LA CRISE EXISTENTIELLE DU PEUPLE FRANCAIS
Le : 03 Décembre 2012
Immigration de masse : la grande catastrophe
L’immigration
de masse n’est pas une chance pour la France. C’est une catastrophe.
Une grande catastrophe : identitaire, sécuritaire, scolaire,
administrative, sanitaire, économique, sociale, budgétaire,
environnementale, politique, diplomatique, démographique ; c’est aussi
une catastrophe pour les libertés. Il est temps de rappeler les faits,
dans toute leur réalité, c’est-à-dire dans toute leur brutalité. Sans
haine, bien sûr, mais aussi sans faux semblants, ni tartufferies, ni
concessions aux convenances de la bien-pensance.
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– Catastrophe identitaire. Beaucoup
de Français de souche européenne se sentent devenir étrangers dans leur
propre pays. Dans certains quartiers, ils deviennent une minorité
opprimée. Des coutumes étrangères – voile islamique, boubous, djellabas –
leur sont imposées dans l’espace public. Des règles alimentaires
musulmanes s’implantent dans leurs abattoirs et s’imposent dans leurs
assiettes. Les paysages urbains sont transformés par l’édification de
mosquées monumentales, expression d’une prise de contrôle symbolique du
territoire français. Les programmes scolaires et leurs mises en œuvre
sont « adaptés » aux exigences de minorités venues d’ailleurs. Les
principes républicains (laïcité, mérite, égalité de droit) sont bafoués.
La France devient multiculturelle et donc multiconflictuelle.
– Catastrophe sécuritaire.
Du strict point de vue des faits, il est incontestable que la très
grande majorité des trafiquants de drogue sont noirs ou arabes. Les
violences faites aux femmes, les agressions dans les écoles, les
rencontres sportives entre amateurs qui tournent mal, sont concentrées
dans les quartiers de l’immigration et les périphéries qu’ils impactent.
Plus généralement, l’explosion de la délinquance, depuis les années
1970, est en relation directe avec la progression de l’immigration. Dans
les prisons, de l’ordre des deux tiers des personnes incarcérées ne
sont pas des Français de souche. Plus de la moitié des détenus sont
musulmans. Près de 800 quartiers sont devenus des zones de non-droit où
les pompiers et les SAMU s’exposent à être caillassés et où les médecins
hésitent à s’aventurer.
– Catastrophe pour les libertés.
La montée de l’insécurité liée à l’immigration limite dans les faits la
liberté d’aller et venir (dans certains quartiers ou moyens de
transport) des honnêtes citoyens. La lutte contre l’insécurité n’a pas
porté sur ses vraies causes mais a provoqué une multiplication des lois
sécuritaires potentiellement dangereuses pour les libertés : inflation
du nombre des incriminations pénales, extension des délais de garde à
vue, essor de la vidéo-surveillance, développement de la sécurité
privée. Pour imposer, sans débat et sans consultation des Français, une
politique migratoire insensée les gouvernements successifs ont fait
voter des lois liberticides : lois Pleven (1972), Gayssot (1990), Toubon
(1994), Taubira (2002) qui sont des atteintes successives à la liberté
d’expression, en même temps qu’une véritable régression
civilisationnelle.
– Catastrophe scolaire.
Les réformes pédagogiques et le collège unique ont débouché sur une
dégradation de l’acquisition des connaissances par les élèves. Ce
phénomène est grandement amplifié par l’hétérogénéité croissante des
classes en raison d’une immigration qui accentue les différences entre
élèves, s’agissant des capacités cognitives, de la maîtrise de la langue
française et de l’acceptation du contenu des programmes (histoire,
littérature, biologie). L’affectation des enseignants débutants dans les
banlieues de l’immigration rend leur recrutement de plus en plus
difficile et conduit souvent au découragement de ceux qui ont choisi le
métier de professeur. Cet ensemble de faits explique qu’aux tests
internationaux PISA, les performances des élèves scolarisés en France
déclinent davantage que dans les pays voisins. A contrario, c’est la
Finlande, pays européen le plus homogène ethniquement, qui obtient les
meilleurs résultats internationaux.
– Catastrophe administrative.
Certains immigrés sont amenés à importer des pratiques frauduleuses
souvent jugées normales dans leur pays d’origine : fausses déclarations,
corruption active de fonctionnaire ou menaces. Les fonctionnaires de
police, des préfectures, des services du permis de conduire, les agents
des services sociaux mais aussi les enseignants sont exposés à ces
comportements.
– Catastrophe pour la santé publique. Compte
tenu des contraintes budgétaires qui l’encadrent et de l’allongement de
la vie, le système sanitaire français est au bord de la rupture
financière. L’immigration apporte des déséquilibres supplémentaires : un
nombre croissant de bénéficiaires non cotisants (CMU, CMU
complémentaire, Aide médicale d’Etat), du tourisme médical offrant
l’accès à des lits d’hôpitaux parfois en nombre insuffisant, l’essor de
maladies rares en France (tuberculose, SIDA) mais fréquentes dans les
départements à forte immigration africaine (93, 95 notamment).
L’organisation même des services d’urgence est perturbée par des
comportements compulsifs, voire agressifs, de personnes ne suivant pas
le parcours de soins habituel. Or cette augmentation de la demande
médicale n’ayant été ni anticipée ni financée, les hôpitaux sont
conduits à recruter des médecins étrangers sous-payés et parfois
sous-qualifiés.
– Catastrophe pour l’emploi.
Le chômage dépasse le seuil de 10% de la population active, 15% en
prenant en compte le chômage partiel. C’est une cause majeure de malaise
social et de déficit budgétaire. L’immigration n’est pas seule en cause
mais amplifie le phénomène. Le taux de chômage des étrangers africains
ou maghrébins est le double du taux français, selon l’INSEE. Le taux de
chômage des jeunes issus de l’immigration maghrébine ou africaine est
aussi le double de celui des jeunes Français d’origine européenne (1).
On connaît l’antienne cent fois répétée : « Les étrangers font le
travail que les Français ne veulent plus faire ». Pour être plus exact,
il faudrait dire : « …ou plutôt que les étrangers déjà installés et les
immigrés de la seconde génération ne veulent plus faire non plus ». Les
immigrés qui entrent aujourd’hui en France maintiennent au chômage des
étrangers déjà présents ; et ce sont les parents des chômeurs de demain.
– Catastrophe pour les salaires.
Sous l’effet de la poursuite inconsidérée de l’immigration, les
salaires baissent dans de nombreux secteurs et métiers : ouvriers du
bâtiment et travaux publics, employés de la restauration ou des services
d’aide à la personne, artisans mais aussi techniciens et ingénieurs,
notamment dans l’informatique, sont concernés. Ce sont les jeunes actifs
entrant sur le marché du travail qui sont les premières victimes de ce
phénomène. L’ouverture des frontières offre un immense réservoir de
main-d’œuvre aux sociétés industrielles capitalistes tandis que
l’Etat-providence assure à tous un revenu minimal : d’où le
développement simultané du chômage, de la baisse des salaires et de la
montée des déficits. Difficile de faire pire !
– Catastrophe budgétaire. Dans
un pays en sous-emploi, l’immigration est un boulet économique : toute
entrée de personnes supplémentaires sur le territoire accroît les
charges sociales et les frais généraux de la nation, sans recettes
correspondantes. En appliquant les modes de calcul du prix Nobel Maurice
Allais on peut estimer à 18 milliards d’euros, chaque année, les coûts
d’investissement (logements, hôpitaux, écoles, transports, prisons) et
les charges de fonctionnement (écoles, aides et prestations sociales)
liés à l’entrée de plus de 200.000 étrangers supplémentaires. Ceux qui
prétendent, contre tout bon sens, que l’immigration améliore les comptes
français oublient deux choses : que la France est en sous-emploi et
qu’il est inexact de comparer une population immigrée jeune à une
population française âgée puisque celle-ci compte… de vieux immigrés
naturalisés. Enfin, une partie des salaires et des aides sociales
perçues repart, à hauteur de plusieurs milliards d’euros, vers les pays
d’origine, ce qui creuse le déficit de la balance des paiements
française.
