GUD : SOUS TOUTES RESERVES
Terrorisme intellectuel, agressions physiques : le nouveau fascisme est de gauche
De toute évidence la gauche n’ a toujours pas rompu avec son tropisme totalitaire. Et elle vient une nouvelle fois d’en apporter la preuve cette semaine.
Invitée à débattre par une association étudiante de l’université Paris-Dauphine, Marine Le Pen a été interdite de parole par des membres d’associations et partis politiques de gauche (UNEF, UEJF, SOS-Racisme, MJS, NPA). Leur action, illégale et violente, n’ a semble-t-il ému personne. Pis même, le chargé du projet présidentiel de François Hollande, Michel Sapin a répondu qu’il comprenait cette « manifestation » en ajoutant que : « On a le droit de manifester, heureusement, et ensuite si l’un ou l’autre recule, c’est sa responsabilité ».
Monsieur Sapin se souvient sans doute des années où son camp se réjouissait de la victoire de Mao, accompagnait Pol Pot, portait des valises aux assassins du FLN, menait un ancien droitard avec la francisque en bandoulière jusqu’à l’Elysée et soutenait toutes les dictatures socialistes ou communistes de l’Afrrique à l’Oural en passant par l’Amérique latine. Ce petit sapin de circonstance n’ a pas de leçon a donner en matière de démocratie… c’est un enfant du fascisme rouge ! Et c’est donc normal que le petit conifère décoré de toutes les ignominies de l’histoire ne trouve pas embarrassant de soutenir une action violente qui remet au cause les fondements de la démocratie et de la liberté d’expression.
Car, une action qui consiste a s’imposer physiquement contre des étudiants pacifiques, a perpétrer des dégradations matérielles empêchant un débat de pouvoir se tenir, soumettre à l’obéissance des individus par la force et ainsi rétablir une forme de censure… n’est pas une manifestation mais une opération fasciste.
Quoi que l’on pense de Marine Le Pen et du parti qu’elle préside, il est inconcevable que, dans un pays libre, ce genre de procédé totalitaire soit accepté avec autant de légèreté par une caste médiatique et des partis politiques qui ont le cynisme de se dire encore républicains.
Car qu’auraient-dit nos vertueux censeurs si ces milices de gauche avaient été de droite ou du FN ? Quelle aurait été l’indignation des minuscules petites têtes des Grandes Gueules de RMC, pour qui cet évènement n’est qu’une provocation supplémentaire de Marine Le Pen (voir vidéo), si cette censure avait touché un candidat de gauche ?
D’un commun accord, et avec l’unanimité du soviet suprême, ils auraient appelé à la dissolution de ces brigades fascistes… mais là c’est la gauche. Et la gauche, elle peut tout se permettre dans ce pays, même se comporter comme des talibans.
Parce que ces situations ne sont pas nouvelles et auraient même tendance à augmenter, il est urgent de sonner la sonnette d’alarme et d’en appeler à la dissolution de ces groupuscules subventionnés par l’argent public, devenus au fil des ans de véritables commissaires politique de la bienpensance qui passent leur vie à imposer, par voie judiciaire, médiatique ou par l’action violente, les règles du débat public au sein notre société.
Car rappelons que ce sont aussi des sbires de la gauche radicale toulousaine qui ont empêché qu’un pique-nique républicain autorisé par la préfecture puisse se tenir. Les participants, dont des femmes, des vieux et des enfants, ont du être escorté par une compagnie de CRS pour éviter de se faire molester(voir vidéo). Rappelons que c’est aussi le conseil général PS qui a annulé au dernier moment la venue de la Féministe Anne Zylensky (voir vidéo), invitée à tenir une conférence organisée par le groupe féministe du PS de Haute-Garonne. La raison invoquée de cette annulation de dernière minute ? Anne Zelensky ne dit pas assez de mal de Marine Le Pen, et pas assez de bien de l’Islam.
Pour finir, il est à noter que la vampirisation et la fascisation de Marine Le Pen fait son retour. Et cette campagne de dénigrement résonne comme un appel à la violence et offre une justifications aux actions punitives auxquelles sont confrontés les militants du FN. Il y a plus d’un an, au nom d’un pseudo-antifascisme c’est Marine Le pen qui était visée par un tir de pistolet. Au dernières élections régionales ce sont plusieurs locaux du FN qui furent incendiés, et des militants sauvagement agressés. Dernièrement, à Marseille, Elizabeth Philippe, conseiller régional FN en PACA et Jérôme, militant FN, ont été passé à tabac alors qu’ils collaient des affiches. Les agresseurs leur ont fracturé les deux mains et les bras.
Et les auteurs des attaques médiatiques et des mensonges politiques colportés contre le fn se font les complices de cette violence injustifiée.
Le terrorisme de gauche et l’intimidation soviétoïde doit donc cesser…. si la gauche veut redevenir un jour une gauche républicaine et démocratique.
Jérôme Cortier
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