samedi 30 juillet 2011

UNE CURIOSITE

La Question de l’islam !

4 juin 2011

Nous critiquons l’islam d’un point de vue théologique,

mais nous refusons la thèse du « choc des civilisations »

forgée par les sionistes talmudiques ennemis de la chrétienté !

Certains nous demandent, oubliant sans doute que nous nous sommes déjà plusieurs fois exprimés clairement sur le sujet, quelle est notre position vis-à-vis de l’islam, soupçonnant même, de par notre attitude en faveur du port du voile chez les musulmanes et notre soutient dans leur combat pour l’imposer - ainsi que du faible nombre de textes critiques publiés par nos soins sur cette religion en comparaison de ceux visant le judaïsme – que nous nourrissions une éventuelle complaisance à l’égard de la foi coranique ?

Etrange interrogation, alors que nous avons nettement affirmé que nous considérions l’islam comme une hérésie blasphématoire, une religion mensongère qui va jusqu’à encourager à la haine et la violence envers les chrétiens [1]. Toutefois, si nous critiquons l’islam d’un point de vue théologique, nous prenons garde d’épouser les thèses absurdes de certains partisans du « choc des civilisations », thèses forgées par les sionistes talmudiques ennemis de la chrétienté et des peuples, qui souhaiteraient, après avoir fait venir des millions d’étrangers sur notre continent, que se développe, en jouant sur la déstabilisation de nos nations, un conflit en Europe entre chrétiens et musulmans, ceci afin de mieux étendre encore leur règne et faire fructifier les intérêts de la ploutocratie mondialiste.

I. L’islam est une hérésie

Pour saint Thomas d’Aquin : »Aucune prophétie divine ne témoigne en faveur de Mahomet ; bien au contraire, il déforme les enseignements de l’Ancien et du Nouveau Testament par des récits légendaires. » (Somme contre les Gentils – livre 1, question 6).

Rappelons, en préambule, notre position théologique concernant l’islam, ceci à la suite des docteurs de l’Eglise. Saint Thomas d’Aquin (1225-1274) dénonçait l’imposture de Mahomet en ces termes : « Mahomet a séduit les peuples par des promesses de voluptés charnelles au désir desquelles pousse la concupiscence de la chair. Lâchant la bride à la volupté, il a donné des commandements conformes à ses promesses, auxquels les hommes charnels peuvent obéir facilement. En fait de vérités, il n’en a avancé que de faciles à saisir par n’importe quel esprit médiocrement ouvert. Par contre, il a entremêlé les vérités de son enseignement de beaucoup de fables et de doctrines des plus fausses. Il n’a pas apporté de preuves surnaturelles, les seules à témoigner comme il convient en faveur de l’inspiration divine, quand une œuvre visible qui ne peut être que l’œuvre de Dieu prouve que le docteur de vérité est invisiblement inspiré. Il a prétendu au contraire qu’il était envoyé dans la puissance des armes, preuves qui ne font point défaut aux brigands et aux tyrans. D’ailleurs, ceux qui dès le début crurent en lui ne furent point des sages instruits des sciences divines et humaines, mais des hommes sauvages, habitants des déserts, complètement ignorants de toute science de Dieu, dont le grand nombre l’aida, par la violence des armes, à imposer sa loi à d’autres peuples. »

L’auteur de la Somme Théologique poursuit ainsi : « Aucune prophétie divine ne témoigne en faveur [de Mahomet] ; bien au contraire, il déforme les enseignements de l’Ancien et du Nouveau Testament par des récits légendaires, comme c’est évident pour qui étudie sa loi. Aussi bien, par une mesure pleine d’astuces, il interdit à ses disciples de lire les livres de l’Ancien et du Nouveau Testament qui pourraient le convaincre de fausseté. C’est donc chose évidente que ceux qui ajoutent foi à sa parole, croient à la légère. » [6]

De son côté Saint Jean Damascène expliquait également à ce sujet : « Mahomet a composé de nombreux écrits stupides et donné un titre à chacun d’eux. Ainsi l’écrit de la Femme, où il est prescrit clairement à chacun de prendre quatre femmes et mille concubines, si c’est possible, autant que sa main en retient soumises en dehors des quatre femmes ; et il peut répudier une, s’il le veut, et en prendre une autre. Il a établi cette loi pour la raison suivant : Mahomet avait un compagnon appelé Zayd. Cet homme avait une belle femme dont Mahomet s’éprit. Alors qu’ils étaient assis ensemble, Mahomet dit : Ami, Dieu m’a donné l’ordre de prendre ta femme. Zayd répondit : Tu es un envoyé, fais comme Dieu t’a dit, prend ma femme. Ou plus exactement, pour prendre le récit par le commencement, il lui dit : Dieu m’a donné l’ordre que tu répudies ta femme. Celui-ci la répudia. Quelques jours plus tard il dit : Dieu m’a donné l’ordre de la prendre moi-même. Après l’avoir prise et commis l’adultère avec elle, il promulgua cette loi : Que celui qui le désire répudie sa femme. Mais si après l’avoir répudiée, il revient vers elle, qu’un autre l’épouse. Il n’est pas permis, en effet de la prendre si elle n’a pas été épousée par un autre. Et si c’est un frère qui répudie, que son frère l’épouse s’il le désire. Dans le même écrit il donne des recommandations de ce genre : “Laboure la terre que Dieu t’a donnée, et met-y tout ton soin ; fais cela, et de telle façon” – pour ne pas dire comme lui des obscénités. » (Cf. Liber Haeresorum).

II. Les erreurs de Mahomet

Mgr Pavy, évêque d’Alger, déclarait en 1853 :« L’islam est une prétendue religion… Le dieu de Mahomet change l’éternelle beauté du ciel en un lieu de prostitution, dont les orgies dépassent en lubricité multiple et stérile tout ce que l’idolâtrie elle-même, dans ses conceptions les plus abjectes, avait pu rêver. »

Tout ceci conduisit Monseigneur Louis Pavy, évêque d’Alger, en sa cathédrale pendant le Carême de 1853 à déclarer que le Dieu de Mahomet n’était qu’une projection humaine : « Est-ce le Dieu véritable que le dieu de Mahomet ? Non ! Le faux prophète a donc fait un dieu nouveau ? Pas davantage. Il a fait de son dieu ce qu’il a fait de tout le reste, un bizarre assemblage des qualités les plus opposées ; il l’a arrangé à sa façon. Son dieu unique, mes frères, est si faible qu’il n’ose jurer par lui-même!… Son dieu unique est le plus cruel des tyrans, puisqu’il fait lui-même tout dans l’homme, jusqu’au péché, puisqu’il ordonne à tous de croire à la nouvelle révélation du Coran, et déclare en même temps qu’il ne veut pas que les infidèles puissent y croire. Son dieu unique est un dieu sans cœur ; il n’aime pas, et il ne demande pas qu’on l’aime ! »

Il insistait de cette façon :

« Le dieu de Mahomet change l’éternelle beauté du ciel en un lieu de prostitution, dont les orgies dépassent en lubricité multiple et stérile tout ce que l’idolâtrie elle-même, dans ses conceptions les plus abjectes, avait pu rêver. Le dieu de l’islam, c’est un être tellement immonde, en sa complaisante faiblesse, que si l’autorité chargée de la garde des mœurs rencontrait dans nos rues quelque chose de semblable, elle devrait à l’instant l’arrêter et le dérober aux yeux d’un public, hélas, pourtant si facile ! Et se serait là le vrai Dieu ? Oh, non, non, ce n’est pas là le vrai Dieu du ciel et de la terre, le Dieu des nations, le Dieu des prophètes, le Dieu de Moïse, le Dieu de Jésus-Christ. Ce n’est pas Vous, ô Sainte Trinité, que cet homme a violemment combattue. Ce n’est pas Vous, ô Père saint, ô Verbe éternel, ô Esprit de lumière et de charité ! Ce n’est pas Vous, Jésus, le salut et la vie de mon âme… Cet homme, Mahomet, ne vous a pas connu, il n’a pas su vous aimer, lui. Pardon, Seigneur, si, pour la défense de votre nom, j’ai parlé d’un autre dieu que vous ! » [3]

III. Raisons de notre respect de l’islam

Ceci étant dit – et nous pensons que l’Eglise aurait été bien inspirée de s’en tenir à ces analyses et de les réaffirmer lors du concile de Vatican II plutôt que produire des déclarations aussi dénuées de sens théologique comme celle de Nostra Aetate – les musulmans, grâce aux bons soins de l’idéologie mondialiste qui fut imposée par tous les gouvernements en Europe depuis plus de 50 ans, se sont installés en terre chrétienne en d’immenses vagues migratoires successives qui continuent toujours, et il faut à présent faire avec eux, faute d’absence de solutions concrètes et sérieuses applicables, en respectant ce qu’il y a de bon dans leur croyance car, reconnaissons-le en tant que catholiques attachés à la Tradition, ils ne sont pas nos ennemis face à la civilisation hédoniste, immorale, permissive, consumériste et matérialiste.

