LA PRESSE LA PLUS POURRIE D'EUROPE !
05/09/2012
LYON (NOVOpress)
—Depuis plus d’un mois, c’est le sujet à la mode pour les médias lyonnais. La situation et les expulsions des Roms dans la région font les premières pages de tous les quotidiens.
Ces derniers évoquent des mots effrayants de terreur, telle la traque des Roms ou encore le broyage de leur camp.
La plupart de ces articles dénoncent des expulsions inhumaines. Cependant, les médias ne s’attardent pas pour autant à comprendre ces expulsions.
Contrairement à ce que les médias et les associations voudraient faire croire, les expulsions ne sont pas le reflet d’une persécution des Roms, mais la conséquence d’une application du droit de propriété. En effet, la plupart des expulsions visent seulement à rendre l’usage du terrain occupé à son propriétaire et n’est même pas une procédure de traitement des situations d’individus, clandestins la plupart du temps. Ainsi les expulsions, comme le droit commun le prescrit, sont issues de plaintes de propriétaires.
Les occupants du terrain reçoivent alors un avis d’expulsion qui sera rendu exécutoire sous 15 jours. Cela permet alors aux occupants, notamment les Roms, de trouver sous 15 jours des solutions de relogement. A l’issue de ces 15 jours, si le terrain est encore occupé, les forces de police ou de gendarmerie mettent en application l’avis d’expulsion. Ils se rendent sur place et demandent aux occupants de partir.
C’est de cette manière que se sont déroulées les dernières expulsions de terrains en région lyonnaise (Sain- Priest, Perrache, 7ème et 9ème arrondissements…). Aucun incident n’a été à déplorer. Des logements de fortunes ou des reconduites à la frontière ont dans certains cas été prévus par la préfecture.
Pourquoi alors les médias et associations lyonnaises ont fait autant d’agitation autour de simples procédures d’expulsion non violentes et légales ? Sur les quinze derniers jours, on dénombre plus d’une quinzaine d’articles des journaux lyonnais sur les expulsions, tous accusant la façon de gérer les expulsions. Sans oublier les articles qui mettent en avant par des généralités le peuple Rom. C’est le cas notamment du Dauphiné, qui présente en une semaine une famille Rom qui s’est sédentarisée et qui a quitté sa communauté et souhaite ainsi vivre sans être importunée, mais aussi une jeune Rom intégrant la Sorbonne et souhaitant devenir juge. En prenant des cas isolés, l’information est déformée et place l‘exception en norme.
La politique de victimisation des Roms, lancée par les médias, fait le jeu des associations droit de l’hommistes et de la pensée unique en diffusant quotidiennement la désinformation. Ces bla-bla continuels semblent en réalité cacher le réel problème autour des Roms, qui perdure depuis maintenant plus de 20 ans, sans qu’aucune solution efficace n’ait été prise.
Crédit photo : DR
[cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine [http://fr.novopress.info/]
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—Depuis plus d’un mois, c’est le sujet à la mode pour les médias lyonnais. La situation et les expulsions des Roms dans la région font les premières pages de tous les quotidiens.
Ces derniers évoquent des mots effrayants de terreur, telle la traque des Roms ou encore le broyage de leur camp.
La plupart de ces articles dénoncent des expulsions inhumaines. Cependant, les médias ne s’attardent pas pour autant à comprendre ces expulsions.
Contrairement à ce que les médias et les associations voudraient faire croire, les expulsions ne sont pas le reflet d’une persécution des Roms, mais la conséquence d’une application du droit de propriété. En effet, la plupart des expulsions visent seulement à rendre l’usage du terrain occupé à son propriétaire et n’est même pas une procédure de traitement des situations d’individus, clandestins la plupart du temps. Ainsi les expulsions, comme le droit commun le prescrit, sont issues de plaintes de propriétaires.
Les occupants du terrain reçoivent alors un avis d’expulsion qui sera rendu exécutoire sous 15 jours. Cela permet alors aux occupants, notamment les Roms, de trouver sous 15 jours des solutions de relogement. A l’issue de ces 15 jours, si le terrain est encore occupé, les forces de police ou de gendarmerie mettent en application l’avis d’expulsion. Ils se rendent sur place et demandent aux occupants de partir.
C’est de cette manière que se sont déroulées les dernières expulsions de terrains en région lyonnaise (Sain- Priest, Perrache, 7ème et 9ème arrondissements…). Aucun incident n’a été à déplorer. Des logements de fortunes ou des reconduites à la frontière ont dans certains cas été prévus par la préfecture.
Pourquoi alors les médias et associations lyonnaises ont fait autant d’agitation autour de simples procédures d’expulsion non violentes et légales ? Sur les quinze derniers jours, on dénombre plus d’une quinzaine d’articles des journaux lyonnais sur les expulsions, tous accusant la façon de gérer les expulsions. Sans oublier les articles qui mettent en avant par des généralités le peuple Rom. C’est le cas notamment du Dauphiné, qui présente en une semaine une famille Rom qui s’est sédentarisée et qui a quitté sa communauté et souhaite ainsi vivre sans être importunée, mais aussi une jeune Rom intégrant la Sorbonne et souhaitant devenir juge. En prenant des cas isolés, l’information est déformée et place l‘exception en norme.
La politique de victimisation des Roms, lancée par les médias, fait le jeu des associations droit de l’hommistes et de la pensée unique en diffusant quotidiennement la désinformation. Ces bla-bla continuels semblent en réalité cacher le réel problème autour des Roms, qui perdure depuis maintenant plus de 20 ans, sans qu’aucune solution efficace n’ait été prise.
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