lundi 24 décembre 2012

IL FAUT POURSUIVRE EN JUSTICE LES NEGATIONNISTES CLIMATIQUES !





La banquise de l’Antarctique fond beaucoup plus vite que prévu



 
Des scientifiques américains s’alarment : la fonte accélérée de la couverture glaciaire de l’Antarticque occidental va entraîner une hausse encore plus rapide que prévu des océans. 


Pôle sud.
(AFP / BRITISH ANTARCTIC SURVEY/NASA)

Pôle sud.



Avec cet article
Au mois d’août, c’est la fonte brutale de la banquise de l’Articque qui avait mis en émoi la communauté scientifique. Cette fois, l’inquiétude vient de l’Antarctique occidental dont la couverture de glace se dissout deux fois plus vite que prévu, si l’on en croit une étude américaine publiée dans la revue Nature Geoscience.

Que disent les auteurs de l’article en question ? que c’est à cet endroit précis du globe, que la terre se réchauffe le plus vite, avec une élévation de la température qui a atteint 2,4 degrés en un peu plus de 50 ans. Une hausse deux fois plus importante que ce qui avait été initialement prévu et surtout qui représente, sur la même période 1957-2011, trois fois la hausse moyenne à la surface du globe.

La fonte de l’Antarctique contribue pour 10 % à la hausse des océans

Or aujourd’hui, la fonte de la couverture de glace de l’Antarctique occidental contribue déjà pour environ 10 % à la hausse globale des océans. Les chercheurs s’inquiètent donc de l’accélération enregistrée. D’autant que la couverture de l’Antarticque forme une énorme masse de glace d’une épaisseur de 4 kilomètres par endroits. « Nos relevés suggèrent que le réchauffement estival continu en Antarctique occidental pourrait perturber l’équilibre de surface de la couverture de glace, ce qui fait que la région pourrait contribuer encore davantage à la hausse globale du niveau des océans », note l’un des chercheurs,  David Bromwich, du Byrd Polar Research Center.

De nombreuses villes côtières menacées

Pour les scientifiques, il s’agit là d’une menace majeure pour de nombreuses villes côtières dans les décennies à venir. Si les résultats ne sont pas ceux prévus, c’est que les relevés de la station Byrd, établie en 1957 dans le centre de l’Antarctique occidental, étaient incomplets. David Bromwich et des chercheurs provenant de divers instituts de recherche américains ont utilisé différentes sources pour compléter les trous dans les relevés et corrigé des erreurs de calibrage.

La Croix avec AFP  


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L'Antarctique se réchauffe plus vite que prévu

Mis à jour
Crédits photo : RODRIGO JANA/AP
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Une étude démontre que les températures moyennes en Antarctique occidental ont augmenté de 2,4°C depuis 1958, soit deux fois plus que ce l'on croyait jusqu'à présent.

L‘Antarctique occidental s'est réchauffé deux fois plus rapidement que ce que l'on croyait jusqu'à présent. Une étude parue dans Nature Geoscience démontre que la hausse des températures dans cette région, où le réchauffement climatique est le plus important, a été de 2,4°C depuis 1958. Soit trois fois plus que la hausse moyenne des températures à la surface du globle sur la même période.
Plusieurs instituts de recherche américains ont décidé de revoir les données de la station Byrd, établie dans la région en 1957 pour étudier les variations de températures, mais dont les relevés étaient incomplets. Les scientifiques ont découvert qu'une erreur s'était glissée dans un des logiciels: les données étaient donc fausses. En les recalculant à partir de nouvelles sources, ils ont découvert que le réchauffement dans cette région était plus rapide qu'escompté.

Un phénomène courant sur plusieurs siècles

Comme l'explique le New York Times, la hausse des températures en Antarctique est un concept tout relatif, les températures annuelles moyennes étant en dessous de zéro. Mais il arrive que les températures estivales soient positives, et l'étude de Nature Geoscience tend à montrer que ce phénomène va se répéter de plus en plus fréquemment. La couverture de glace de cette région, épaisse de 4 kilomètres, risque donc de céder plus rapidement que ce que l'on croyait, et participer à la hausse globale du niveau des océans.

Néanmoins, les scientifiques rappellent que la rupture de la couverture de glace de l'Antarctique occidental risque de prendre de un à plusieurs siècles. Mais lorsqu'elle arrivera, le niveau moyen des océans devrait grimper de trois mètres, menaçant de nombreuses régions côtières.

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