UNE RELIGION DE PAIX ET DE TOLERANCE...
L'islam et la sanctification de la violence,
par Hélios d'Alexandrie
(ndlr: Au fait, c'est quoi son nom ? JPPS)
L’islam
est-il intrinsèquement violent ? Telle est la question que se posent
les occidentaux depuis les
attentats du 11 septembre 2001. Plusieurs, et en particulier des
juifs et des chrétiens pratiquants, relativisent le problème ou
refusent de l’admettre.
Comme
pour se convaincre du bien-fondé de leur position ils n’hésitent pas à
faire le parallèle entre les
violences islamiques d’aujourd’hui et celles pratiquées par les
chrétiens dans le passé « au nom du christianisme »; les croisades et
l’inquisition, sont ainsi mises à contribution
dans leur argumentaire. Certains passages de l’ancien testament
sont également cités pour démontrer qu’il n’y a pas moins de violence
dans la bible et, qu’en dernière analyse, tout est dans
l’interprétation des textes sacrés. Pour illustrer mon propos je
cite ici le commentaire d’un des lecteurs de Poste de veille, il l’a
rédigé en réaction au billet intitulé Un musulman
converti au christianisme est décapité :
Je suis catholique, je le précise en préambule, et je trouve ces pratiques absolument horribles. Faut-il pour autant jeter l'anathème sur une religion et l'ensemble de ceux qui la pratiquent. Souvenons-nous de ce qui s'est passé dans notre propre pays il y a quelques centaines d'années, avec la croisade contre les Albigeois, l'extermination des Cathares que l'ont passait au fil de l'épée (un copié collé de la vidéo montrée) s'il n'abjuraient pas leur foi. Les atroces guerres de religion entre catholiques et protestants, la chasse au protestants dans les Cévennes, etc... Et tout cela piloté par la papauté, au nom de Dieu. Certains musulmans d'aujourd'hui ne font que du copié collé des pratiques des chrétiens d'hier. La conclusion que j'en tire, c'est que ces musulmans barbares en sont au même stade de développement mental et spirituel que ce qu'en étaient les chrétiens d'alors. Ce sont souvent des analphabètes des couches les plus pauvres de la population à qui il est très facile de faire du bourrage de crane.
Quant à la violence de certains écrits dans le Coran, il suffit de relire la Bible (Ancien Testament) pour y trouver beaucoup de similitudes. Par conséquent, gardons nous de condamner une religion parce que la lecture et la pratique de cette religion par certains musulmans est absolument détestable. Il y a dans notre pays des millions de musulmans qui ne demandent qu'à vivre leur foi dans la paix et le respect des autres.Borji Ali
C’est,
bien entendu, tout à l’honneur des chrétiens d’aujourd’hui de dénoncer
voire de s’excuser, comme l’a
d’ailleurs fait l’Église catholique, à propos des violences
perpétrées il y a plusieurs centaines d’années; pourtant ils ne sont en
rien responsables des guerres de religion ni de celles du
Moyen-âge. Leur attitude, comme on peut le constater, contraste
avec celle de l’ensemble des musulmans, du fait que ces derniers
continuent de s’enorgueillir et de célébrer les invasions
musulmanes, lesquelles ont débuté au septième siècle, et n’ont
pris fin qu’au dix-septième siècle, après la défaite des turcs ottomans à
la bataille de Vienne le 13 septembre 1683. Ce
contraste flagrant entre chrétiens et musulmans n’est pas le
fait du hasard; il ne peut par ailleurs être attribué à des disparités
dans le niveau de développement; j’en veux pour preuve les
fondamentalistes et les terroristes islamiques, ils sont très à
l’aise financièrement et jouissent d’un haut niveau d’instruction, les
décrire comme des « barbares, analphabètes venant
des couches les plus pauvres de la population » c’est
méconnaître dangereusement la réalité.
