lundi 10 septembre 2012

LA CLIQUE JUDEO-TROTSKISTE VOUS SURVEILLE !

EDITO DE CYRANO

Les nouveaux khmers de la clique anti-raciste veulent censurer les patriotes

Certains de nos lecteurs pourraient se demander si Riposte Laïque n’en fait pas trop pour soutenir Richard Millet. 

En quelques jours, notre journal a en effet publié pas moins de six articles, signés par Alain Dubos, Lucette Jeanpierre, Marcus Graven et Charles Demassieux, pour prendre la défense de l’écrivain, persécuté par la meute des lyncheurs.

Lors d’un échange rédactionnel, Pierre Cassen nous expliquait les raisons pour lesquelles, selon lui, il convenait de mener cette bataille, et surtout pourquoi il n’était pas question, histoire de paraître se border, d’émettre la moindre réserve quant à l’opportunité de certains titres, ou de certains propos tenus par l’écrivain. Il nous rappela un épisode vieux de six ans, l’affaire Redeker, et une pétition qu’il avait impulsée pour soutenir le philosophe, menacé de mort suite à un article publié dans Le Figaro. Pierre, alors soutenu par deux philosophes de l’Ufal, Catherine Kintzler et Marie Perret, entendait proposer un texte où le soutien à Robert Redeker ne pourrait qu’être inconditionnel. D’autres, francs-maçons de gôche, de peur de heurter le politiquement correct, ne voulaient signer que s’ils pouvaient prendre leurs distances avec des propos trop violemment hostiles à l’islam, selon eux. Toujours la peur de heurter la bien-pensance…
http://www.gaucherepublicaine.org/_archive_respublica/index.php?idPage=15/?petition=2

Ce qui était en jeu dans cette affaire était la liberté d’expression, et le droit à la libre critique de tous les dogmes, donc de toutes les religions, donc de l’islam. Toute réserve, tout désaccord publiquement exprimé à ce moment aurait atténué la démarche, n’en déplaise aux « frères ». La pétition fut lancée comme le voulaient leurs initiateurs, Pierre Cassen, Catherine Kintzler et Marie Perret, et elle remporta un franc succès, obtenant les signatures de Michel Onfray, Corinne Lepage, Yvette Roudy, Alain Finkielkraut, Pierre-André Taguieff, Michèle Tribalat, et de milliers de défenseurs de la liberté d’expression… quant la presque totalité de la gôche, les associations dites laïques et les syndicats enseignants se planquaient, et étaient aux abonnés absents. Que depuis des distances aient été prises entre les principaux initiateurs de cette pétition n’est pas l’essentiel.

Six années plus tard, la situation se radicalise, mais ce sont les mêmes enjeux qui sont à l’ordre du jour, dans ce qu’il est convenu d’appeler l’affaire Richard Millet. L’hebdomadaire « Valeurs actuelles » a, dans sa couverture, parfaitement résumé la situation : « Les lyncheurs, ils veulent faire taire ceux qui parlent islam et immigration ».


 

Richard Millet, qui, par ailleurs, se défend remarquablement bien, face à des maître-censeurs qui nous font irrésistiblement penser à ces khmers rouges cambodgiens, maltraitant et assassinant un peuple qu’ils entendaient rééduquer par tous les moyens. Il suffit de lire le règlement intérieur du plus grand camp de rééducation, le S21, à Phnom Penh, sous Pol Pot, et d’écouter les propos haineux et totalitaires des maîtres-censeurs pour voir, dans un contexte différent, une grande convergence idéologique.

Ceux qui veulent faire taire l’écrivain, à l’instar du pantin BHL, sont du même moule que les commissaires politiques de Pol Pot, qu’ils ont d’ailleurs soutenu dans leur jeunesse pour nombre d’entre eux. Nul doute que s’ils en avaient les moyens, ils enverraient l’écrivain, et bien d’autres, dans des camps de rééducation de type S21. Ce sont eux qui hurlent contre la présence médiatique des Eric Zemmour, Robert Ménard, Alain Finkielkraut, Elisabeth Levy, Ivan Rioufol et autres mal-pensants. Ce sont ceux qui ont poursuivi devant les tribunaux, et souvent fait condamner, des Michel Houellebecq, Brigitte Bardot, Eric Zemmour, Fanny Truchelut, Pierre Cassen, Pascal Hilout, Renaud Camus, Jacques Philarchein et combien d’autres, moins connus, mais tout autant persécutés par les « vopos » de l’anti-racisme. Ce sont eux qui, ayant pris le pouvoir dans ce monstre qu’est devenu l’Education nationale, nous imposent,  dans le moule des disciples de Pol Pot, une nouvelle Histoire de France, véritable rééducation forcée de tout un peuple, niant la réalité de notre passé. Interdit d’évoquer la France, rappelant l’époque des Etats-nations, place à la vision du village mondialisé dans une Union fédérale européenne. Ils ont trouvé, comme le démontre Christine Tasin, en Aurélie Filippetti, ministre de la Culture, qui ose s’opposer à la construction de la maison de l’Histoire de France, un relais supplémentaire dans le gouvernement Hollande-Ayrault.

C’est à un véribable holocauste de la mémoire, comme l’expliquait Alain Dubos, épinglant le sinistre stalino-mélenchonien Corbière, que se livrent ceux qui veulent façonner les prochaines générations dans une véritable réécriture de notre Histoire. C’est pourquoi Christine Tasin a décidé de modifier son Journal des Résistants, et nous proposera, dès ce vendredi, tous les quinze jours, une Histoire de France que nos élites ne veulent plus que nos enfants apprennent, qui reparlera de Charles Martel, Vercingétorix, Clovis, Jeanne d’Arc, Louis XIV, Napoléon…

Ce sont encore les nouveaux khmers qui, relayés par l’hystérique ministre du Logement, que Paul Le Poulpe a appelé la feld-maréchale Cécile Duflot, veulent contraindre les classes populaires à une cohabitation obligatoire, au nom du vivre ensemble et de leur société multi-culturelle, avec des populations qui veulent nous imposer leur culture, leur religion et leurs mœurs, en reniant totalement la nôtre.
Dans la presse, à l’école ou dans notre quotidien, ils veulent nous imposer un gigantesque lavage de cerveau, dans le plus pur esprit des khmers rouges de Pol Pot et de l’homme nouveau, qui devait faire fi de toute histoire, toute référence à un passé qui devait disparaître des esprits, de gré et plutôt de force. Hier, au Cambodge, on traquait le petit-bourgeois ennemi de la Révolution, aujourd’hui, en France, on pourchasse le patriote ennemi du multiculturalisme et d’une immigration islamique.

Richard Millet, et tous ceux qui, à l’image de notre journal, et de nombre de sites Internet, résistent à ce rouleau compresseur, remettent gravement en cause cette propagande, digne des pires régimes totalitaires. La caste médiatique et la clique anti-raciste, au service des puissants, doit donc les faire taire au plus vite, et par tous les moyens. La semaine dernière, le commissaire politique Joffrin appelait le gouvernement à davantage réglementer Internet, et même les échanges courriels.
Cette semaine, le président de la Licra, Alain Jakubowicz, lâchait le morceau, dans une interview à L’Express.

« La réglementation se met progressivement en place, mais il faut bien comprendre qu’Internet est encore un nouveau média et évolue à une telle vitesse qu’il faut sans cesse s’adapter. Aujourd’hui, nous n’avons aucun souci pour faire supprimer des sites hébergés en France. En revanche, les choses deviennent très compliquées lorsque cela se passe hors de nos frontières. C’est par exemple très difficile de lutter contre le racisme sur Facebook. Ce réseau social répond de la loi américaine et les utilisateurs peuvent faire jouer le 1er amendement [ndlr: la liberté de parole] pour poster des propos racistes. C’est d’ailleurs pour cela que nous souhaitons que la France organise une conférence internationale pour tenter de trouver une solution globale à cette question. »

Tout est dit. Hier critiquer l’Union soviétique, c’était, selon la propagande de l’Internationale communiste, être fasciste. Aujourd’hui, refuser la poursuite d’une immigration qui renforce l’islamisation de nos pays, c’est, bien évidemment, selon Joffrin-Jakubowicz, l’ineffable médiocre écrivain Christine Angot et tous les disciples de Pol Pot, être raciste et attiser la haine.
http://www.dailymotion.com/video/xeibo_christine-angot-craque-apres-zemmou_news

Que dire du discours de la nouvelle présidente de Sos Racisme, Cindy Leoni, qui, à son tour, appelle à la répression contre Internet (au bout de 3 minutes) ? Que dire de sa vision incroyablement raciste contre nos compatriotes, quand elle évoque William et Monique, d’Aigues-Mortes, sans dire un mot sur les agressions racistes de nombre de Vladimir… Ira-t-elle jusqu’à accuser les parachutistes de Castres, agressés ce dimanche par des « jeunes », comme dirait l’AFP ?
http://www.dailymotion.com/video/xtf20t_internet-le-principal-outil-de-diffusion-de-haine-raciale_news

Il faut donc, selon le catéchisme de la clique anti-raciste, d’abord interdire d’expression ceux qui osent émettre un autre son de cloche que la propagande officielle, non seulement fermer leurs sites au plus vite, mais les traîner devant les tribunaux. Ils se préparent sans doute à, comme lors des célèbres procès de Moscou, exiger une auto-critique publique des déviants !
C’est donc ni plus ni moins notre modèle civilisationnel, notre liberté de penser, notre droit de croire ou de ne pas croire, l’esprit frondeur gaulois, qui sont aujourd’hui dans la ligne de mire. C’est de la France, et toute la culture occidentale, dont ils veulent se débarrasser. Pour les khmers rouges-roses-verts, tous les Richard Millet et les sites Internet qui osent continuer à défendre le pays et sa culture sont d’insupportables grains de sable qu’il convient de broyer par tous les moyens.

Lors des assassinats de Merah, ils se sont déchaînés, pendant 48 heures, contre « l’extrême droite raciste », avant de constater, la queue entre les jambes, que l’assassin s’appelait Mohamed… Ils n’attendent qu’une chose : qu’un Gaulois de type Breivik, excédé par la situation, ne passe à l’action, pour exiger la fermeture de nos sites, et la censure de tous les Millet de France et de Navarre.

C’est pourquoi, face au monstre totalitaire qui se met en place, derrière le sourire niais de Normal 1er, la défense de Richard Millet, comme celle hier de Robert Redeker, et celle aujourd’hui de tous les internautes patriotes, doit être inconditionnelle.

(ripostelaique.com)
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