre@mesrst.gouv.qc.ca).
En effet, l’Université Laval permet la
ségrégation sexuelle lors d’évènements sur son campus avec un imam connu
pour prôner des châtiments violents et barbares tels que la lapidation
et la décapitation.
Lire : Les femmes derrière les hommes à l’Université Laval.
M. Brière aurait reçu 7000 courriels de protestation. Lire en
commentaire la (non) réponse envoyée par la directrice des services aux
étudiants.
Lire aussi :
Une leçon d'islam 101 pour le Premier ministre David Cameron et le maire Boris Johnson
_______________________
Les universités doivent cesser
de se plier aux exigences des extrémistes musulmans en permettant la
ségrégation sexuelle lors de leurs conférences, a dit aujourd’hui Boris
Johnson.
Le maire de Londres, qui a participé aux
réunions de «Cobra» [comité du gouvernement sur les mesures d’urgence]
après le meurtre du soldat Lee Rigby à Woolwich la semaine dernière, a
également déclaré que les universités devaient être « beaucoup plus
sévères dans leur surveillance des associations d’étudiants musulmans ».
Selon des rapports, des organisations
islamiques ont organisé des débats devant des auditoires où les hommes
et les femmes étaient séparés.
En mars, une université de Londres a
ouvert une enquête après qu’une organisation islamique a imposé la
ségrégation sur le campus lors d’un débat. L’University College de
Londres a déclaré que les rapports sur la ségrégation lors des débats
organisés par l’Islamic Education and Research Academy (iREA) le 9 mars
étaient préoccupants.
Les universités doivent être beaucoup, beaucoup plus sévères dans leur surveillance des associations d’étudiants musulmans
M. Johnson écrit, dans l’édition d’aujourd’hui du Daily Telegraph
: «Les universités doivent être beaucoup, beaucoup plus sévères dans
leur surveillance des associations d’étudiants musulmans. Il est
totalement inacceptable de pratiquer la ségrégation sexuelle dans des
institutions d’apprentissage financées par l’État. Si des conférenciers
invités commencent à jouer un numéro islamiste – et tentent d’appeler à
la violence ou de la justifier – l’institution doit alors appeler la
police ».
M. Johnson a ajouté que les politiciens
devaient faire une distinction claire et nette entre l’islam et le virus
de « l’islamisme ». Il a dit : « Il s’agit d’un agenda politique
sinistre qui cultive un sentiment d'injustice et de victimisation chez
une minorité de musulmans. Les islamistes veulent la charia universelle
et autre charabia.
Surtout, ils recherchent le pouvoir sur les autres,
ce qui les conduit à cibler les jeunes hommes qui se sentent en quelque
sorte rejetés par la société, et ils leur inculquent un sentiment
horrible et illusoire de leur propre importance. Ils leur racontent
qu'ils ne sont pas les seules victimes d’injustice, qu'ils appartiennent
à un groupe beaucoup plus large de victimes - les musulmans - et que le
djihad est la seule façon de venger ces injustices. Ces prédicateurs
islamistes n'ont aucune allégeance à la société occidentale où ils
vivent et dont ils abusent des avantages ; au contraire, leur intention
avouée est d’établir un califat musulman sexiste et homophobe. »
M. Johnson a poursuivi : «Il faut éviter
de donner aux meurtriers ce qu’ils recherchent par-dessus tout – nous
diviser. Ils disent qu'ils veulent une "guerre", ou, comme d’autres
l’ont dit, un "clash des civilisations". C’est de la foutaise, et nous
pouvons le démontrer. Pour éviter toute tentation de ce genre, nous
devons avoir la ferme conviction qu'il est insensé de blâmer l’islam, une religion qui réconforte et enrichit la vie de centaines de millions de personnes pacifiques.»
Source : Boris Johnson: Ban Islamic groups teaching segregated university lectures, par Christopher Hope, The Telegraph, 26 mai 2013. Traduction par Poste de veille
%%%%%%%%%%%%%%
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire