BRITAIN IS GOING TO THE DOGS !
GB : "Les tribunaux de la charia sont aussi consensuels que les viols"
A
noter en particulier le commentaire de la Baronne Uddin, première femme
musulmane nommée à
la Chambre des Lords, qui prévient qu'une loi visant à protéger les
femmes musulmanes malmenées par la tribunaux de la charia, sera vue
comme «une autre attaque
contre les musulmans». Autrement dit, soutenir les droits des femmes
musulmanes est une atteinte aux droits de leurs hommes...
_________________
Les musulmanes de Grande-Bretagne
sont contraintes de « vivre dans la peur » en raison de la
multiplication des tribunaux de la charia non officiels et non réglementés appliquant
les normes islamiques », a dit la Baronne Caroline Cox devant la Chambre
des Lords.
Dans certains cas, les décisions des
« conseils » et tribunaux religieux officieux sont aussi
« consensuelles »
que les viols. Cette mise en garde intervient à l’occasion du tout
premier débat
parlementaire sur le sujet au Royaume-Uni. La Baronne Cox, paire
indépendante et championne du Tiers-Monde, a déposé l’année dernière à
la Chambre
des Lords un projet de loi d’initiative parlementaire visant à contenir
le
réseau des soi-disant « tribunaux » non officiels appliquant les
principes islamiques.
Une étude établit à environ 85 le nombre d'organismes de la charia en Grande-Bretagne, mais il n’existe aucune
estimation officielle. Ces organismes comprennent les tribunaux d'arbitrage
légalement reconnus établis principalement pour régler des différends
financiers selon les principes juridiques islamiques, et qui ont
élargi l’éventail des cas qu’ils règlent. Il y a aussi un réseau de « conseils »
informels de la charia, agissant souvent dans les mosquées, traitant de
divorces religieux et même de garde d'enfants selon les enseignements
islamiques.
Le
projet de loi, débattu pour la première fois hier, stipule que le fait pour ces
organismes de se représenter comme des tribunaux, et leurs présidents comme des
juges, constitue un acte criminel. Il limite également les activités des
tribunaux d'arbitrage et exige explicitement qu’ils reconnaissent les lois sur
l’égalité et les droits des femmes.
La Baronne Cox a relaté devant la
Chambre des Lords certains cas dont elle a eu connaissance, y compris celui d’une
femme qui avait été admise à l'hôpital par son mari violent qui l'avait quittée
pour une autre femme, tout en lui refusant un divorce pour qu’elle puisse se
remarier. Une autre femme a été forcée de se rendre en Jordanie pour demander à
un garçonnet de sept ans qu’elle n’avait jamais rencontré la permission de se
remarier, parce qu’elle n’avait aucun autre parent masculin.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire