POUR JPPS, LE "PEUPLE" DE PIERRE CASSEN (ANCIEN PROTE) EST AUSSI CON QUE LES "ELITES"
L’alliance islamo-gauchiste est un nouveau pacte germano-soviétique
Les Assises sur la nationalité, intitulées également « La France en danger » se sont déroulées ce samedi, espace Charenton. Elles étaient d’un style différent de celles sur l’islamisation de nos pays, qui avaient eu lieu quinze mois auparavant, au même endroit.
Les participants ont pu entendre Christine Tasin « allumer » gentiment les Identitaires sur leur régionalisme et leur « peuple européen » dont elle pense qu’ils concourent à la disparition de l’Etat-nation et facilitent l’islamisation de notre pays.
Ils ont pu entendre un intervenant américain, Jared Taylor, expliquer que dans son pays, le président Obama parlait de « race », comme tout le monde, et qu’on appelait « Blanc », « noir », « jaune asiatique » les citoyens de différentes communautés qui, manifestement, n’avaient pas toujours une grande envie de vivre ensemble. Il va falloir le prévenir qu’en France, si Hollande était élu, il n’aurait plus le droit d’utiliser ce mot sacrilège !
On peut ne pas en partager certaines interventions, et encore moins quelques conclusions, mais ces assises ont eu le mérite d’exister. Elles ont permis d’approfondir certaines questions comme le rôle de l’État-nation, le droit de vote, la nationalité, l’immigration, l’assimilation et de réfléchir à la sauvegarde de notre modèle social, laïque et civilisationnel, menacé aujourd’hui, en période de chômage de masse, par les adeptes de la mondialisation libérale, et son pendant immigrationniste.
C’est pourtant cette réunion que des petits fascistes se réclamant d’extrême gauche ont voulu interdire, tout comme des fascistes islamistes avaient essayé, par les menaces téléphoniques aux responsables de l’espace Charenton, de le faire un semaine avant le 18 décembre 2010.
Cette fois, dans la nuit du lundi au mardi, une quarantaine de vitres ont été brisées. Comme si cela ne suffisait pas, dans la nuit de jeudi à vendredi, une dizaine de colleurs d’affiches d’organisations d’extrême gauche, comme NPA, Alternative Libertaire et de prétendus anti-fascistes, ont été pris par les policiers pinceaux à la main, en train de coller, sur l’espace Charenton, des affiches hostiles aux Assises du 10 mars.
Nous ne savons pas si les barbouilleurs sont les casseurs. Mais il nous parait étonnant que l’on mette en garde à vue près de 48 heures des militants pour une simple affaire de collage. Ils seraient, d’après leur avocate, jugés en mai, les uns pour « dégradation », et les autres pour « participation à un groupement en vue de dégradation »,
Naturellement, les gauchistes hurlent au complot politique, et accusent le pouvoir de complicité avec l’extrême droite, rien de moins. Pour un peu, ils nous feraient passer les vaillants barbouilleurs pour des héros qu’il faudrait décorer pour avoir vaillamment lutté contre la bête immonde.
Les choses sont pourtant un peu moins glorieuses. En procédant à la dégradation de l’espace Charenton, en multipliant systématiquement les dégradations contre les salles ou restaurants qui louent leurs locaux à des représentants du Front national, ces petits fascistes ne visent qu’à une chose : dissuader les propriétaires de salles privées de permettre, même avec des contre-parties financières, à un courant de pensée qui n’est pas le leur de s’exprimer. Sachant que les salles publiques leur sont interdites, comme l’a confirmé entre les lignes le maire socialiste du 12e arrondissement parisien Michèle Blumenthal – dont l’adjoint, Alexis Corbière, avait sommé le maire UMP du 16e arrondissement de faire annuler l’invitation dans sa mairie de nos amis Pierre Cassen et Christine Tasin – c’est ni plus ni moins l’interdiction d’expression de tout courant de pensée se réclamant de la défense de la Nation que les petits khmers rouges, roses et verts veulent imposer, avec des méthodes proches de celles des chemises noires de Mussolini.
Comment ne pas penser à ces quelques lignes de notre rédacteur Alain Rubin, ancien militant trotskiste de l’OCI, comme Jospin, Cambadelis et Mélenchon, qui, répond au président de Parti de gauche qui a eu le culot d’affirmer que les communistes français n’avaient jamais attenté aux libertés démocratiques ! Il écrit : « Pour ce qui concerne ma génération, on a dû se colleter avec eux, les « communistes », chaque semaine, à la porte des usines, pour avoir le simple droit de distribuer un tract à la classe ouvrière. Distribuer une feuille d’entreprise, un papier recto-verso de « voix ouvrière », « d’informations ou de correspondances ouvrières », c’était un exploit ; c’était une véritable opération militaire. Les « communistes , comme les appelle Méluche, s’estimaient « Le seul parti de la classe ouvrière ». Ils se prétendaient la seule et unique représentation légitime du prolétariat et les seuls à avoir le droit de s’adresser à lui, comme parti. »
Comment ne pas comparer ces quelques lignes à la situation que nous connaissons aujourd’hui. Comment s’étonner que Mélenchon se livre, dans ses meetings, à ce qui ressemble de plus en plus à des appels à la violence contre les militants du Front national, et contre tous ceux qui, au-delà, ont le malheur de ne pas vouloir manger halal.
http://www.bfmtv.com/melenchon-en-meeting-a-rouen-fustige-les-actu24358.html
Mélenchon et toute l’extrême gauche ressemblent aux staliniens et à leurs méthodes passées, que décrit Alain Rubin. Les disciples de Thorez et Marchais avaient décidé qui devait parler au nom de la classe ouvrière – eux seulement – et organisaient, par la terreur et la violence physique, la mise au pas de tous ceux qui osaient penser et agir différemment d’eux. Hier c’était les gauchistes, aujourd’hui ce sont les militants du Front national. La seule différence est qu’aujourd’hui, les prétendus communistes et les gauchistes ne se tapent plus dessus, le mur de Berlin est tombé. Par contre, ils s’arrogent le droit, comme les staliniens hier, de décider qui a le droit de parler, et sur quel thème, et qui doit être réduit au silence, par tous les moyens !
Ainsi, croyant faire une action d’éclat, les militants de Front de Gauche décident d’aller tenir meeting à Henin-Beaumont, fief de la « bête immonde » sous la houlette du stalino-mélenchonien Alexis Corbière, celui qui a un logement social à Paris, malgré ses 4000 euros d’indemnités d’élu, une femme avocate et un poste d’enseignant… et qui reproche au gouvernement de ne pas construire assez de logements sociaux ! Les vaillants résistants louent une salle de 400 places, et retransmettent en direct le meeting. Et cela ne fait que 80 personnes dans la salle, et pas un incident ! Par ailleurs, oser faire une réunion politique à Henin-Beaumont, après avoir soutenu le maire socialiste corrompu Gérard Dalongeville, auteur aujourd’hui de « Rose mafia » il fallait oser, camarades !
Mais quand Marine Le Pen répond à une invitation à l’université Dauphine, les commissaires du peuple socialistes, gauchistes et anti-racistes estiment qu’elle ne doit pas s’exprimer, et bloquent la salle ! Il paraît pourtant, selon Mélenchon-Corbière, que les fascistes seraient les militants de Marine Le Pen…
Continuons quelques comparaisons historiques. Comment ne pas voir des similitudes entre le pacte germano-soviétique, signé par les représentants d’Hitler et Staline, avec le pacte islamo-gauchiste, qui voit, main dans la main, les fascistes islamistes et leurs porteurs de valises de gauche manifester ensemble, à la première occasion contre Israël, sans se soucier du contenu de la charte du Hamas qui, au niveau antisémitisme, n’a rien à envier à Mein Kampf d’Hitler ?
Ils n’étaient sans doute pas racistes, tous ces militants issus de la gauche, qui ont préféré Hitler à la guerre, et la collaboration à la Résistance. Mais ils ont cautionné Vichy et sa politique contre les juifs. Il n’est évidemment pas raciste, le camarade Mélenchon, mais cela n’empêche pas NPA 31 de soutenir Houria Bouteldja, dont les propos et les incitations à la violence contre les Blancs n’ont jamais ému l’ensemble de la gauche, ni les associations dites anti-racistes.