La doctrine de la conquête
Christianisme
et islam sont fondamentalement différents; le fossé qui les sépare ne
peut être comblé ni par la
bonne volonté ni par l’œcuménisme. Cette réalité, nul ne la
connaît aussi bien que les chrétiens vivant en pays à majorité
musulmane; ayant subi depuis quatorze siècles la domination
islamique, ils sont les mieux placés pour parler de ce qui
distingue l’islam du christianisme. Il faut également mentionner les
ex-musulmans dont le nombre est en constante augmentation ;
ceux parmi eux qui se sont convertis au christianisme
connaissent du dedans les deux religions et sont par conséquent bien
placés pour en parler. Forts de leur expérience, ces chrétiens et
ces ex-musulmans s’étonnent de la propension qu’ont les
chrétiens occidentaux à minimiser les dangers de l’islam en tant
qu’idéologie. Car il s’agit bien d'idéologie politico-religieuse, non
de foi individuelle, comme en témoigne la déclaration publique
des frères musulmans à l’effet que leur constitution ce n’est, ni plus
ni moins, que le coran, la sunna de Mahomet et la charia
qui en découle.
L’islam
politique de nos jours se propose de réactualiser le jihad conquérant
sous toutes ses formes, soit le
programme impérialiste des successeurs de Mahomet, et ce pour
assurer partout la domination de l’islam. Au-delà des destructions et
des inévitables massacres il y a l’institution de la
tyrannie islamique comme régime politique totalitaire et
universel. La violence islamique est rarement gratuite, elle sert un
objectif politico-religieux bien défini qui ne peut être atteint
autrement que par la force et par l’asservissement des êtres
humains.
Il
existe donc une logique commune qui guide les agissements violents des
musulmans. De la décapitation de
l’apostat à l’hyperterrorisme style 11 septembre c’est le
même but qui est poursuivi, soit la conservation et l’accroissement du
territoire conquis. Contrairement à ce que relate
l’histoire officielle de l’islam, la doctrine de la conquête est
postérieure aux invasions arabes des septième et huitième siècles, elle
a été élaborée aux huitième et neuvième siècles, à
travers le coran et les hadiths, pour donner aux conquêtes un
caractère sacré et par le fait même irréversible. C’est ainsi que les
invasions arabes se sont graduellement transformées en
possessions islamiques définitives, et en autant de tremplins
pour de nouvelles conquêtes.
C’est
dans ce contexte qu’il faut interpréter la réaction des musulmans aux
croisades, à la reconquête de
l’Espagne et des Balkans par les chrétiens, et à la création de
l’État d’Israël. Si les islamistes donnent le titre de « croisés » à
tous les occidentaux qui font affaire avec les
pays musulmans, c’est parce que les croisades et la reconquête
de l’Espagne et des Balkans ont ébranlé leurs certitudes quant au
caractère sacré et irréversible des conquêtes islamiques. Les
islamistes prétendent que les nouveaux « croisés » cherchent à
corrompre et à conquérir la dar al islam (la maison de l’islam)
de différentes façons, entre autres
par leurs produits et par leur culture. La simple présence de
non-musulmans dans un pays islamique est perçue comme une profanation
punissable de mort, de là s’expliquent les nombreux
attentats ciblant les touristes en Égypte, au Yémen et au Maroc,
sans oublier ceux dont ont été victimes les militaires occidentaux
stationnés dans la péninsule arabique.
Pour
les mêmes raisons il ne faut pas se surprendre de la réaction unanime
et violente des pays musulmans contre
« l’entité sioniste ». Si l’existence d’Israël leur est
inconcevable, c’est parce qu’elle constitue un défi à la doctrine de
conquête telle que formulée dans les textes sacrés de
l’islam.
L’islam en tant qu’idéologie politique
La
fragilité doctrinale et la vacuité spirituelle de l’islam sont la
conséquence logique des choix idéologiques
des califes abbassides; en effet il leur a été impossible de
maintenir un pied dans la spiritualité et un autre dans la tyrannie,
l’un des deux a dû céder et ce fut la spiritualité. Voilà
pourquoi l’islam se compose d’une « majeure » d’idéologie
politique et d’une « mineure » de contenu religieux. Cela explique
également pourquoi dans le coran, les sourates
violentes dites « médinoises » abrogent les sourates dites
« mecquoises », sensiblement plus tolérantes. Les sourates dites
mecquoises ont plagié abondamment le patrimoine
religieux des peuples du Moyen-Orient, tandis que les sourates
dites médinoises ont été composées sous les califes abbassides pour
servir d’assise idéologique à l’empire.
