francoise- Age: 69
Date de naissance: 17/05/1943
Localisation: sur la banquise là où la connerie humaine fait fondre les glaces
Messages: 4299
Date d'inscription: 18/09/2011
Passion: peintre et blogueuse en art pictural figuratif
Humeur: zen
Convoqué
lundi dernier à 10 heures par la Gestapo de la rue du Croissant, à la
demande du Vice-Procureur de la section P20 du Parquet de Paris (Mme
Nathalie Savi), suite à une énième plainte de mon bon voisin Mohamed
BOULEDROUA, dit "Nacer Bouledroua", dit "Nacer Bleck", dit "Bahon" (voir
ces sites internet, contenant des propos diffamatoires me concernant:
"ancien voyou", "violeur", "pédophile", "juif ashkénase" etc...), j'ai
été immédiatement mis en garde à vue et expédié chez "la bande à
Pourriat" : j'ai nommé l'Unité Médico-Judiciaire" (UMJ) de l'Hôtel-Dieu,
dont le Chef de service est le Prof. Jean-Louis Pourriat, Ier adjoint
au Maire socialiste du IVème ardt de Paris, qui avait fourni à
M.Bouledroua un faux certificat, faisant état d'une fracture de la main
droite de ce dernier, pour laquelle le Dr Karim Younsi, médecin
étranger, non-inscrit au Tableau du Conseil de l'Ordre, lui avait
octroyé 30 jours d'ITT...
Renvoyé devant la 28ème Chambre du TGI de Paris, j'ai été relaxé, et par la suite, la Cour d'Appel a confirmé cette relaxe.
Je vais donc, assigner, ce mois-ci, le dénommé Bouledroua Mohamed, devant le Tribunal Correctionnel pour "Dénonciation calomnieuse". (rappelons qu'en 1996, il avait été condamné à 10 mois de prison, par la 12e Chambre, pour avoir résisté à une interpellation et envoyé 3 policiers en uniforme à l'Hôpital...).
Arrivé aux Urgences Médico-Judiciaires, j'ai été reçu par deux Psyflics, qui après cinq minutes d'entretien m'ont expédié, menotté, à l'I3P (Infirmerie Psychiatrique de la Préfecture de Police, 3, rue Cabanis -anciennement Infirmerie spéciale près le dépôt de la PP-surnommée le "Bunker" de la PP), où j'ai passé deux jours et deux nuits dans une cellule d'isolement (sans pouvoir ni lire, ni écrire, ni écouter la radio, ni regarder la TV) -ma seule distraction consistait à regarder le ciel et les nuages grâce à une immense fenêtre qui occupait la plus grande partie de l'un des murs, et me rappelait étrangement celle du Berghof.
Nourriture infecte, personnel majoritairement composé d'antillais, passant le plus clair de leur temps à ricaner et à palabrer en créole; méprisants et très agressifs vis à vis des "personnes représentant, comme moi, "un danger imminent pour la sureté des personnes" (art L3213-2 du Code de la Santé).
Il existe une sonnette, comme à l'hôpital, permettant d'appeler les "surveillants", en particulier pour aller aux toilettes, allumant une lampe rouge située au-dessus de la porte de la cellule -mais afin de ne pas être trop souvent dérangés, les ampoules ont été enlevées... si bien que l'on est obligé de frapper sur la porte.
Il font généralement la sourde oreille, et plusieurs "internés", pendant mon séjour, ont dû déféquer dans leur cellule, obligeant l'homme d'entretien (le seul français de souche) à la nettoyer.
Mon voisin de cellule, un jeune d'une vingtaine d'années, avec qui j'avais été enfermé pendant plusieurs heures à l'Hôtel-Dieu, a craqué : il a commencé à donner de grands coups de pied dans la porte et des coups de poings dans les vitres de la fenêtre. Ils l'ont attaché et lui ont injecté des neuroleptiques. Il a dormi toutes la journée et vers 16 heures a été menotté et convoyé vers une destination inconnue (Pichipoï ?).
J'ai dû moi-même prendre, de force, des neuroleptiques : du Tercian 40, une phénothiazine, utilisée généralement dans le traitement de la schizophrénie.
Cette molécule est déconseillée pour les personnes âgées (j'ai 74 ans) et pour les adénomes de la prostate (et ils savaient pertinemment que je présentais cette pathologie...).
Officiellement les personnes "placées d'office"(ou détenues dans ce lieu de rétention, en vue d'une éventuelle hospitalisation), sont là pour être "observées.
En réalité, le but est tout autre : le régime extrêmement strict (et le personnel spécialement sélectionné, selon les critères utilisés jadis pour le recrutement des "porte-clefs" arabes du bagne de Cayenne, a été conçu pour provoquer le mécontentement, l'exaspération, voire le désespoir des détenus, et à les pousser au "passage à l'acte", à déclencher une "bouffée délirante" ou une "crise clastique", permettant au Psychiatre-Certificateur d'étoffer son Certificat de Placement d'office.
Nous sommes donc tout à fait dans le cadre des techniques utilisées jadis dans les cliniques psychiatriques de l'Union soviétique, où les opposants politiques arrivaient sains d'esprits et devenaient progressivement psychotiques, grâce en particulier aux injections forcées de substances neuroleptiques (tercian, haldol, largactil etc...).
J'ai été "vu" par quatre Psyflics, dont deux Psychiatres-Certificateurs (celui qui signe le Certificat, conseillant au Préfet de Police un "Placement d'office").
Le premier "certificateur" n'a pas eu le courage de signer et m'a fait demeurer une nuit de plus, afin de laisser le soin à son collègue (dont j'ignore malheureusement le nom), de prendre cette responsabilité.
Il s'est exécuté, et j'ai été conduit, attaché, en ambulance, à Charenton (aujourd'hui Hôpital Esquirol, et anciennement Hospice de Charenton, puis Etablissement National de St-Maurice, qui fut dirigé pendant de nombreuses années par mon vieil ami Henri Baruk).
Dans son bureau se trouvait, et se trouve peut-être encore, un grand tableau représentant les anciens pavillons de l'Hospice.
Le choix de l'asile où l'on enferme les fous dangereux comme moi, dépend du domicile : Esquirol accueille ceux du centre de Paris (1er, 2e, 3e et 4e ardt).
J'avais été précédé dans ce lieu par un certain Donatien-Alphonse-François de Sade, et si ma mémoire est bonne, l'Unité "Rosa Parks" où j'ai été conduit, se trouve sur l'emplacement exact, où fut interné, pendant 11 ans, de 1803 à 1814, date de sa mort, le Divin Marquis. (âgé, comme moi, de 74 ans). Il y écrivit "L'histoire secrète d'Isabelle de Bavière".
Il est enterré au cimetière de la Maison de Charenton.
Mon séjour y a été plus court, car grâce à Dieu, à "Esquirol" on n'est plus entre les mains des psyflics, mais entre celles de véritables médecins (n'ayant pas oublié le serment d'Hippocrate); et le Médecin-chef du Pôle "Paris-centre", le Dr Frédéric Khidichian, après un entretien de quinze minutes, a signé ma sortie.
Qu'il en soit remercié (ainsi que tout le personnel de cette Unité, qui fait preuve d'un grand dévouement et d'un grand respect, vis-à-vis des patients).
J'étais donc de retour chez moi, hier, en fin d'après-midi...ce qui est dommage pour le Parquet de Paris et la Gestapo de la rue du Croissant, "à la botte" du Gouvernement islamo-socialiste...et aussi pour mon bon voisin.
Il faudra qu'ils trouvent un autre stratagème, pour me neutraliser.
Renvoyé devant la 28ème Chambre du TGI de Paris, j'ai été relaxé, et par la suite, la Cour d'Appel a confirmé cette relaxe.
Je vais donc, assigner, ce mois-ci, le dénommé Bouledroua Mohamed, devant le Tribunal Correctionnel pour "Dénonciation calomnieuse". (rappelons qu'en 1996, il avait été condamné à 10 mois de prison, par la 12e Chambre, pour avoir résisté à une interpellation et envoyé 3 policiers en uniforme à l'Hôpital...).
Arrivé aux Urgences Médico-Judiciaires, j'ai été reçu par deux Psyflics, qui après cinq minutes d'entretien m'ont expédié, menotté, à l'I3P (Infirmerie Psychiatrique de la Préfecture de Police, 3, rue Cabanis -anciennement Infirmerie spéciale près le dépôt de la PP-surnommée le "Bunker" de la PP), où j'ai passé deux jours et deux nuits dans une cellule d'isolement (sans pouvoir ni lire, ni écrire, ni écouter la radio, ni regarder la TV) -ma seule distraction consistait à regarder le ciel et les nuages grâce à une immense fenêtre qui occupait la plus grande partie de l'un des murs, et me rappelait étrangement celle du Berghof.
Nourriture infecte, personnel majoritairement composé d'antillais, passant le plus clair de leur temps à ricaner et à palabrer en créole; méprisants et très agressifs vis à vis des "personnes représentant, comme moi, "un danger imminent pour la sureté des personnes" (art L3213-2 du Code de la Santé).
