APRES LE COMMUNISME, APRES LE NAZISME : VOICI L'ISLAM !
Du nazisme aryen du XXème siècle au nazisme islamique du XXIème siècle |
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L'épaisseur de la muraille importe moins que la volonté de la défendre. |
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Quelques fidèles de LibertyVox m'ont demandé si
je suis toujours en vie, pensant que seule la mort est capable de me réduire au
silence.
Je comprends leur inquiétude, sachant que selon la loi des
statisticiens, je suis déjà statistiquement mort. Je les rassure donc. Si j'ai
interrompu l'envoi d'articles à LibertyVox, c'est parce que je n'ai pas
grand-chose à ajouter à ce que je dénonce depuis des années : le péril que
représente pour notre civilisation le totalitarisme islamique, aggravé par
l'implantation déferlante de l'islam en Europe et graduellement sur le
continent américain. J'aurai donc l'air de me répéter et de me figer dans
une idée fixe. Me méfiant des certitudes non vérifiées, y compris des miennes,
j'ai donc préféré prendre du recul, laisser au déroulement des
évènements le temps de confirmer, ou d'infirmer, mes prises de
position jugées racistes, islamophobes et xénophobes par les éternels
délateurs politiquement corrects, issus du même tonneau que leurs
devanciers de "naguère" qui inondaient les Kommandanturs de
leurs dénonciations anonymes.
Mes prises de position et mon "mode de
pensée" m'ont aliéné l'amitié de trois ou quatre personnes que
j'aimais bien ; ça prouve simplement qu'il m'arrive de me tromper sur les
qualités que je prête aux gens que je prends naïvement pour des amis.
Ces gentilles personnes souffrent d'un fléau qui
ravage et inhibe toute velléité de résistance à l'islamisme, tant violent que
"modéré", qui gangrène la France : ce mal a pour nom "déni de
réalité" qui n'est en fin de compte qu'un négationnisme suicidaire. Mais
ils m'auront au moins incité à sortir de ma torpeur et de reprendre la plume.
Les personnes âgées ne doivent surtout pas cesser de faire travailler leurs
"méninges".
«Mort aux juifs ! Égorgeons les "Yahoud"»,
ce sont les cris, enregistrés, proférés répétitivement à quelque centaines de
mètres de notre élyséen président le 15 septembre par les pieux et
paisibles manifestants mahométans. Cet appel public au meurtre, en
plein cœur de Paris, à portée de voix du palais présidentiel, ne
révèle-il pas l'origine des innombrables agressions antisémites
présentées de façon "politiquement correcte" comme des actes
spontanés isolés ? De surcroît cette manifestation illégale, d'une spontanéité
bien orchestrée et coordonnée, est téléguidée par la même mouvance déjà
responsable du traitement empreint d'amour, de tolérance et de paix infligé à
Benghazi aux diplomates américains, pourtant connus comme favorables
à l'islam.
http://www.youtube.com/watch?v=gJZF-Vvv3wg
http://www.youtube.com/watch?v=gJZF-Vvv3wg
Je ne vois pas, pour ma part, en quoi le
"film", médiocre parait-il, réalisé par un Egyptien copte qui a
provoqué l'ire "spontanée" des foules musulmanes, puisse ternir
l'image de l'islam. Le comportement, les actes, les crimes, le racisme de ces
musulmans pur jus plaident déjà suffisamment contre cette religion que
l'incroyable imprévoyance, la lâcheté ou la cupidité de nos responsables
politiques, depuis Giscard jusqu'à Hollande en passant par Mitterrand, Chirac
ou Sarkozy ont laissé, sans le moindre souci de sélection, s'implanter
massivement et durablement en France. Or, le contribuable paie bien cher cette
"chance pour la France".
A cause de ces politiciens bas de gamme,
sans le moindre souci des conséquences des leur imbécillité, nous
constatons que, dans notre pays où la notion de nationalité se confondait
naguère avec celle de citoyenneté, nous voyons à présent la France divisée en
deux nations : d'une part la nation française forgée par une riche
histoire et unie par des valeurs communes, régie par la Constitution, le Code
civil et animée d'un esprit de tolérance et de liberté absolue de conscience
et, d'autre part, une nation islamique, la Oumma, régie par le Coran avec ce
que ce manifeste de la haine et du mépris de "l'infidèle" comporte
d'appels au Jihad. Voilà le résultat du rejet de l'Autre.
