REVUE DE PRESSE DU "PARTI DE LA FRANCE"
Vendredi 19/10/2012
Jean-Pierre Pagès-Schweitzer, Convoqué lundi dernier à 10
heures par la Gestapo de la rue du Croissant, à la demande du
Vice-Procureur de la section P20 du Parquet de Paris (Mme Nathalie
Savi), suite à une énième plainte de mon bon voisin Mohamed BOULEDROUA,
dit "Nacer Bouledroua", dit "Nacer Bleck", dit "Bahon" (voir ces sites
internet, contenant des propos diffamatoires me concernant:
j'ai nommé l'Unité Médico-Judiciaire" (UMJ) de l'Hôtel-Dieu, dont le Chef de service est le Prof. Jean-Louis Pourriat, Ier adjoint au Maire socialiste du IVème ardt de Paris, qui avait fourni à M.Bouledroua un faux certificat, faisant état d'une fracture de la main droite de ce dernier, pour laquelle le Dr Karim Younsi, médecin étranger, non-inscrit au Tableau du Conseil de l'Ordre, lui avait octroyé 30 jours d'ITT...
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j'ai nommé l'Unité Médico-Judiciaire" (UMJ) de l'Hôtel-Dieu, dont le Chef de service est le Prof. Jean-Louis Pourriat, Ier adjoint au Maire socialiste du IVème ardt de Paris, qui avait fourni à M.Bouledroua un faux certificat, faisant état d'une fracture de la main droite de ce dernier, pour laquelle le Dr Karim Younsi, médecin étranger, non-inscrit au Tableau du Conseil de l'Ordre, lui avait octroyé 30 jours d'ITT...
Renvoyé devant la 28ème Chambre du TGI de Paris, j'ai été relaxé, et par la suite, la Cour d'Appel a confirmé cette relaxe.
Je vais
donc, assigner, ce mois-ci, le dénommé Bouledroua Mohamed, devant le
Tribunal Correctionnel pour "Dénonciation calomnieuse". (rappelons qu'en
1996, il avait été condamné à 10 mois de prison, par la 12e Chambre,
pour avoir résisté à une interpellation et envoyé 3 policiers en
uniforme à l'Hôpital...).
Arrivé
aux Urgences Médico-Judiciaires, j'ai été reçu par deux Psyflics, qui
après cinq minutes d'entretien m'ont expédié, menotté, à l'I3P
(Infirmerie Psychiatrique de la Préfecture de Police, 3, rue Cabanis
-anciennement Infirmerie spéciale près le dépôt de la PP-surnommée le
"Bunker" de la PP), où j'ai passé deux jours et deux nuits dans une
cellule d'isolement (sans pouvoir ni lire, ni écrire, ni écouter la
radio, ni regarder la TV) -ma seule distraction consistait à regarder le
ciel et les nuages grâce à une immense fenêtre qui occupait la plus
grande partie de l'un des murs, et me rappelait étrangement celle du
Berghof.
Nourriture
infecte, personnel majoritairement composé d'antillais, passant le plus
clair de leur temps à ricaner et à palabrer en créole; méprisants et
très agressifs vis à vis des "personnes représentant, comme moi, "un danger imminent pour la sureté des personnes" (art L3213-2 du Code de la Santé).
Il existe
une sonnette, comme à l'hôpital, permettant d'appeler les
"surveillants", en particulier pour aller aux toilettes, allumant une
lampe rouge située au-dessus de la porte de la cellule -mais afin de ne
pas être trop souvent dérangés, les ampoules ont été enlevées... si bien
que l'on est obligé de frapper sur la porte.
Il font
généralement la sourde oreille, et plusieurs "internés", pendant mon
séjour, ont dû déféquer dans leur cellule, obligeant l'homme d'entretien
(le seul français de souche) à la nettoyer.