La violence en tant que moyen au service de l’idéologie
D’aucuns
s’interrogent sur la réaction des musulmans face aux attentats
terroristes de New York, de Londres et
de Madrid. La joie des uns, le silence des autres, la
réprobation plus que mesurée ou nuancée de leurs représentants,
contrastent étrangement avec les émeutes et les manifestations violentes
qu'ils ont menées lors de l’affaire des caricatures de Mahomet.
D’où vient que de simples dessins provoquent autant de rage, alors que
la mort tragique de milliers d’êtres humains aux
mains de leurs coreligionnaires les interpelle si peu ?
Pour répondre à cette question il est important de comprendre la place qu’occupe la violence comme outil au
service de l’islam. Les attentats terroristes sont placés sur le même pied que les razzias (en arabe ghazwas) de Mahomet. Les musulmans parlent de la
« ghazwa bénie de New-York » ou de celles également
bénies de Londres, de Madrid, de Bali, de Bombay (bénies par qui sinon
d’Allah ?)… Ce qui signifie que l’islam est
en mode offensif, qu’il repart à la conquête, et qu’il place
l’occident sur la défensive. Cette montée en puissance de l’islam ne
peut être désapprouvée et encore moins combattue par les
musulmans ordinaires quelles que soient leur modération et leur
désir de vivre en paix, car ce serait trahir la foi islamique et renier
ses fondements. Les manifestations violentes contre les
caricatures de Mahomet obéissent également à la même logique :
cette fois il s’agit pour les musulmans de répondre à ce qu’ils
considèrent comme des « attaques » à leur
religion. Ces « attaques » leur fournissent le prétexte
d’utiliser la violence pour intimider l’ennemi et le placer sur la
défensive. Comme on peut le constater il n’y a pas de
contradiction dans l’attitude des musulmans.
Mais la violence ne sert pas uniquement à terroriser l’ennemi extérieur, elle est mise à profit pour maintenir
la « cohésion » à l’intérieur de la dar al islam ;
c’est qu’en temps de guerre il importe de serrer les rangs, d’où la
nécessité d’écraser tous ceux qui se sont
laissés séduire par la culture et le mode de vie de l’ennemi et
qui ne sont pas disposés à y renoncer. Dans les faits il s’agit moins de
cohésion que d’homogénéité parmi les
« croyants ». Les pressions de toutes sortes, l’intimidation et
le spectacle de la violence s’accompagnent invariablement d’une remontée
spectaculaire de l’observance religieuse,
laquelle se mesure par l’augmentation quasi exponentielle du
nombre de femmes portant le voile intégral. C’est ainsi que la
réislamisation des sociétés musulmanes est décrite comme une
reconquête de l’islam authentique, prérequis incontournable à la
guerre contre les infidèles.
Le coran et les hadiths en tant que fondements de l’idéologie
C’est
au neuvième siècle, deux cents ans après Mahomet que le coran et les
hadiths ont été définitivement
établis comme base religieuse à la doctrine de la conquête et à
la tyrannie islamique. Placées sous le patronage d’Allah et consacrées
en tant qu’expression de sa volonté, la guerre et la
tyrannie ont été déclarées consubstantielles à l’islam. La
sanctification, voire la sacralisation de la violence avait pour but
ultime d’assurer la soumission inconditionnelle des peuples
conquis, et la suprématie écrasante et permanente des
conquérants. Ces derniers ont été exonérés de tout reproche et
affranchis de toutes les barrières morales qui pouvaient mettre un frein
à
leur soif de conquête. Coran et hadiths se sont avérés
extrêmement utiles comme sources de motivation. Du moment qu’il
combattait pour la cause d’Allah le musulman était assuré de gagner et
ce quelque soit l’issue du combat : victorieux il se retrouvait
riche d’un butin fabuleux qui comprenait de nombreuses captives, mort au
combat il accédait sans formalité au paradis où
l’attendaient les houris promises aux « martyrs ».
Il
est remarquable que les versets qui jadis ont servi à inciter les
arabes au combat, continuent quatorze
siècles plus tard à alimenter la machine à tuer de l’islam. Ces
versets les « chefs spirituels » des musulmans en font peu de cas pour
eux-mêmes et leurs proches, le
« martyr » n’est qu’un outil parmi d’autres pour faire avancer
la cause d’Allah et de ses représentants sur terre.