– Catastrophe environnementale et pour l’aménagement du territoire.
L’immigration de masse aboutit à déstructurer les espaces urbains ;
elle provoque le white flight (2) et amplifie la crise du logement et la
rurbanisation du territoire ; résultat : l’artificialisation des sols
s’accélère ; tous les dix ans l’équivalent de la surface d’un
département est artificialisé, ce qui détruit des paysages, fruits d’un
équilibre millénaire. La gestion des déchets dans les quartiers de
l’immigration et dans de nombreux campements Roms pose des problèmes
environnementaux graves.
– Catastrophe dans les transports.
En trente ans, la situation dans les transports publics des grandes
métropoles s’est profondément dégradée : d’abord, parce que les réseaux
de transport doivent déplacer davantage d’usagers sans disposer pour
cela de recettes supplémentaires correspondantes ; ensuite, parce que
les comportements irresponsables (blocage des fermetures de portes des
trains, descente sur les voies de chemin de fer), les actes de
vandalisme et les agressions, particulièrement fréquents sur les lignes
desservant les banlieues de l’immigration, se répercutent sur l’ensemble
des réseaux, générant des retards à répétition. Les vols de métaux,
commis par des mafias souvent venues d’ailleurs, sont une cause
additionnelle de perturbations.
– Catastrophe politique.
Selon la Constitution, « la souveraineté appartient au peuple », et «
la loi est l’expression de la volonté générale » ; or, pour qu’un groupe
humain fasse peuple, il faut qu’il partage des valeurs, des coutumes et
des comportements communs. Cela suppose l’assimilation. La
communautarisation ethnique et religieuse s’y oppose. Les minorités
monnaient leurs voix. Ce qui conduit les maires à « courtiser
l’islamisme » (3) et le parti socialiste à fonder sa stratégie
électorale sur le remplacement des classes populaires françaises par les
minorités étrangères.
– Catastrophe pour la souveraineté française.
A terme, nos options de politique étrangère risquent d’être prises au
regard des réactions éventuelles de minorités arabophones ou islamisées
présentes sur notre sol ; d’ores et déjà, celles-ci sont la cible de
spectaculaires opérations d’influence de la part des Etats-Unis et du
Qatar, sans compter le financement de mosquées par l’Arabie Saoudite, le
Maroc, l’Algérie ou la Turquie.
– Catastrophe démographique.
A moyen et long terme, c’est à une substitution de population que nous
assistons. C’est déjà le cas en Seine-Saint-Denis où plus de la moitié
de la population est noire ou maghrébine. C’est aussi le cas dans la
grande majorité des 800 quartiers « sensibles ». Ce pourrait être, à
terme, le cas de l’ensemble de la France menacée de « grand remplacement
», selon la juste expression de l’écrivain Renaud Camus. Ce génocide
lent a deux causes : l’arrivée de populations étrangères fécondes, en
raison notamment de l’immigration nuptiale (entrée en France de jeunes
femmes avec un taux de fécondité élevée) ; mais aussi le découragement
de bien des familles de souche européenne qui se heurtent à des
difficultés croissantes pour se loger, pour se déplacer et pour trouver
des écoles adaptées à leurs enfants. La surnatalité ou la seule
irruption étrangère est aussi une cause de la dénatalité française. Ce
phénomène a été observé par le passé dans l’effondrement de nombreuses
civilisations, notamment méso-américaines. La catastrophe démographique
est évidemment de loin la plus grave car elle est potentiellement
irréversible.
Faire face à la crise existentielle du peuple français
Certes, l’ensemble des difficultés
françaises ne saurait être réduit à l’immigration. La crise
existentielle du peuple français est la cause majeure de l’abaissement
français. Mais il serait vain d’envisager – par aveuglement, paresse
intellectuelle, lâcheté morale, opportunisme médiatique ou cynisme
politique – un quelconque relèvement français (ou européen) sans que
soit posée la question de l’immigration. Pour une raison simple : oser
s’attaquer au problème de l’immigration, c’est la première étape du
redressement, car c’est le tabou le plus fort qu’il faut briser : celui
de la mauvaise conscience et de la repentance.
Polémia
30/11/2012
30/11/2012
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