lundi 22 octobre 2012

LE SITE NEO-NAZI "KONISBERG" FAIT L'APOLOGIE DE CELUI QUI ASPIRAIT A DEVENIR "LE FUHRER DE LA FRANCE"

Le Grand Jacques Doriot

Publié le 20/10/2012
 par konigsberg


http://cs5130.userapi.com/v5130525/1079/ayX3E36qpG4.jpg

Jacques Doriot, lui s'était engagé dans la Waffen SS sur le front de l'Est



Jacques Doriot

Formé dans les écoles du Komintern à Moscou, député communiste à 25 ans, maire de Saint-Denis à 32, Jacques Doriot (1898-1945) fut au sein du PCF le grand rival du stalinien Maurice Thorez.


.
.
Pour avoir refusé de se plier aux exigences de Staline et prôné trop tôt un rapprochement avec les socialistes, il est exclu du Parti en 1934.


[croces.gif]

Deux ans plus tard, le 28 juin 1936, il fonde le Parti populaire français (PPF), qui n’est pas encore un parti fasciste au sens strict du terme, mais qui le deviendra pendant l'Occupation.




http://www.histoire-image.org/photo/zoom/win2_rochelle_001f.jpg

Le Grand Jacques à la Rochelle (qui n'était pas à l'époque une infecte tannière à socialauds)


Il fait paraître en octobre 1940 un nouveau quotidien, Le Cri du Peuple.
Confie à Albert Beugras, dès la fin 1941, la charge de constituer un service de renseignements pour la protection des membres du Parti.
Rallié prudemment à la Collaboration tant qu’a subsisté l’hypothèque du pacte germano-soviétique, Doriot ne brûlera vraiment ses vaisseaux qu’en juin 1941, lorsque les divisions allemandes se lanceront à l'assaut de l'URSS.
Il réclame alors la création d'une Légion des volontaires français contre le bolchevisme (LVF) et, de tous les dirigeants des grands partis collaborationnistes, il sera le seul à combattre sur le front de l'Est, à plusieurs reprises, de novembre à décembre 1941, et d'avril 1943 à février 1944.
.

http://www.parisenimages.fr/Export450/3000/2086-12.jpg




Le Grand Jacques

http://www.parisenimages.fr/Export450/3000/2116-2.jpg
Le Grand Jacques triomphant sur les Champs Elysées
.

Le Cri du peuple est un quotidien créé par Jacques Doriot et l'organe du Parti populaire français (PPF),  en octobre 1940.
Il reprend le titre de la gazette Le Cri du peuple créée en 1871 par Jules Vallès. Le but de la création du journal est de récupérer le l'ectorat de L’Humanité et de l'orienter contre le soviétisme qui ensanglantait la Russie depuis des décennies.
Son tirage est de 58 000 exemplaires en janvier 1943.
Il est interdit de parution par les gaullo-communistes en septembre 1944.
.

https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhNsvLWyK2Y8MvN2891MaJ8TabBjPlrPkCS2WWZYBpn2em5k-nTc3zTeq3phyEAZezD3CAaQj-_EBCwIdrtwBPMvx6ySpuDuUviUJhQ7C7TQfGsCbWgin0WfCJCrf00m77tFeFZhvDzeD8/s1600/CRI+DU+PEUPLE+manchette.jpg


Alors que les Allemands se méfient de lui, il affiche désormais sa volonté de faire du PPF « un parti fasciste et totalitaire » (novembre 1942) et finit par trouver auprès des SS le soutien que lui a refusé Otto Abetz sur instruction de Hitler.

Il se replie en Allemagne en été 1944. Il y trouvera la mort, le 22 février 1945, dans sa voiture mitraillée sans doute au hasard par des avions alliés.
Ainsi disparaissait l’une des figures les plus énigmatiques de l’histoire politique française du XXe siècle, dont Pierre Pucheu, qui ne l’aimait guère, a pu écrire :

« À vrai dire, je n’ai pas connu dans notre génération d’homme ayant reçu à tel point du ciel des qualités d’homme d’État. »



http://www.parisenimages.fr/Export450/1000/210-12.jpg
.

J'ai trois raisons de poursuivre la politique de collaboration : comme Français, j'évite le pire à mon pays ; comme Européen, j'ai à unifier le continent ; comme révolutionnaire, je pousse la France dans la voie de la Révolution nationale et sociale, la seule qui puisse lui redonner son unité.
Jacques Doriot Mai 1941
.



Le Grand Jacques à la Mutualité


Entretien avec Jean-Claude Valla, auteur du Qui suis-je ? Doriot (Éditions Pardès), publié par le quotidien Présent (5, rue d'Amboise, 75002 Paris) n°6546 du mercredi 12 mars 2008.
Dans son Jacques Doriot publié aux éditions Pardès dans la collection "Qui suis-je ?", l'historien Jean-Claude Valla retrace la vie d'une des figures les plus énigmatiques de l'histoire politique française du XXe siècle.
On ne saurait épuiser le champ des diverses personnalités qui ont été fascinées par Doriot. Jean-Claude Valla sélectionne quelques citations parmi les plus fameuses.





"Une légion de volontaires a été formée. Jacques Doriot s'y est inscrit, donnant un rare exemple d'accord entre les idées et les actes. Ce soldat qui part pour le front de l'Est est aussi un homme d'État", écrivait Alfred Fabre-Luce.

Le sujet est exigeant. Valla insiste sur la période communiste de celui que ses admirateurs appelaient "le grand Jacques" et l'explique. Il en dresse un portrait rigoureux, qui instruit et force à réfléchir.
Censeurs et procureurs de salon seraient bien inspirés de lire cet ouvrage profond et éclairant.





  • En 1924, Jacques Doriot a été en pointe dans le combat anti-colonialiste, mais il se voit attribuer - à tort, dites-vous - la paternité d'un télégramme de soutien à l'adresse du chef rebelle marocain Abd el-Krim. En 1936, le colonel de La Rocque l'accusera d'être responsable de la mort de soldats français. Quel fût le rôle exact de Doriot pendant la guerre du Rif ?
Doriot n'a pas désavoué ce télégramme du 11 septembre 1924, dont il était, en sa qualité de secrétaire général des Jeunesse communistes, l'un des trois cosignataires avec Marcel Cachin et Pierre Sémard. Tout ce que l'on peut dire, c'est qu'il n'en était pas l'auteur.
Contrairement à une légende que les communistes eux-mêmes ont propagée, il ne s'est jamais rendu clandestinement au Maroc et n'a jamais rencontré Abd el-Krim.
Par contre, il a effectué un voyage en Algérie avec une petite délégation, partie de Marseille le 29 août 1925, sous le contrôle étroit de la police.
On ne peut donc pas accuser Doriot d'être responsable de la mort de soldats français.
Le Maréchal Pétain, directement concerné par cette affaire, puisqu'il était venu prêter main-forte à Lyautey en août 1925, n'a jamais fait sienne cette accusation.





  • À quel moment le PPF devint-il un parti fasciste? Était-il un parti fasciste avant 1939 ?
C'est en novembre 1942 que Doriot exprimera pour la première fois sa volonté de faire du PPF un parti fasciste et totalitaire, soit six ans après sa création (en 1936).
Pour la période antérieure à la guerre, je parle dans mon livre de tentation fasciste.
Il ne fait aucun doute que Doriot a suivi avec intérêt l'expérience fasciste en Italie et, dans une moindre mesure, l'expérience nationale-socialiste en Allemagne.
Mais il n'a pas manqué de reprocher aux fascistes italiens leurs revendications territoriales, notamment sur la Savoie, inacceptables à ses yeux.
Il s'est montré plus sévère encore à l'égard de l'Allemagne, la menaçant d'un châtiment exemplaire si elle venait à entraîner l'Europe dans la guerre.
Contrairement à Déat, il s'est déclaré prêt à mourir pour Dantzig et il critiquera violemment Hitler à l'annonce de la signature du pacte germano-soviétique.




  • Pourquoi avait-il une si piètre opinion de Laval, que lui reprochait-il ?
Laval était l'archétype du politicien de la IIIe République. Maire d'Aubervilliers depuis 1923, il avait été plusieurs fois ministre et président du Conseil, député puis sénateur pendant plus de vingt ans.
Doriot, maire de Saint-Denis de 1931 à 1937, le connaissait bien, ils se tutoyaient, mais tout les séparait.
Sans être un homme du système, Doriot avait une vision du monde marquée par l'idéologie.
Laval était un pragmatique qui avait oublié depuis longtemps sa jeunesse d'extrême gauche.
Doriot s'était rallié sans réserve à la Collaboration, alors que Laval, en bon "maquignon" de la politique, ne songeait qu'à rouler les Allemands.
Doriot, à la différence de Laval, souhaitait sincèrement la victoire de l'Allemagne.






  • Après le débarquement anglo américain de 1944, Doriot croyait-il encore à la victoire des puissances de l'Axe ?
Ayant effectué un voyage à l'arrière du front de Normandie en juillet 1944, Doriot a été rapidement informé des moyens considérables mis en œuvre par les Alliés et, comme il avait passé plusieurs mois sur le front de l'Est, il était bien placé pour savoir que les troupes allemandes ne cessaient de reculer devant l'armée rouge. Mais il a cru ou voulu croire jusqu'au bout à un retournement possible de la situation militaire, grâce à des armes nouvelles aux effets dévastateurs, dont lui avaient parlé des dirigeants allemands. De toute façon, en juin 1944, il était trop tard pour se déjuger.
.

http://a3.idata.over-blog.com/400x256/3/91/44/25/Vichy/lvf-doriot.jpg



La Légion des volontaires français contre le bolchévisme (dite Légion des volontaires français ou LVF), connue sous le nom Infanterieregiment 638  par les Allemands, est créée le 8 juillet 1941, 15 jours après le déclenchement de l'opération Barbarossa (l'invasion de l'URSS par l'Allemagne).
.

.




Cette naissance est portée par une galaxie de partis politiques, notamment le RNP de Marcel Déat, le PPF de Jacques Doriot, et le MSR d'Eugène Deloncle.

Elle est dissoute en 1944 pour être principalement intégrée à la Division SS Charlemagne. La LVF utilisait comme étendard le drapeau tricolore français.


http://www.parisenimages.fr/Export450/1000/210-12.jpg



http://catalogue.gazette-drouot.com/images/perso/phare/LOT/3/3364/116.jpg
.

.

http://vertusetcombat.unblog.fr/files/2008/01/banniress.jpg
.
Le 22 février 1945, Doriot, un chauffeur allemand et une secrétaire du Comité prirent place dans la voiture du conseiller d'ambassade Struve, le véhicule personnel de Doriot étant en panne. A une quinzaine de kilomètres de Mengen, sur la commune de Menningen, la voiture fut mitraillée par un avion3. Doriot, blessé, tenta de quitter le véhicule, mais une rafale le frappât mortellement lors d'un second passage du chasseur. Prévenus par la secrétaire miraculeusement indemne, Déat et le fidèle lieutenant de Doriot, Marcel Marshall, arrivèrent sur les lieux et ne purent que constater le décès.


Une autre hypothèse émise laisse supposer que DORIOT a tout simplement été "liquidé", étant devenu gênant. Aujourd'hui, que sait on de ce qui entoure vraiment la mort de DORIOT, l'un des collaborateurs les plus extrémistes du régime de Vichy. Faut il y voir un lien avec le "suicide" de son ami le Gauleiter Josef Bürckel, le 28 septembre 1944 ? Pour qui DORIOT aurait il pu devenir gênant au point de le supprimer ?

.
.http://www.n-tv.de/img/77/773333/O_1000_680_680_Wikinger.jpg

.

.


J''ai plus de respect pour ces hommes qui se sont engagés à fond dans leurs croyances, Jusqu'à la mort !  que pour tout ce ramassis "résistants" de la dernière heure,  épurateurs assassins, auteurs de milliers de crimes abomùinables propégés par la pourriture républicaine revenue au pouvoir  dans les chiottes des de gaulle des thorez et autres salopards, des vrais petites lopettes gaullo-socialo-communistes.


.

1945 Ruinenstadt Köln / SA marschiert


https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiGxGVeacJSu7wrIiZ4TUk4W2VK_St1LOZe7Oh7gO9QcnC3Sn-GhF2cyERVxadWX8HiNBTXclYRBXIwuF9FAg9bPvVKR0wYmOROQFHgXzf9a2dHqrBFuQPr4hl6WF5L-Hyx8TekilNJyhNf/s1600/Bad+reichenhall+1.jpg


7 mai 1945, Bad Reichenhall : 12 soldats français de la 33 Waffen-Grenadier-Division der SS  Charlemagne" (französische Nr. 1) sont exécutés sans jugement par des éléments de la 4e compagnie du Ier bataillon du Régiment de Marche du Tchad de la 2e DB de cette ordure de Leclerc.

Serge Krotoff, 33 ans.Raymond Daffas, 37 ans.Paul Briffaut, 26 ans.Raymond Payras, 22 ans.Jean Robert, 30 ans et sept autres de leurs camarades non identifiés.

Lieu exact des éxécutions :
Lat 47.718364° , Long 12.850181°
.
.




.
JUSQU'A LA MORT CAMARADE !




http://image.noelshack.com/fichiers/2011/24/1308476054-degrelle-5de3e7036.jpg
.

.

.
http://occultthirdreich.files.wordpress.com/2011/08/blacksungalaxy-schwarzesonne-ss-himler-occulthistorythirdreich-petercrawford1.png

  (cliquer pour les vidéos)


.(konisberg.centerblog.net)
¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤===

Aucun commentaire: