jeudi 15 décembre 2011

CHIRAC (2)


Ce harcèlement contre Chirac est écœurant !



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Pagès-Schweitzer Jean-Pierre

- mercredi 14 septembre 2011

J’étais récemment au Palais, pour l’un des nombreux procès qui me sont intentés par la racaille islamique. La racaille… journalistique, y était particulièrement présente à l’occasion de l’ouverture du procès de Jacques Chirac : les rapaces en quête de scoops, s’empressaient de toutes parts, et je dus même jouer des coudes, pour atteindre ma table attitrée, à la buvette.
J’ai bien connu Jacques Chirac.
Dans les années 70, il m’avait nommé président de l’un des bureaux de vote de Passy. Il m’avait également nommé administrateur, à la 16e section du Bureau d’Aide sociale, et, remis lui-même, en 1984, la Médaille de la Ville de Paris.
J’étais alors, l’adjoint du Se­crétaire de la XXe circonscription du RPR (XVIe sud) et étais en bonne position pour être élu Conseiller de Paris, aux prochaines municipales, lorsqu’un coup de vice de mon supérieur hiérarchique, un certain Nicolas Sarkozy (Se­crétaire national des jeunes du RPR), m’amena à démissionner de cette formation politique. Je rencontrais assez souvent le premier magistrat de la ville, car nous avions plusieurs projets auxquels nous travaillions en­semble : en particulier, la situation des SDF qui, à l’époque, n’ayant pas de « domicile de secours », ne pouvaient percevoir aucune allocation du Bu­reau d’aide sociale.
J’eus l’idée, grâce à un constat d’huissier, de suggérer que ces personnes puissent « élire do­micile » au siège d’une association caritative (comme le Se­cours catholique) et, grâce à M. Chirac, ce projet devint une réalité. L’ancien Maire de Paris est, en fait, un homme particulièrement généreux – et très ouvert : il tutoyait Georges Marchais, avec qui, dans sa jeunesse, il avait vendu « L’Humanité Diman­che ». Aujourd’hui atteint par l’âge et par une maladie très handicapante (démence d’origine vasculaire), il fait l’objet, de la part de ses ennemis politiques – et de magistrats politisés – d’un acharnement qui les déshonore, les uns et les autres. J’ai pris note de leur nom, afin de pouvoir, le moment venu, aller cracher sur leur tombe – à moins, bien sûr, que mes propres ennemis, n’aient été plus rapides…

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