Les musulmans ne sont pas nos ennemis

face à la civilisation hédoniste, immorale et matérialiste.

Ce respect répond à plusieurs raisons objectives :

- 1°) Vouloir lutter contre l’islam en s’appuyant sur les valeurs de la République, en se revendiquant en particulier de la « laïcité », revient à vouloir éteindre le feu avec un lance-flammes. Rien de plus absurde, ridicule et stupide (spectacle navrant que nous ont donné les organisateurs des récentes « Assises de l’islamisation »), car l’idéologie laïque est une machine de guerre athée et anti-religieuse dirigée par les francs-maçons qui ont une haine aussi bien contre l’islam aujourd’hui, que contre le catholicisme hier et sans doute aussi demain.

- 2°) C’est comprendre les causes et identifier qui sont les responsables réels qui permirent l’immigration/invasion, donnant à l’islam de se développer au sein d’une société déchristianisée à l’extrême dépourvue de toute défense face à une religion qui, pour être erronée en bien des points, est cependant fondée sur des principes spirituels que nous partageons (la croyance en Dieu, la morale, le respect des parents et des anciens, etc.).

- 3°) C’est voir clairement que la conception de l’intégration à la française, sous les auspices de la « sainte laïcité », prônée par tous les partis de l’arc républicain, de l’extrême gauche au Front National – et qui fort heureusement ne marche pas – aboutirait fatalement à terme si cette stratégie réussissait, à un résultat catastrophique qui finirait par détruire définitivement ce qui reste de l’identité chrétienne de la France.

Ainsi, la laïcité, dans laquelle les amnésiques mettent leurs espérances pour sauver la France, il ne faudrait pas l’oublier, est foncièrement antichrétienne et antireligieuse. La loi de séparation de l’Eglise et de l’Etat, est une loi votée et pensée en 1905 par les francs-maçons, loi qui détruisit les congrégations, fit fermer les écoles catholiques et chassa les moines des monastères. Cette laïcité satanique a son origine dans les principes révolutionnaires de 1789. Sa référence est la République qui s’est attaquée avec une fureur irrationnelle à l’Église, tuant son clergé, combattant sa hiérarchie, ses institutions, ses dogmes, et qui poussa la folie jusqu’à établir un nouveau calendrier afin d’effacer des mémoires le temps grégorien, et d’éradiquer définitivement les fondements mêmes du christianisme. Voilà ce qu’est la nature réelle de la laïcité.

Aucune alliance n’est donc envisageable avec ceux qui veulent combattre l’islam au nom des principes criminels et diaboliques de la République, et il convient de soutenir les musulmans lorsqu’ils opposent à la conception républicaine laïque les règles de leur religion !

IV. La solution : séparation religieuse des communautés

Ainsi donc, la seule manière de lutter efficacement contre la transformation mahométane de la France, et plus globalement de l’Europe, n’est sans doute pas de se réfugier derrière le cadre républicain aussi inefficace qu’anti-spirituel, mais d’opposer des principes religieux et faire valoir la nature chrétienne de notre continent. Ceci nous permettrait non seulement de mettre un terme à l’expansionnisme de l’islam, d’accorder une juste place aux fidèles de cette religion, mais surtout de les circonscrire dans les limites de leur communauté empêchant qu’ils ne viennent, par l’opération des innombrables mélanges, modifier irréversiblement la substance historique des pays d’accueil, tout en préservant leur propre identité également menacée.

Cette solution est la seule sérieuse, cohérente, et qui a largement fait la démonstration de sa valeur lors de l’occupation musulmane en Espagne, permettant aux Rois catholiques de se réapproprier leur patrie, après être enfin parvenus, non sans mal et au bout d’un temps dont nous ne disposons plus en raison des conditions propres du monde moderne, à s’unifier sous le signe de la Croix.

Nous préconisons donc exactement la même solution que l’Espagne catholique qui se retrouva sous la domination de l’islam pendant des siècles : Le développement séparé des communautés religieuses.