Mais attention, ce ne sont pas nous qui
"rejetons", c'est l'islam qui incite ses adeptes à s'écarter de nous,
à nous rejeter et conduit ainsi notre magnifique pays à se transformer en une
sorte de vaste Bosnie ou de Kosovo. Lorsque de la Mer du Nord à la
Méditerranée et des Pyrénées, de l'Alsace ou des Alpes à l'Atlantique, les
"jeunes" des enclaves de plus en plus nombreuses et de plus en plus
étendues perçoivent nos policiers comme une force d'occupation, les accueillent
à coups de carabine et entreprennent de les lyncher, lorsqu’appelés pour
colmater une fuite de gaz, les pompiers et plombiers doivent se déplacer sous
la protection des policiers, lorsqu'un Juif se fait tabasser "es
qualité" dans certains quartiers, on peut dire qu'une partie de la France
est déjà colonisée et échappe à la loi et à l'autorité de la République. Et
nos imposteurs officiels appellent ça "une chance pour la France".
Pour avoir dit quelque chose dans ce sens
lors d'une interview (http://www.libertyvox.com/files/LibertyVox_Andre_Dufour_ITW_par_SR_111223.mp3),
une auditrice au système nerveux fragile et dûment formatée par le politiquement
correct munichois, a failli s'étrangler d'indignation, en me reprochant de
tenir les même propos que les xénophobes et antisémites d'avant guerre. Et
"je suffoque" ajoute-t-elle à cause de mon soutien à Israël alors que
c'est la cause palestinienne qui se révèle la vache sacrée gravée dans son
cerveau bloqué. Encore une citoyenne qui souffre d'un déni héréditaire de
réalité, doublé d'une confusion mentale qui, naguère, avait inhibé chez
son grand père toute volonté d'échapper à la chambre à gaz à laquelle il
refusait de croire et, de surcroît, y a entraîné sa fille qui avait pourtant
une chance d'en réchapper.
Dois-je rappeler à cette dame qui me reproche
mon langage "xénophobe", que les immigrés de jadis auxquels elle
se réfère pour défendre l'immigration actuelle, ne brûlaient pas les voitures,
n'agressaient pas les instis, ne tiraient pas sur les policiers, ne molestaient
pas les médecins qui soignaient leur épouse, ne faisaient pas de la propagande
antisémites et leur éventuel antisémitisme ne se traduisait pas par un passage
à l'acte, et quand ils n'avaient pas de papiers, ils ne manifestaient pas par
crainte d'être expulsés ? A fortiori, ils ne bénéficiaient d'aucune aide
sociale, d'aucune assurance maladie gratuite. Les immigrés de jadis venaient
en France pour y travailler, s'informaient de nos valeurs, de notre
culture et s'efforçaient de s'y conformer, de sorte que dès la première
génération, leurs enfants se sentaient et devenaient Français. Un fort
pourcentage des Français que nos "indigènes de la
République" nomment avec mépris et un racisme impuni "les
Souchiens", sont issus de cette immigration ; il n'en subsiste que les
patronymes aux consonances ibériques, polonaises, flamandes, germaniques,
magyares, vietnamiennes, italiennes pour rappeler leur origine… Cette
intégration heureuse et harmonieuse des tous les immigrés ne butte à présent
que sur un seul écueil, et il est de taille : l'Islam.
Ignorant la séparation entre le temporel
et le spirituel, entre la foi religieuse et la politique, prétendant être la
dernière révélation divine et donc la plus parfaite des religions qui, même
tolérées ici ou là en terre d'islam, lui doivent allégeance, l'islam, à peine
admis en France, exige que les Français se plient aux mœurs, coutumes et
"valeurs" musulmanes. Ne nous étonnons donc pas si les
"jeunes" gavés de cette fruste "culture" agressent les
fonctionnaires, symboles d'une République dont ils contestent la souveraineté
et l'autorité.