Une religion essentiellement conflictuelle
La guerre contre les non-musulmans n’aura jamais de fin : « combattez-les jusqu’à ce que
cesse toute dissension et que l’islam soit l’unique religion » (coran
8 :39). Cette injonction coranique signifie que la coexistence
pacifique
avec les non-musulmans n’est pas une option, elle enjoint aux
croyants de poursuivre la lutte jusqu’à l’atteinte de l’objectif ultime
de domination. Les hadiths vont dans le même sens que le
coran :
« Le messager d’Allah (Mahomet) a dit : J’ai reçu l’ordre de combattre les peuples jusqu’à ce qu’ils déclarent qu’il n’y a de dieu qu’Allah et que je suis son prophète. » (Bokhari vol 4 page 196)
D'autres auteurs ont rapporté les mêmes propos:
«Le prophète Mahomet a dit:" J'ai reçu l'ordre de combattre les gens jusqu'à ce qu'ils témoignent qu'il n'y a de dieu qu'Allah et que je suis son messager et qu'ils instituent la prosternation et l'impôt religieux. S'ils le font, leur sang et leurs propriétés seront protégés.» (Muslim Chapitre 9).
Les premiers musulmans, si l’on en croit l’histoire officielle de l’islam, semblent l’avoir bien
compris :
« Ô les hommes, savez-vous à quoi vous vous engagez en faisant allégeance à cet homme (Mahomet)? Oui, en lui jurant fidélité nous nous engageons à déclarer la guerre à toute l’humanité » (Ishaq : 204)
Ce passage fait écho à la promesse coranique :
« Allah a promis à ceux parmi vous qui ont cru et qui ont accompli de bonnes œuvres (la guerre sainte) qu’il en fera les maîtres de la terre. Il établira d’autorité leur religion, celle qu’il leur a lui-même choisie » (coran : 25 :55)
On ne peut être plus clair.
La terreur un instrument au service d’Allah
La
devise, fort laconique, des frères musulmans est tirée d’un verset du
coran : « Et préparez
! » Ce qui pour un esprit occidental est difficile à saisir.
Mais pour un musulman qui connaît le verset en question le message est
limpide :
« Et préparez leur (les non-musulmans) tout ce que vous pouvez réunir en armes et en cavaleries afin d’instiller la terreur dans le cœur des ennemis d’Allah qui sont aussi vos ennemis » (coran 8 :60).
Les
politiciens et les médias occidentaux se sont évertués à convaincre
leur public du caractère
« laïc » et « pacifique » de l’organisation des frères
musulmans. Après tout, dans plusieurs états européens il existe des
partis qui s’affichent comme démocrates
chrétiens mais qui sont laïcs jusqu’au bout des ongles, eh bien
les frères musulmans c’est du pareil au même sauf qu’ils s’affichent
musulmans; il n’y a donc pas lieu de s’inquiéter !
Tel qu’on peut le lire dans le verset précédent, la terreur tient une place prépondérante dans la tactique de
guerre islamique, cependant elle ne s’exerce pas uniquement sur le champ de bataille, les civils sont explicitement ciblés.
Le terrorisme islamique n’a pas été conçu par
al Qaeda, par le Hezbollah ou le Hamas, ces derniers l’on
simplement adapté à notre époque. New York, Londres, Madrid n’ont pas
été ses premières victimes, les précédents se comptent par
milliers, les « saintes écritures » musulmanes nous le
confirment :
« Combien de villes avons-nous saccagées par une attaque nocturne? Notre châtiment les a pris par surprise alors qu’ils (les non-musulmans) dormaient. Notre terreur s’est abattue sur eux et ils ont été submergés » (Coran : 7 : 3).
Allah a érigé Mahomet comme exemple à tous les fidèles, c’est clairement dit dans le coran; or Allah a donné des
directives claires à Mahomet :
« Il ne convient pas à un prophète de faire des prisonniers, à moins qu’il ait accompli ungrand carnage dans le pays (des mécréants) : (coran : 8 : 67) et Mahomet a fait écho à l’injonction d’Allah : « Le messager d’Allah a dit : J’ai obtenu la victoire par la terreur. »(Bokhari : Vol 4 page 220).