Le camarade Mélenchon est le premier à tonner, dans ses meetings, les yeux hors de la tête : « Pas de religion en politique ! Pas de religion en politique ! ». C’est sans doute au nom de cette séparation du religieux et du politique dont il se réclame qu’il continue à défendre bec et ongles la viande halal, et son pendant, la dîme religieuse. Il prétend défendre le peuple, mais cela ne le dérange absolument pas que les Français doivent financer, sans le savoir, la religion musulmane quand ils achètent de la viande.
C’est sans doute au nom de « Pas de religion en politique » qu’à Melun, c’est l’ensemble de la gauche, du PS jusqu’à NPA en passant par le Front de gauche du grand laïque Mélenchon, qui, sans vergogne, ce mercredi 14 mars, ira communier, le temps d’une soirée, avec l’Union des Musulmans de Mée-sur-Seine, amalgamant, dans le programme de la soirée, racisme et xénophobie à islamophobie, comme une vulgaire Fourest l’avait fait contre les Assises sur l’islamisation de nos pays.
Cela tombe bien, l’OCI, organisation regroupant les 57 pays islamistes du monde, a réussi à faire voter à l’Onu un texte amalgamant critique de l’islam à racisme. Ils somment donc l’Union européenne de faire appliquer ce texte, avec l’accord d’Obama, dans ce qu’on appelle le processus d’Istanbul. Mélenchon et ses complices de gauche préparent donc le terrain, et, main dans la main avec les associations musulmanes, s’apprêtent à réintroduire le délit de blasphème, rien de moins. « Pas de religion en politique », ou alliance ouverte entre le fascisme islamique et la gauche mondialiste, dans le plus pur esprit du pacte germano-soviétique de 1939.
Pendant ce temps, en France, le romancier d’origine algérienne Hamid Zanaz nous propose un nouvel ouvrage, « L’islamisme vrai visage de l’islam ». Hamdane Ammar, au péril de sa vie, nous envoie, chaque semaine, des articles expliquant qu’il n’y aura pas d’émancipation des nés-musulmans sans se débarrasser de l’islam.
Pascal Hilout, pour avoir écrit des choses proches, attend, le 23 mars prochain, avec Pierre Cassen, le verdict du procès que leur ont intenté les « camarades » de Mélenchon, d’Eva Joly et d’Hollande, les pseudo anti-racistes.
Pendant ce temps, en Iran, des femmes essaient de lutter contre la tyrannie religieuse, à leur façon, en se dénudant, risquant leur vie.
Pendant ce temps, sortira, ce jeudi 15 mars, le livre Apéro saucisson-pinard où, dans la plus grande transparence, Fabrice Robert, président du Bloc Identitaire, Pierre et Christine, animateurs de la fameuse initiative du 18 juin 2010, débattent de tout ce qui les rapproche, et de tout ce qui les oppose.
Plus que jamais, il y a deux France, celle des élites auto-proclamées, et celle du peuple.
Il y a ceux qui estiment que la mondialisation libérale, l’Union européenne, son euro, l’islam et l’immigration, sont le seul avenir de la France.
Il y a ceux qui estiment que le retour de la souveraineté nationale, la sortie de l’Union européenne, la laïcité et l’arrêt de l’immigration en période de chômage de masse sont une nécessité vitale. Il y a ceux qui présentent une dizaine de candidats aux présidentielles, sur une ligne mondialiste, avec peu de nuances, et ceux qui font tout pour empêcher la seule candidate patriote capable d’être au deuxième tour de se présenter. Il y a ceux qui veulent empêcher par tous les moyens, y compris la violence et de véritables appels au lynchage, un vrai débat de se tenir, et ceux qui, dans la meilleure tradition française, adorent la confrontation démocratique. Il y a ceux qui respectent l’avis du peuple, et ceux qui entendent décider à sa place, par la violence minoritaire. Il y a ceux qui, en service commandé de Hollande et du système, déroulent le tapis rouge à l’islam, et les patriotes qui aiment la France et son modèle laïque et civilisationnel. Il y a les nouveaux collabos, et les nouveaux résistants.
Il y a eux et nous, les nostalgiques de Staline, et les amoureux de Voltaire.
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