En effet, et c’est là où beaucoup ne nous comprennent pas parfois – comme dans notre défense du voile islamique par exemple – faute de poser une analyse sérieuse, l’unique solution avec les mahométans qui sont sur notre sol aujourd’hui est de les soutenir dans leur pratique religieuse, pour en faire de pieux musulmans ayant un comportement un minimum civilisé, et, si nous sommes à la hauteur de nos devoirs, les convertir demain.

Mais pour les convertir encore faut-il qu’ils croient en Dieu et ne se soient pas définitivement transformés en des zombis de la city, athées, imbibés de valeurs américaines, mariés à des françaises, ce à quoi conduit directement le ridicule soutient du modèle républicain qui amène tout droit au point de non-retour.

C’est en réalité la seule manière de s’en sortir, et il n’y a pas d’autre solution. Toutes les illusions qui font porter quelques espoirs sur le modèle républicain sont des rêves chimériques à proscrire car ils aboutiront à des catastrophes concrètes. Seule la religion est en mesure de refaire la chrétienté comme le déclarait Dom Guéranger : « Tout est perdu, jusqu’à ce qu’il plaise à Dieu de refaire le monde par l’Eglise. » (Lettre à Montalembert, 11 août 1852).

V. Préparer la Reconquista !

La Chevalerie, les Rois très chrétiens, l’Eglise de Tradition,

tout cela il faudra le restaurer pour libérer l’Europe !

Ce que nous prônons, à savoir le retour impératif à la religion pour sauver l’Europe et le France, comme le remarquent tous les historiens, fut d’ailleurs le moteur effectif de la Renconquista en Espagne : « La séparation en communautés de la société espagnole par les Arabes, du fait d’un système ségrégationniste (la dhimma), puis son application réciproque par les royaumes chrétiens ne permirent jamais un métissage total entre chrétiens, musulmans et juifs. »

Le résultat ?

Dès 1492 et la chute de Grenade signant la fin de la présence musulmane en Espagne, sont promulguées les décrets imposant la foi catholique à l’ensemble du royaume, puis les rois catholiques prononcent l’expulsion des musulmans non convertis en 1502.

Voilà le programme de la contre-révolution catholique !

La Chevalerie, les Rois très chrétiens, l’Eglise de Tradition, tout cela il faudra le restaurer en effet. Et ça ne se fera pas en un instant, cela va prendre du temps, beaucoup de temps, car la Révolution a créé un champ de ruines autour d’elle depuis plus de deux siècles. Mais il n’y a pas d’autre méthode, d’autre possibilité de réédification ; alors il faut être patient, prier avec ferveur, convertir, réformer les ordres monastiques dont la majorité sont pénétrés d’idées modernistes et ont changé leurs règles, remplir de nouveau en abondance les séminaires, rétablir le plus possible l’ancienne liturgie dans les églises, et surtout oeuvrer avec intelligence.

Conclusion

En encourageant les musulmans à pratiquer leur religion et à devenir de plus en plus de bons musulmans et non des pseudos européens, qu’ils ne seront jamais, vidés de leurs racines, nous préserverons les chances d’un retour à l’identité de la France et de l’Europe, de même qu’il importe, dans un identique mouvement d’inviter les catholiques à abandonner les illusions libérales, individualistes et modernistes, et à revenir au plus vite à une foi traditionnelle.

En effet, et ceci peut paraître paradoxal, mais la meilleure manière de se protéger de l’invasion musulmane, et de protéger également les musulmans eux-mêmes d’une politique d’intégration qui les détruirait en nous détruisant nous aussi, c’est d’encourager les musulmans à pratiquer leur religion et les catholiques à redevenir de vrais chrétiens.

Au moins les dangers inhérents au mélange généralisé aboutissant à la société mondialisée, mixée, métissée et consumériste, vidant les peuples de leur identité, pourront être ainsi un minimum atténués pendant un certain temps, ceci jusqu’à ce que les conditions d’un traitement du problème soient réunies.

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La meilleure manière de se protéger de l’invasion musulmane, et de protéger également les musulmans eux-mêmes d’une politique d’intégration qui les détruirait en nous détruisant nous aussi, c’est d’encourager les musulmans à pratiquer leur religion et les catholiques à redevenir de vrais chrétiens. Si l’Europe redevient vraiment chrétienne, l’islam ne représentera plus une menace !

C’est pourquoi rien ne sert de s’épuiser dans des formules politiques ou idéologiques « laïques » qui n’intègrent pas le religieux et le spirituel, en égarant les énergies combatives dans un ralliement aux principes de la laïcité républicaine qui, fatalement, mèneront au mieux à rien et au pire à une catastrophe générale de la civilisation qui s’avèrera irréversible. Si l’Europe redevient vraiment chrétienne (ou l’était restée), la question de l’islam serait sans objet et ne représenterait plus (ou pas) une menace. C’est la faiblesse de la foi qui rend possible la progression de l’islam – dont la stratégie, fort classique, est de profiter de la démocratie, des droits de l’homme, de la liberté de conscience pour imposer, à terme, la religion de Mahomet -, et permet son expansion inquiétante sur notre sol.

Ainsi donc – alors que les leviers du pouvoir et de la société civile sont presque tous dans les mains des ennemis de la Tradition – seule l’appartenance religieuse permettra de conserver au maximum chrétiens et musulmans dans les limites étroites et solides de leurs cadres confessionnels respectifs, tout en les protégeant et empêchant une domestication généralisée devant les forces du mondialisme.

Tel est le programme de la contre-révolution catholique : la préservation de l’identité des peuples par la religion pour que demain en Europe, avec l’aide de Dieu, revienne et soit rétablie la chrétienté !

Notes.

1. Mgr Lefebvre, que nous rejoignons entièrement par rapport à ses analyses, insista tout particulièrement sur le danger très important que représentait l’islam pour une chrétienté aujourd’hui si éloignée vis-à-vis de la Tradition catholique. D’ailleurs, à cause de l’affirmation de ses positions en la matière, la LICRA traîna Mgr Lefebvre en 1990 devant la justice, alors qu’il mettait sévèrement en garde contre l’érection, soutenue par l’Etat républicain et laïc, de nombreuses mosquées, et qui, dans ce domaine comme dans bien d’autres, oeuvrait à contribuer à la lente disparition du tissu spirituel chrétien en France. Le 12 Mai 1990, suite à ces poursuites infâmes, Mgr Lefebvre déclarait : « Le Coran, qui est la loi de l’Islam, provoque à la discrimination, à la haine et à la violence.

Ne m’attribuez pas ce que je dénonce. Les preuves de cette haine et de cette violence sont légions dans le passé et dans le présent. Tant que les Musulmans sont une minorité insignifiante dans un pays chrétien, ils peuvent vivre amicalement parce qu’ils acceptent les lois et les coutumes du pays qui les reçoit. Mais dès qu’ils sont nombreux et organisés, ils deviennent agressifs et veulent imposer leurs lois hostiles à la civilisation européenne. Les exemples abondent. Demain ils seront maires de nos communes et transformeront nos églises en mosquées […] Me condamner comme raciste parce que je cherche à protéger ma patrie menacée dans son existence et ses traditions chrétiennes, ce serait se servir de la justice pour l’injustice, ce serait la justice au service des bourreaux contre les victimes qui ont tout juste droit de périr en se taisant. Ce serait le comble de l’injustice. »

2. Saint Thomas d’Aquin « Somme contre les Gentils » (les païens) – livre 1, question 6.

3. Mgr Pavy disait également dans son Sermon de 1853 : « Le Coran exprime, en de pompeuses paroles, les grandes idées des vertus naturelles, et lâche en Lienmême temps ouvertement la bride aux penchants les plus violents et les plus sulfureux… Il supprime les remords en introduisant le fatalisme… Mahomet, vaincu par la chair, accepte comme une loi divine sa domination absolue, par ses instincts les plus indignes. La morale de l’islam ? L’association du sang à la volupté, la guerre à l’infidèle, guerre permanente, guerre qui doit durer jusqu’à leur entière extermination ou soumission au tribut.

En lisant l’Evangile, j’ai appris à prier ; en lisant le Coran, je n’ai rien appris, et le musulman, j’en suis sûr, n’y apprend, lui, qu’à répéter de creuses et de vides formules. Je serais tenté de dire qu’une telle prière est un outrage, puisqu’elle s’adresse à un dieu qui n’existe pas, ou qui existe avec des attributs tout opposés à ceux que lui prête la doctrine du musulman. »

(lebloglaquestion.wordpress.com)

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