FONDE PAR LE PARTI COMMUNISTE POUR RATISSER LE VOTE JUIF
Le MRAP ?
Bernard Carayon (photo) n’aime pas,
mais alors pas du tout !
Le député UMP du Tarn, membre du collectif parlementaire de la Droite populaire, a demandé lundi l’arrêt des subventions étatiques au MRAP qui a mis en cause « les partis populistes et les extrêmes droites » européens dans le carnage qui a fait 93 morts en Norvège vendredi.
En effet, le mouvement dirigé par Mouloud Aounit « fait preuve d’un mépris scandaleux à l’égard des élus de la Nation et du peuple français qui les a choisis pour le représenter », déclare l’élu du Tarn dans un communiqué.
« Il est temps que l’Etat cesse de subventionner une organisation aussi éloignée des valeurs de la République », « [issue] historiquement d’un parti communiste qui ne s’est jamais repenti des 100 millions de victimes de son idéologie totalitaire » et qui ne répugne pas à « [utiliser] les mêmes méthodes : exploitation de l’horreur, dénonciation, amalgame ». « Il est animé de la même idéologie de haine qui le conduit, une fois encore, à vouloir tuer médiatiquement ceux qui ne partagent pas son dogmatisme » explique Bernard Carayon.
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Quelques rappels sur l'origine du MRAP
Parmi les officines soi-disant antiracistes, c’est-à-dire concrètement racistes anti- français et anti-blancs, le MRAP tient une place de choix.
Le Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples s’est toujours (mal) défendu d’être une courroie de transmission du parti communiste « français ».
Qu’y aurait-il d’étonnant puisque ce parti, surnommé pendant des décennies le Parti de l’Etranger, a toujours pris fait et cause contre la France et ceci sur tous les sujets (Algérie, Indochine, pacte germano-soviétique, anti-militarisme, désarmement, immigration, etc…) ?
Association créée le 5 mai 1950 à la Préfecture de Police de Paris (JO du 2/6/50), son premier président, André Blumel (avait fait changer son nom de Blum en Blumel – JO du 27/9/36) fut directeur du cabinet du Conseil, un certain Léon Blum..
A cette date, le MRAP s’établit au 6 boulevard Poissonnière à Paris, dans un immeuble déjà occupé, comme par hasard, par le Parti communiste et où se trouve également domiciliée la société éditrice de l’Humanité.
Aujourd’hui y réside l’agence centrale de publicité centralisant l’ensemble des annonces publiées dans la presse communiste.
Mais, on vous le dit, le MRAP n’a rien à voir avec le Parti communiste.
André Blumel, son premier président fut l’un des six signataires socialistes du Pacte d’Unité (avec le PC).
Pierre Lyon-Caen, par ailleurs président de Cour de Cassation, était membre du PC .
Son successeur, Pierre Paraf appartint à l'association France-Pologne, au Mouvement pour la Paix, à l’Aral et au Secours Populaire Français, toutes organisations notoirement pro-communistes.
Le secrétariat général du MRAP fut assuré au début par Albert Lévy, qui adhèra au PC dès 1950. Il fut, pour être précis, membre de la section de Fontenay-aux-Roses.
Charles Palant fut candidat pour le PC, à l’occasion des législatives de 1956, dans la troisième circonscription de Paris.
Dans le Comité d’honneur de l’époque, on retrouve Claude Aveinne, Alfred Kastler, le franc-maçon H. Laugier, T. Monod, Vercors, Diomède Catroux et Pierre Cot, tous mondialistes convaincus et signataires de « l’appel des 13 ».
Egalement Robert Ballanger, Henri Alleg, Robert Merle, Georges Séguy et l’incontournable chanteur stalinien Jean Ferrat (né Jean Tenenbaum, il changea son patronyme en 1963 à l’occasion de son premier gala).
La première grande action politique du MRAP fut la création d’un Comité de défense des époux Rosenberg, condamnés à mort par les tribunaux américains pour espionnage et trahison au profit de l’URSS. Cette affaire fit couler beaucoup d’encre et mobilisa durablement la cinquième colonne marxiste dans le monde entier.
S’agissait-il d’une solidarité confessionnelle, puisque nous avons vu qu’une large majorité des fondateurs étaient israélites? Ou s’agissait-il réellement d’une trahison avérée, contre l’Occident et au profit de l’Union soviétique ?
Sans doute les deux mon général, car il fallait sans doute beaucoup de perspicacité, à l’époque, pour distinguer les deux causes.
La deuxième grande action politique impulsée par le MRAP fut l’orchestration de l’appel de Stockolm, en faveur…de l’Union Soviétique…
Mais, on vous le dit, le MRAP n’est pas une émanation du Parti communiste…
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