Ne nous étonnons pas si les activistes de cette
population musulmane, dûment noyautée par des officines islamiques, se sentent
désormais assez puissants pour défier l'autorité de la République, cette
insolence s'appuyant sur leur nombre croissant et sur les pressions que
les Etats musulmans exercent sur notre pays, en n'excluant pas la corruption de
nombres de politiciens, de professionnels de l'agitprop souvent subventionnés
par notre Etat par le biais d'organisations "antiracistes" et des
professionnels de la communication.
En dépit de la désinformation officielle,
les Français finissent par en pendre conscience et le temps est venu de réagir
efficacement. Je ne sais pas quelle serait l'action la plus appropriée pour
étouffer cette rébellion qui s'inscrit dans la mouvance du jihad mondial et
qui, chez nous, tourne à la guérilla urbaine. Autrefois il était facile
de localiser l'ennemi. Une frontière nous en séparait. Aujourd'hui l'ennemi est
déjà implanté dans nos frontières. Or, ceux qui nous gouvernent traitent ce
problème comme une manifestation de délinquance, du ressort du droit pénal, de
la police et des juges. Tel fut déjà le cas en Algérie où, au début de
l'insurrection, notre gouvernement, de gauche je crois mais c'est fortuit,
parlait d'opérations de police avant d'en arriver à appeler la chose
par son nom jusque là tabou : la guerre, guerre d'Algérie concrétisée par l'intervention
de l'armée, contingent compris.
Or les troubles que la France subit ce
temps-ci ne sont qu'un avatar local d'un phénomène à l'échelle mondiale : la
guerre de l'islam, le jihad planétaire dont le signal le plus spectaculaire eut
lieu le 11 septembre 2001 avec l'attaque ayant entrainé la destruction des Twin
Towers de New York, entrainant la mort de plusieurs milliers d'employés. Mais
notre pays n'est qu'un front parmi les autres fronts de la planète.
Le jihad attaque là où il peut, chaque
puissance ayant son talon d'Achille. Le bobard du "film"
blasphématoire qui sert de prétexte à la guérilla actuelle est
d'inspiration purement nazie. Rappelons, à ceux que l'Histoire n'enseigne rien,
qu'en 1939, Hitler a prétexté d'une prétendue attaque polonaise contre un poste
frontière allemand pour se présenter comme agressé et pour lancer dans
les minutes qui suivirent ses forces blindées et son aviation à l'assaut de
la malheureuse Pologne. Rappelons surtout que c'est à la suite de plusieurs
années consécutives de concessions et de gestes successifs d'apaisement de
la part de la France et de la Grande Bretagne que Hitler s'est estimé assez
fort pour déclencher la Deuxième Guerre mondiale.
Tous les nazismes, temporels ou religieux,
recourent aux mêmes procédés : intimidation, chantage, agitprop, inversion des
culpabilités, subversion, corruption d'hommes clef, subventions aux défaitistes
et inhibition de la combattivité de l'ennemi.
Alors l'Histoire, pas si lointaine,
devrait mieux inspirer nos responsables aux commandes de l'Etat. Les mesures et
paroles d'apaisement accompagnées de gages de "bonne volonté" sont
non seulement d'une totales inefficacité face à tout ce qui, de près ou de
loin, pue le nazisme, mais au contraire le conforte et le pousse à faire monter
les enchères.
On a tort de ne plus enseigner à nos petits écoliers les Fables
de la Fontaine. Le loup et l'agneau est pourtant une excellente leçon de
realpolitik. "Si ce n'est toi, c'est donc ton frère" et sur ces
paroles qui mettent fin au semblant de négociation, le loup dévore l'agneau.
Rappelons nous aussi du conseil prodigué voici 2500 ans par le stratège Thucydide
"l'épaisseur de la muraille importe moins que la volonté de la
défendre".
Ceux à qui la nation française a délégué son pouvoir en
tireront-ils la leçon pour substituer à leur couarde velléité la ferme
"Volonté de défendre la République française, une et indivisible"
? (ndlr: j'en doute fort. JPPS)
© André Dufour
pour LibertyVox
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