mercredi 13 mars 2013

QUAND LES FRANCAIS SE REVEILLERONT, PREVENEZ-MOI !


Qui va quitter la France ?... pas Nous !




Un de nos lecteurs qui souhaite rester anonyme nous a fait parvenir ce texte. Un texte pessimiste à juste titre mais que nous refusons de considérer comme prémonitoire. La braise couve toujours sous la cendre. Il faut garder le moral intact et raviver la Flamme !...

P

our les Français, le train de l'Histoire est arrivé à son terminus. C'est fini. Il faut ramasser ses bagages et se préparer à descendre.

Quand la Seine Saint-Denis a commencé à pourrir, les Français de souche ont quitté la Seine Saint-Denis transformée depuis en  coupe-gorge. 
De la même manière, ils quittent Lille, Marseille, Roubaix, les quartiers nord de Paris. Progressivement, viendra le jour où changer de ville ne résoudra pas le problème. Il faudra alors s'écraser ou bien quitter le pays. Peu à peu, le Français de souche se fait remplacer et il est heureux, Il regarde béatement sa Nation partir dans le tout à l'égout.¢




Dans le désert, quand un animal est blessé, les rapaces viennent de partout, chacun veut son petit morceau. La France est aujourd'hui cet animal mourant.



Par leurs impôts, les Français financent les logements, la nourriture et les soins de ceux qui sont en train de les remplacer. Quand il n'y aura plus assez de travailleurs pour payer les parasites, ça sera le chaos et la violence.



Pour son immigration, la France a particulièrement choisi des populations incapables de gagner ou de produire ne serait-ce que leur pain quotidien.



Les Français ne souhaitent qu'une seule chose : disparaître. Ils ont trop honte d'exister. Ils se sentent tellement coupables qu'ils traversent ce monde en s'excusant.



Il va bien falloir un jour se réveiller car la Marseillaise pourrait rapidement commencer par: "Aux larmes citoyens........."
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Les français se réveilleront trop tard…L’histoire se souvient






  Le Figaro a interviewé Christopher Caldwell, journaliste américain, auteur du livre « Une révolution sous nos yeux ; Comment l’islam va changer la France et l’Europe* ».
Voici quelques extraits du livre … 

« L’immigration, quelles que soient les circonstances historiques, produit toujours des conflits économiques, sociaux ou culturels. La diversité n’est pas une richesse comme le proclament certains politiques de gauche comme de droite lorsqu’elle est subie.