À ses hommes pris soudainement de scrupules, il a tenu des propos sans ambigüité :
«Le prophète en passant s’est fait demander s’il était permis d’attaquer les infidèles durant la nuit et exposer leurs femmes et leurs enfants au danger. Le prophète a alors répondu : leurs femmes et leurs enfants sont des leurs! (les attaques ciblent les infidèles sans distinction de sexe ou d’âge) » (Bokhari : vol 4 page 256).
Confrontés aux faits les apologistes de l’islam prétendent que Mahomet s’est contenté de suivre les règles et
les coutumes de son temps, rien n’est moins sûr :
« Les quoreishites se plaignaient : Mahomet et ses compagnons ont violé les mois sacrés (où toutes les tribus d’un commun accord suspendaient les hostilités) ils ont répandu le sang, ont pillé les biens et capturé nos gens… Mahomet prétend qu’il obéit à Allah, mais il est le premier à violer les mois sacrés et à tuer les nôtres. » (Tabari VII : 20, Ishaq : 288).
Avant l'islam une loi non écrite imposait aux arabes d'être généreux envers le voisin et
hospitaliers envers l'étranger. Mais Allah voyait les choses différemment :
«Combattez à mort les incroyants parmi vous(parents, voisins, étrangers de passage) et faites en sorte qu'ils subissent votre cruauté.» (Coran: 9: 123)
La
terreur est un outil de guerre puissant, elle vise à briser la volonté
de résistance des populations et à
saper le moral des militaires qui les défendent, c’est par la
terreur, plus que par les victoires acquises au champ de bataille que
l’islam s’est répandu :
« Celui qui a déclaré sa foi en Allah et son Messager (celui qui s’est converti à l’islam) a eu la vie sauve et a préservé ses biens. Quand à ceux qui se sont obstinés dans l’incroyance, ils connaîtront la mort au combat. » (Tabari IX : 69).
La théologie de la violence ou le jihad voie royale du salut
Les
soldats d’Allah aux premiers temps de l’islam comme les terroristes
d’aujourd’hui ont été spirituellement
programmés. La foi en Allah, la prière, le jeûne, le pèlerinage
etc. sont, en tant que moyens pour atteindre le salut, de loin
inférieurs au jihad (la guerre sainte). Le jihad est l’acte de
piété le plus agréable à Allah, la mort au combat est la seule
qui garantit au croyant l’accès au paradis et à ses délices. Allah admet
que si le choix était laissé aux hommes ils
choisiraient la paix à tout coup, cependant elle n’est pas dans
leur intérêt :
« Le combat à mort vous est prescrit alors que vous l’abhorrez. Mais il est possible que vous détestiez ce qui est bon pour vous et aimiez ce qui est mauvais. Allah sait (ce qui est bon pour vous) vous ne le savez pas. » (coran : 2 :216).
Pour ceux qui ont de la difficulté à l’accepter, Allah explique pourquoi le jihad est supérieur :
« Ne sont pas égaux les croyants qui ne bougent pas de chez eux, qui ne risquent pas leur vie, et ceux qui luttent très fort, pratiquent le jihad dans la cause d’Allah en risquant leurs biens et leur vie. Allah accorde un rang plus élevé à ceux qui font le jihad. Bien qu’Allah ait promis une récompense pour tous les croyants, il accorde sa préférence à ceux qui se battent à mort plutôt qu’a ceux qui restent à la maison. Il a distingué ses combattants en leur accordant une immense récompense » (coran : 4 : 95).
Comme les croyants ne montrent pas assez d'enthousiasme Allah s'impatiente:
«Ô Prophète, incite les croyants au combat! Vingt volontaires parmi vous vaincront deux cents, cent d'entre les croyants massacreront mille infidèles car ce sont des gens dénués d'entendement.» (Coran : 9:5).
Et pour dissiper tout doute Allah dresse un contrat avec ceux qui s’engagent résolument dans la guerre
sainte, ses termes sont simples et clairs :
« Allah a acheté aux croyants leur vie et leurs biens. Ils obtiendront en retour le paradis. Ils se battent à mort pour la cause d’Allah, ils massacrent et sont massacrés, ils tuent et sont tués. » (coran : 9 :111).