Il existe une sonnette, comme à l'hôpital, permettant d'appeler les "surveillants", en particulier pour aller aux toilettes, allumant une lampe rouge située au-dessus de la porte de la cellule -mais afin de ne pas être trop souvent dérangés, les ampoules ont été enlevées... si bien que l'on est obligé de frapper sur la porte.
Il font généralement la sourde oreille, et plusieurs "internés", pendant mon séjour, ont dû déféquer dans leur cellule, obligeant l'homme d'entretien (le seul français de souche) à la nettoyer.
Mon voisin de cellule, un jeune d'une vingtaine d'années, avec qui j'avais été enfermé pendant plusieurs heures à l'Hôtel-Dieu, a craqué : il a commencé à donner de grands coups de pied dans la porte et des coups de poings dans les vitres de la fenêtre. Ils l'ont attaché et lui ont injecté des neuroleptiques. Il a dormi toutes la journée et vers 16 heures a été menotté et convoyé vers une destination inconnue (Pichipoï ?).
J'ai dû moi-même prendre, de force, des neuroleptiques : du Tercian 40, une phénothiazine, utilisée généralement dans le traitement de la schizophrénie.
Cette molécule est déconseillée pour les personnes âgées (j'ai 74 ans) et pour les adénomes de la prostate (et ils savaient pertinemment que je présentais cette pathologie...).
Officiellement les personnes "placées d'office"(ou détenues dans ce lieu de rétention, en vue d'une éventuelle hospitalisation), sont là pour être "observées.
En réalité, le but est tout autre : le régime extrêmement strict (et le personnel spécialement sélectionné, selon les critères utilisés jadis pour le recrutement des "porte-clefs" arabes du bagne de Cayenne, a été conçu pour provoquer le mécontentement, l'exaspération, voire le désespoir des détenus, et à les pousser au "passage à l'acte", à déclencher une "bouffée délirante" ou une "crise clastique", permettant au Psychiatre-Certificateur d'étoffer son Certificat de Placement d'office.
Nous sommes donc tout à fait dans le cadre des techniques utilisées jadis dans les cliniques psychiatriques de l'Union soviétique, où les opposants politiques arrivaient sains d'esprits et devenaient progressivement psychotiques, grâce en particulier aux injections forcées de substances neuroleptiques (tercian, haldol, largactil etc...).
J'ai été "vu" par quatre Psyflics, dont deux Psychiatres-Certificateurs (celui qui signe le Certificat, conseillant au Préfet de Police un "Placement d'office").
Le premier "certificateur" n'a pas eu le courage de signer et m'a fait demeurer une nuit de plus, afin de laisser le soin à son collègue (dont j'ignore malheureusement le nom), de prendre cette responsabilité.
Il s'est exécuté, et j'ai été conduit, attaché, en ambulance, à Charenton (aujourd'hui Hôpital Esquirol, et anciennement Hospice de Charenton, puis Etablissement National de St-Maurice, qui fut dirigé pendant de nombreuses années par mon vieil ami Henri Baruk).
Dans son bureau se trouvait, et se trouve peut-être encore, un grand tableau représentant les anciens pavillons de l'Hospice.
Le choix de l'asile où l'on enferme les fous dangereux comme moi, dépend du domicile : Esquirol accueille ceux du centre de Paris (1er, 2e, 3e et 4e ardt).
J'avais été précédé dans ce lieu par un certain Donatien-Alphonse-François de Sade, et si ma mémoire est bonne, l'Unité "Rosa Parks" où j'ai été conduit, se trouve sur l'emplacement exact, où fut interné, pendant 11 ans, de 1803 à 1814, date de sa mort, le Divin Marquis. (âgé, comme moi, de 74 ans). Il y écrivit "L'histoire secrète d'Isabelle de Bavière".
Il est enterré au cimetière de la Maison de Charenton.
Mon séjour y a été plus court, car grâce à Dieu, à "Esquirol" on n'est plus entre les mains des psyflics, mais entre celles de véritables médecins (n'ayant pas oublié le serment d'Hippocrate); et le Médecin-chef du Pôle "Paris-centre", le Dr Frédéric Khidichian, après un entretien de quinze minutes, a signé ma sortie.
Qu'il en soit remercié (ainsi que tout le personnel de cette Unité, qui fait preuve d'un grand dévouement et d'un grand respect, vis-à-vis des patients).
J'étais donc de retour chez moi, hier, en fin d'après-midi...ce qui est dommage pour le Parquet de Paris et la Gestapo de la rue du Croissant, "à la botte" du Gouvernement islamo-socialiste...et aussi pour mon bon voisin.
Il faudra qu'ils trouvent un autre stratagème, pour me neutraliser.
Jean-Pierre Pagès-Schweitzer
http://cafephilodedroite.blogspot.fr/2012/07/jpps-premier-interne-psychiatrique.html
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