« Aux États-Unis, nous connaissons aussi le phénomène de l’immigration. La grande vague migratoire, au cours des dernières décennies, est surgie du Mexique, d’Amérique centrale ou d’Amérique du Sud. Or cette culture n’est pas étrangère aux États-Unis, pays qui compte depuis l’origine une forte minorité catholique. Les gens qui viennent d’Amérique du Sud sont très pauvres, mais leurs références et leurs façons de vivre sont à peu près similaires à celles des Siciliens, dont descendent la grande majorité des citoyens italo-américains. Avec nos immigrés, nous n’avons donc pas un problème culturel comme vous, car ce sont des judéo-chrétiens et nous aussi.
« L’islam est une culture religieuse qui veut structurer la société. Est-ce compatible avec la tradition européenne ? Non. La France va imploser dans 15 ou 20 ans dans le sang et les larmes. C’est maintenant irréversible. Sauf….
Aujourd’hui, ceux qui gouvernent la France n’ont pas la capacité à réagir face à ce drame programmé. D’autres demain vont se plier aux exigences des islamiques et vont collaborer. Vous subirez la Charia.
« Vous me demandez en quoi l’immigration en Europe concerne les Américains. Ce n’est pas pour en tirer des leçons pour les États-Unis, car la situation est très différente. En fait, les Américains s’y intéressent pour des raisons géostratégiques : leur interrogation porte sur les populations non assimilées de l’Europe, vues comme des sources potentielles de terrorisme ou d’antiaméricanisme.»
« Dans une démocratie, il faut partager des règles. Or deux cultures incarnant des visions différentes du monde ont du mal à s’accorder sur de telles règles. Cela ne veut pas dire qu’il est impossible d’y parvenir, mais que c’est difficile. »« Verrons-nous un jour un féminisme musulman ? Je ne sais pas. Ce que je sais, aujourd’hui, c’est que la conception occidentale de la femme ne s’accorde pas avec la conception arabo-musulmane de la femme. » « Ce sont les mêmes problèmes qui reviennent d’une manière ou d’une autre (partout en Europe).
Pour commencer, l’intégration des immigrés s’apparente globalement à un échec. Et les mêmes questions sont posées partout : les taux de chômage et de délinquance supérieurs à la moyenne dans les quartiers peuplés de migrants, les revendications concernant les prescriptions alimentaires islamiques, les demandes de séparation des sexes à l’hôpital ou dans les activités sportives, la recherche d’interlocuteurs musulmans modérés… Quand on voyage d’un pays européen à l’autre, comme je l’ai fait pendant plusieurs années, on entend les mêmes préoccupations, les mêmes mots, et jusqu’aux mêmes blagues. Quand vous allez vous réveiller il sera trop tard »
« Si l’on cherche une différence entre pays européens quant au traitement de l’immigration, elle est précisément là : en France, la parole est verrouillée, contrairement à la Grande-Bretagne , à l’Italie ou à l’Allemagne. Pierre-André Taguieff a raison quand il évoque l’idéologie de l’« immigrationnisme ». Chez vous, il est presque illégal d’avoir une réflexion négative sur un phénomène qui, comme tout fait de société, ne devrait pas échapper à l’esprit critique. La France va payer très cher son “politiquement correct”.
« Ce qui m’inquiète pour vous, c’est que la situation européenne commence à ressembler au problème racial qui a longtemps empoisonné la vie américaine. Cela ne veut pas dire qu’il n’existe aucune solution pour l’Europe, ni que deux groupes ethniques ne peuvent pas travailler ensemble pour bâtir quelque chose qui soit mutuellement satisfaisant. Mais il faut avoir conscience que l’Europe fait désormais face à un problème durable. Chez nous, il a duré trois cent cinquante ans… Je pense que les enjeux de ce problème sont encore plus grands que ne le pensent les Européens. » « une culture religieuse forte et un système contractuel basé sur la tolérance sont difficiles à concilier parce que, dans une telle rencontre, c’est toujours le côté qui ne veut pas négocier qui a l’avantage. Une religion qui ne doute pas de soi et qui prétend structurer toute l’organisation sociale mondiale, comme l’islam, n’est pas prête à transiger. »« En Belgique, la communauté belgo-marocaine, relativement bien intégrée, affiche un indicateur conjoncturel de fécondité deux fois et demie plus élevé que celui des Belges autochtones.
A Bruxelles, où le quart des habitants sont des citoyens étrangers et où plus de la moitié des enfants nés en 2006 étaient nés de musulmans (56 %), les sept prénoms de garçons les plus courants parmi ces nouveau-nés étaient Mohamed, Adam, Rayan, Ayoub, Mehdi, Amine et Hamza. » Boumédienne avait bien dit en 1974 à la tribune de l’ONU que les ventres des femmes musulmanes remplaceront les fusils et les canons pour conquérir l’Europe”.


Christopher Caldwell : « Le problème fondamental de l’Europe avec l’islam, et avec l’immigration en général, c’est qu’en Europe, les communautés les plus fortes ne sont, culturellement parlant, pas du tout européennes. Malgré la grande variété de mesures prises pour le résoudre – multiculturalisme en Hollande, laïcité en France, laisser-faire en Grande-Bretagne, pointillisme constitutionnel en Allemagne -, ce problème existe dans tous les pays européens. C’est avec l’islam et l’immigration que l’Europe a un problème et non avec l’usage impropre de certains moyens mis en place pour le traiter. Il est sûr que l’Europe sortira changée de sa confrontation avec l’islam. Il est bien moins sûr que ce dernier se révèle assimilable. Pour l’heure, l’islam est en meilleure position pour l’emporter à la fois démographiquement, c’est une évidence, et philosophiquement, même si cet avantage paraît moins net. »

« Quand une culture peu sûre d’elle, malléable et relativiste, rencontre une culture ancrée, confiante et renforcée par des doctrines communes et surtout religieuses, c’est généralement la première qui change pour s’adapter à la seconde car elle a perdu les moyens de réagir. Il n’y que le nationalisme qui pourra vous sauver.


La guerre en ex-Yougoslavie en est un exemple. Les musulmans, craintifs et soumis lorsque qu’une autorité les domine, n’imposeront pas leur manière de vivre à celle-ci, à l’instar de chez vous. Allez visiter la Croatie, la Serbie ou bien plus près de chez vous : la Corse.


 Pourtant dans cette île ils représentent 10% de la population autochtone et n’inquiètent pas outre mesure les Corses. N’oubliez pas que ces trois peuples, comme par hasard, était les seuls en Europe à se libérer du joug nazi sans l’aide de personne. 

Il en est ou sera de même avec l’occupation musulmane car le patriotisme est leur ciment. On dit bien chez vous “on ne fait pas d’omelette sans casser des œufs ?” 

Source: Le Figaro du 11 octobre 2011 
par Jean-Patrick Grumberg
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