Ce message a été martelé durant quatorze siècles, les variations sur le même thème abondent :
« Un homme vint trouver le messager d’Allah et lui dit : instruis-moi d’une bonne action équivalente au jihad en terme de récompense. Mahomet lui répliqua : je n’en trouve aucune à te proposer » (Bokhari : vol 4 page 44).
De
leur côté les non-croyants et les sceptiques ne manquaient pas de bons
arguments pour dissuader les croyants
d’aller au combat : les douceurs du bon voisinage et de la paix
ne valaient-elles pas mieux que les horreurs de la guerre ? Mahomet ne
tarda pas à riposter :
« Ô musulmans, si vous prêtez l’oreille aux incroyants, vous tournerez le dos à l’ennemi et vous vous retrouverez perdants. Demandez la victoire à Allah, ne battez pas en retraite et ne vous détournez pas de sa religion. Nous allons terroriser ceux qui ne croient pas, de cette façon je vous aiderai à vous en détacher » (Ishaq : 395)
Pour bien ancrer le jihad dans la tête de ses adeptes, Mahomet a eu recours à des arguments, qui pour être
farfelus n’en étaient pas moins convaincants :
« J’ai entendu le messager d’Allah dire : l’exemple que donne un combattant dans la voie d’Allah, est équivalent à celui d’une personne qui jeûne et se prosterne sans jamais arrêter (sans manger, sans dormir, sans satisfaire aux besoins naturels etc.). Allah a promis qu’il admettra au paradis celui qui pratique le jihad dans sa cause, s’il meurt au combat, mais s’il demeure en vie, il le retournera chez lui chargé de récompenses et de butin de guerre » (Bokhari : vol 4 page 46).
Ce mot de Mahomet a traversé les siècles, il continue de donner froid dans le dos :
«Le messager d’Allah a dit : sachez que le paradis est à l’ombre des épées! »(Bokhari : vol 4 page 73)
Et pour finir cette note de bas de page lue dans un coran arabe, elle traite du jihad :
« Le jihad c’est la guerre sainte dans la voie d’Allah, à laquelle est consacrée toute la puissance disponible en termes de combattants et d’armement. Il lui est accordé une importance primordiale dans l’islam dont il constitue un des piliers. Par le jihad l’islam est établi, la parole d’Allah est élevée au-dessus de tout et l’islam est propagé. L’abandon du jihad mène à la destruction de l’islam, au ravalement des musulmans à un rang inférieur, à la perte de leur honneur, au vol de leur terre, leur pouvoir et leur autorité s’évanouissent.Le jihad est une tâche obligatoire pour chaque musulman. Celui qui tente de se défiler de cette obligation ou qui ne la remplit pas, meurt en hypocrite » (note de bas de page coran : 2 : 190)
Conclusion
La
violence islamique se distingue nettement des autres violences
religieuses par le fait qu’elle ne peut être
dissociée de la divinité qui l’ordonne, qui la sacralise et qui
en fait la voie la plus sûre du salut. Le jihad est indissociable de la
foi en Allah, la terreur est son instrument de conquête
privilégié. Le musulman qui s’engage dans le jihad doit tout
faire pour instiller la terreur dans le cœur du non-musulman, c’est par
la terreur que l’islam conquiert et se répand.
Les
musulmans d’aujourd’hui sont les descendants de ceux qui jadis ont cédé
à la terreur islamique, ils ont
embrassé la religion des envahisseurs pour sauver leur vie et
épargner à leurs proches l’horreur de l’esclavage. Quelques générations
plus tard les vaincus se sont mués en clones de leurs
vainqueurs, et ils ont à leur tour asservi d’autres peuples de
la même façon que leurs pères ont été asservis. L’arbre de la terreur et
de la tyrannie a été planté il y a quatorze siècles,
depuis, l’humanité n’a cessé de récolter ses fruits empoisonnés.
Les musulmans sont prisonniers du coran et de la violence dont il est
rempli ; ils ne peuvent embrasser sincèrement la paix,
la tolérance et le bon voisinage sans renier, en tout ou en
partie, leur croyance ; s’ils lui restent fidèles, deux choix s’offrent à
eux : se soumettre en silence aux
extrémistes ou se joindre résolument à eux.
Source: Poste de
Veille
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