FREMDENFEINDLICHKEIT IS STRENG VERBOTEN !
L’immigration, cheval de Troie des puissances étrangères...
Jean-Yves Le Gallou
Boulevard Voltaire cliquez ici
L’immigration
est un boulet. Un boulet pour l’économie : elle pèse sur les déficits,
elle aggrave le chômage. Un boulet social : elle tire les salaires à la
baisse. Un boulet sécuritaire : inutile d’en dire plus… L’immigration
est aussi devenue un vecteur d’influence pour les puissances étrangères.
Les
grandes métropoles régionales et les principales villes moyennes se
couvrent de minarets coiffant de grandes mosquées. Cet islam conquérant
n’est en rien spontané. Derrière chaque construction et chaque imam, il y
a l’argent et l’influence d’une puissance étrangère : Maroc, Algérie,
Turquie, pétromonarchies du Golfe persique.
Le
petit Qatar – peuplé à plus de 80 % d’immigrés sans le moindre droit —
est encore allé plus loin : il s’est engagé à financer le développement
d’entreprises ethniques en Seine-Saint-Denis.
Mais les pays musulmans ne sont pas les seuls à jouer à ce petit jeu. L’hyperpuissance américaine est aussi omniprésente dans les banlieues
françaises. Nommé à Paris, en 2009, par Obama, l’ambassadeur Rivkin
s’est donné pour priorité d’exercer l’influence des États-Unis sur les
banlieues de l’immigration. Les sites islamiques Oummah et Saphir ont reconnu leurs bonnes relations avec l’ambassade américaine. Le Bondy blog,
qui bénéficie d’une notoriété médiatique parfaitement artificielle, a
reçu la visite médiatisée de l’ambassadeur américain accompagné de
l’acteur noir Samuel Johnson. Les voyages transatlantiques payés par le
département d’État ou les agences américaines se multiplient : rappeurs
américains venant en banlieue, jeunes pousses économiques et politiques
invitées aux États-Unis. La ministre Najat-Belkacem est elle-même un
produit de la French american foundation.
Dans
son activité d’influence en direction des milieux immigrés,
l’ambassadeur est assisté par Mark Taplin : un diplomate d’expérience
spécialiste du soft power qui a exercé ses talents en Russie (à
l’époque d’Eltsine) puis en Ukraine, Moldavie et Biélorussie de 1999 à
2004 (à l’époque de la « révolution de couleur » en Ukraine).
Voilà qui est clair !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire