DOMMAGE QUE ZENTROPA SOIT UNE ORGANISATION MARXISTE !
[Tribune libre]
L’Europe, patrie de nos nations !
Sous les coups de boutoir de la submersion migratoire, symbolisée par les événements spectaculaires et médiatiques de Lampedusa, l’idée européenne connaît actuellement une crise des plus graves.
Confronté à un afflux soudain, rapide et concentré, de nouveaux immigrés clandestins, en provenance de Tunisie et de Libye, chacun, terrorisé par ce qui se passe au coin de sa rue, perd la perception globale du problème de l’immigration et se réfugie instinctivement dans une crispation chauvino-nationale stérile et à courte vue. On ne cherche plus alors qu’à se débarrasser, se décharger, du problème sur son plus proche voisin que l’on accuse en outre de chauvinisme et d’égoïsme au nom de son propre égoïsme et de son propre chauvinisme. Et réciproquement.
Les militants patriotes et identitaires européens ne doivent pas céder aux sirènes venimeuses de ce repli étriqué sur un national-exclusivisme d’un autre âge et garder à l’esprit que seule une Europe unie, combattante et solidaire peut faire face aux gigantesques enjeux des problématiques migratoires et, à terme, leur apporter des solutions efficientes et concrètes.
Au contraire, les enfermements dans une logique de pré-carré national et les guerres picrocholines inter-européennes sont un danger mortel pour nos peuples !
Souvenons-nous que chaque clandestin « envoyé » chez le voisin sera bien vite remplacé par un autre et que ce jeu des vases communicants n’est en aucun cas une issue possible au problème mais bien une impasse fondamentalement mortifère et suicidaire.
Alors, répétons-le avec force et conviction : la place des immigrés clandestins tunisiens ou libyens n’est ni en Italie, ni en France, ni dans aucun autre pays européen, elle est chez eux, dans leur pays, pays à reconstruire et à développer !
Pour un patriote européen, il n’y a pas – politiquement, moralement, éthiquement – d’autre position défendable et tenable.
Aujourd’hui, de Dublin à Francfort en passant par Madrid, nous sommes tous des italiens de Lampedusa ! Mais nous sommes tout autant des niçois dont les rues sont occupées par les clandestins ou des parisiens aux squares et jardins squattés par les mêmes miséreux, future main d’œuvre bon marché pour les néo-esclavagistes libéraux !
Ne nous laissons pas diviser, ne cédons pas à nos réflexes petits-bourgeois, ne croyons pas stupidement que les malheurs du voisin apaisent longtemps les nôtres, ayons pleine conscience du destin commun qui nous unit.
union sacrée européenne !
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