L'ISLAM EST BIEN SUR, UNE RELIGION COMME UNE AUTRE...
La recrudescence des viols en Syrie a un fondement légal islamique
Le
viol est un "phénomène important et inquiétant de la guerre civile en
Syrie", estime l'IRC, une ONG basée aux Etats-Unis. Celle-ci a publié ce
lundi un rapport intitulé "Syrie: une crise régionale".
"Au
cours de trois enquêtes réalisées par l'IRC au Liban et en Jordanie,
des Syriens ont cité le viol comme raison principale de leur fuite du
pays avec leur famille", a indiqué l'ONG dans son rapport. En lire plus sur ce rapport.
Mais
qui osera dire que le viol des femmes issues du butin de guerre est
licite en islam en vertu d'un enseignement du prophète Muhammad ?
Au cours du jihâd,
la femme de l’ennemi fait partie du butin.
A ce titre, le musulman
dispose de son corps une fois qu’il l’a réduit en esclavage.
Le rite
malékite, officiel au Maroc et en Algérie, choisi par l’Institut de
théologie de la Grande mosquée de Paris, se base sur un ouvrage
fondamental : Al-Muwatta’ "synthèse pratique de l’enseignement islamique" de Abdu-llah Mâlik, jurisconsulte médinois du septième siècle appelé communément, excusez du peu, "l’imam des imams".
Al-Muwatta’ est
tellement populaire chez les musulmans qu’il s’en vend à la Fnac et au
Virgin Mégastore, ainsi qu'à la "librairie-boutique" de l'Institut du
Monde Arabe. Voici ce qu’on peut y lire à la page 450 de la traduction de Muhammad Diakho des éditions Albouraq :
(1262) 95- « Ibn
Muhayriz a rapporté : « j’entrai à la mosquée et à la vue de Abû Sa’îd
al-Khudrî, je m’assis près de lui et je lui demandai au sujet de
l’éjaculation en dehors de l’utérus. Il me répondit : « Nous quittâmes
Médine avec Mahomet dans une expédition contre les Banû al-Muçtaleq. Nous prîmes pour captives les
meilleures femmes arabes. Comme nous les désirions, et que nous
souffrions de notre célibat, nous avions voulu avancer des rançons en
échange des captives, puis de cohabiter avec elles en éjaculant en dehors de l’utérus.
Alors, nous nous dîmes : « Ferons nous cela sans le demander à Mahomet
qui est parmi nous ? » En le lui demandant il répondit : « Il n’y a pas de mal à faire cela » »
Le lundi 17 décembre 2007, Rima Elkoury, journaliste canadienne au magazine
La Presse, dans un article intitulé Du voile et du viol
s’étranglait de ce qu’on enseigne dans les « centres culturels musulmans »:
"
Mets
un voile, sinon tu pourrais être violée.
C'est ce que l'on recevait
comme message jusqu'à tout récemment sur le site Internet du Centre
communautaire musulman de Montréal, sous une rubrique visant à informer
l'internaute non voilée des supposés dangers liés à sa condition"
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