Mon
voisin de cellule, un jeune d'une vingtaine d'années, avec qui j'avais
été enfermé pendant plusieurs heures à l'Hôtel-Dieu, a craqué : il a
commencé à donner de grands coups de pied dans la porte et des coups de
poings dans les vitres de la fenêtre. Ils l'ont attaché et lui ont
injecté des neuroleptiques. Il a dormi toutes la journée et vers 16
heures a été menotté et convoyé vers une destination inconnue (Pichipoï
?).
J'ai dû moi-même prendre, de force, des neuroleptiques : du Tercian 40, une phénothiazine, utilisée généralement dans le traitement de la schizophrénie.
Cette
molécule est déconseillée pour les personnes âgées (j'ai 74 ans) et pour
les adénomes de la prostate (et ils savaient pertinemment que je
présentais cette pathologie...).
Officiellement les personnes "placées d'office"(ou détenues dans ce lieu de rétention, en vue d'une éventuelle hospitalisation), sont là pour être "observées.
En
réalité, le but est tout autre : le régime extrêmement strict (et le
personnel spécialement sélectionné, selon les critères utilisés jadis
pour le recrutement des "porte-clefs" arabes du bagne de Cayenne, a été
conçu pour provoquer le mécontentement, l'exaspération, voire le
désespoir des détenus, et à les pousser au "passage à l'acte", à
déclencher une "bouffée délirante" ou une "crise clastique", permettant
au Psychiatre-Certificateur d'étoffer son Certificat de Placement
d'office.
Nous
sommes donc tout à fait dans le cadre des techniques utilisées jadis
dans les cliniques psychiatriques de l'Union soviétique, où les
opposants politiques arrivaient sains d'esprits et devenaient
progressivement psychotiques, grâce en particulier aux injections
forcées de substances neuroleptiques (tercian, haldol, largactil
etc...).
J'ai été "vu" par quatre Psyflics, dont deux Psychiatres-Certificateurs (celui qui signe le Certificat, conseillant au Préfet de Police un "Placement d'office").
Le
premier "certificateur" n'a pas eu le courage de signer et m'a fait
demeurer une nuit de plus, afin de laisser le soin à son collègue (dont
j'ignore malheureusement le nom), de prendre cette responsabilité.
Il s'est
exécuté, et j'ai été conduit, attaché, en ambulance, à Charenton
(aujourd'hui Hôpital Esquirol, et anciennement Hospice de Charenton,
puis Etablissement National de St-Maurice, qui fut dirigé pendant de
nombreuses années par mon vieil ami Henri Baruk).
Dans son bureau se trouvait, et se trouve peut-être encore, un grand tableau représentant les anciens pavillons de l'Hospice.
Le choix
de l'asile où l'on enferme les fous dangereux comme moi, dépend du
domicile : Esquirol accueille ceux du centre de Paris (1er, 2e, 3e et 4e
ardt).
J'avais
été précédé dans ce lieu par un certain Donatien-Alphonse-François de
Sade, et si ma mémoire est bonne, l'Unité "Rosa Parks" où j'ai été
conduit, se trouve sur l'emplacement exact, où fut interné, pendant 11
ans, de 1803 à 1814, date de sa mort, le Divin Marquis. (âgé, comme moi,
de 74 ans). Il y écrivit "L'histoire secrète d'Isabelle de Bavière".
Il est enterré au cimetière de la Maison de Charenton.
Mon
séjour y a été plus court, car grâce à Dieu, à "Esquirol" on n'est plus
entre les mains des psyflics, mais entre celles de véritables médecins
(n'ayant pas oublié le serment d'Hippocrate); et le Médecin-chef du Pôle
"Paris-centre", le Dr Frédéric Khidichian, après un entretien de quinze
minutes, a signé ma sortie.
Qu'il en
soit remercié (ainsi que tout le personnel de cette Unité, qui fait
preuve d'un grand dévouement et d'un grand respect, vis-à-vis des
patients).
J'étais
donc de retour chez moi, hier, en fin d'après-midi...ce qui est dommage
pour le Parquet de Paris et la Gestapo de la rue du Croissant, "à la
botte" du Gouvernement islamo-socialiste...et aussi pour mon bon voisin.
Il faudra qu'ils trouvent un autre stratagème, pour me neutraliser.
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