un article de Robert Faurisson
Sylvia Stolz et Horst Mahler
Une noble cause comme celle du révisionnisme historique a besoin d’une noble figure pour l’incarner : Sylvia Stolz, dont le nom en allemand signifie « fière », est cette figure-là.
Il est des révisionnistes de toute origine, de tout caractère, de toute tendance, de toute croyance. Certains sont faits pour la recherche et d’autres pour l’action. Certains se soucient de stratégie et de tactique tandis que d’autres optent pour les déclarations les plus franches et les plus directes. La plupart estiment qu’un révisionniste qui est hors de prison est plus utile à la cause qu’un révisionniste en prison. Je ne suis pas loin de partager cette idée ; cependant, à la réflexion, il me faut, en bon révisionniste, voir ou revoir de plus près une telle idée. Sans aller jusqu’à prétendre qu’une révolution comme la révolution révisionniste a besoin de martyrs – préjugé au fond assez malsain – je suis obligé d’admettre que l’exemple du renoncement à sa propre liberté pour la liberté de ses frères humains est propre à inspirer chez les autres l’abnégation, le courage, l’ardeur au combat.
Nous avons besoin de la lumière que nous apportent ceux qui, combattant pour la cause révisionniste, se sont retrouvés en prison pour avoir en pleine conscience affronté le danger. Je parle de ceux qui n’ont jamais fléchi, jamais donné de gages à l’ennemi, jamais rien concédé ni en prison ni devant un tribunal. Il est des cas – rarissimes – où l’on peut se retrouver en prison par pure inconscience, par bêtise, par estime exagérée de sa personne, quitte, au moment du procès, à courber l’échine, à baisser pavillon et à tenir pour sa défense des discours galvaudés sur la « liberté d’expression ».
Il nous faut des hommes vrais et des femmes vraies. Je ne citerai ici aucun nom par crainte d’en oublier certains. Je fais toutefois une exception pour Sylvia Stolz, « la Jeanne d’Arc allemande », comme on l’appelle volontiers.
Allez voir de près ce qu’elle a osé dire et osé faire dans cette Allemagne abominablement soumise à la loi du vainqueur. Vous apprendrez alors à quelles hauteurs est capable de se hisser une femme qui, telles les héroïnes de légende en France, en Allemagne et sous bien d’autres cieux, éclaire nos pauvres existences.
Il me reste un vœu à formuler : c’est que cette jeune femme ait la force de rester le modèle d’humanité héroïque qu’elle incarne aujourd’hui pour tant d’entre nous.
Robert Faurisson
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(à gauche: Vincent Raynouard)
(à droite Christophe Picard, dit "Henri de Fersan", et sa petite famille)
Rivarol
a 60 ans
ET EN VEDETTES AMERICAINES : Robert FAURISSON et Sylvia Stolz
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La rumeur annonce également quelques présences surprises.
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